5- On invite pas d'inconnu !

144 15 8
                                    


Je me reprend rapidement et sans même prendre la peine de comprendre je cours vers Noa et la tire des bras du gars. Je la prends par les épaules et avant même qu'elle ai le temps de dire quoi que ce sois pour s'expliquer, et l'engueule.

- Non mais tu fous quoi la au juste ?!! Noa putain !! On sert pas un inconnu dans s'est bras ! T'es bourré ou quoi ?!

Sans aucune gêne je la renifle, -je sais qu'elle n'a pas bu mais autant joué le jeu jusqu'au bout- je touche son front pour voir si elle a de la fièvre, mais rien je la gronde encore une fois.

- Sérieusement combien de fois je doit te dire de pas approcher des Golio que tu connais pas .. tu causera la mort de mon vieux cœur avec t'es connerie, lui dis-je avec une main qui pince l'arête de mon nez et l'autre dans mon dos.

Je fais tout pour gardé un air sérieux je vais jusqu'à me mordre les joues pour essayer de cacher le sourire qui s'affiche doucement sur mon visage. Malheureusement a partir du moment ou mes yeux gris croise ses iris verte - qui reflète sont choque face a ma réaction- j'éclate de rire et elle me suis aussitôt.

C'est le genre de rire qui vous plie en deux sans vous laissez la possibilité de reprendre votre souffle, qui vous fais mal au côte et fais travailler vos abdos, alors a force de ce plié on fini assise par terre a ce tenir le ventre le souffle court, je porte une mains a ma mâchoire car elle aussi commence a me faire mal a force de rire.

On reste dans cette état la pendant une bonne quinzaine de minute et heureusement que le bars est vide a deux, trois client près.

Voila il me fallait juste ma meilleure amie pour décompresser et dieu que ça fais du bien. Un regarde entre elle et moi et le fou rire est relancé. Noa est aussi rouge que le string d'une strip-teaseuse.

C'est a mourir de rire sérieux ! Comment elle fais pour atteindre cette teinte ?!

Nous nous calmons dans les minutes qui suivent et je me rend compte que justement les dernier clients sont partie, le bars est désormais fermé et Bastien ce tiens près de nous en se foutant de notre gueule gentiment. Ce que je ne comprend pas en revanche, c'est la main masculine qui ce tend vers moi pour m'aider a me relever.

Mais pourquoi ils sont encore la eux ?!

J'observe la mains, puis le Golio qui me la tend, c'est le quatrième, celui qui est arrivé en retard et que Noa serrai dans s'est bras. Et je dois dire que, vue sa gueule il peut ce permettre d'être en retard, ça m'étonnerais qu'ont l'engueule. Quand il voit que je le regarde il me sourie d'un aire qui ce veut séducteur, mais la goute d'arrogance et de... supériorités ? Qui passe dans ses yeux me donne envie de le gifler.

Nan mais sérieux il a quoi a me regarder de haut comme ça celui la ? Et il crois que je vais lui donner ma mains en plus ?

Allez casse toi.

Je me redresse seul et finalement il tend sa main ma Little , je suis plus rapide et c'est donc ma main qu'elle attrape pour ce relevé.

J'ai pris pour habitude de ne jamais toucher personne d'autre que Enis et Noa, il est très rare que je touche Bastien sans être preparé avant, j'ai donc tendance à étendre cette habitude aux autres aussi. Quand je suis la je n'aime pas qu'ils touche quelqu'un d'autre pour la seul et unique raison que ...

- ...comme Vic est sur s'est garde ici.

Je me concentre sur la conversation qui ce déroule devant mon nez mais sans ma bouche. Ils ont osés parler comme si j'étais pas la non mais oh !

- Oui s'est moi ? Que dit vous donc ? Je me trouve vers Noa, d'où tu les connais ?

Elle me regarde avec un air désabuser sur le visage.

- Tu ne m'as pas écouter Vic ? Je disais que l'ont allaient tous a l'appart pour parler et expliquer la situation car tu n'est pas concentrer  ici, ok ?

- On invite pas des Golio inconnus chez nous ! Ta fumer quoi toi aujourd'hui !!

- Ce ne sont pas des inconnus Victoria bon Dieu ! Dit-elle en levant les yeux et les mains vers le ciel. Et arrête avec t'est « Golio » tu m'énerve.

Je croises mes bras sur ma poitrine ce qui la fais remonté, et je capte très vite le regarde de Golio numero quatre dessus.

- Ça va je te gêne pas ? Tu veux que j'enlève mon haut pour que tu puisse avoir une meilleurs vue mon chou ?

Il parait d'abord surpris par ma remarque, ou simplement le fais que je réagisse, puis un sourire mesquin apparaît au coin de sa bouche, il plisse les yeux mais en aucun cas les remontes sur ma tête.

Je vais finir pas lui jeté ma godasse a la gueule a celui la !

-  Je pense que en effet si tu l'enlève je pourrais mieux évaluer la marchandise, après j'ai une très belle vue comme ça aussi, merci de t'en soucier beauté.

Il fini son commentaire avec un clin d'œil.

Un.Foutu.Clin.D'Oeil !

Après quelque minute ou je boude dans mon coins pendant que Noa leurs donne notre adresse sans AUCUN PROBLÈME.

Ils prennent tous le chemin de la sortie, Bastien ouvre la marche vers la porte a l'arrière.. -je mentirais en disant que je n'appréhendais pas de sortir par la mais j'ai pas trop le choix et puis je suis bien entouré - les trois premier Gigolo le suivent en discutant tranquillement.

Bah quoi Noa ne  veux plus que je disent Golio, alors je trouve une alternative.

Cette rencontre ne m'a pas traumatiser plus que ca, mais j'avoue que le coup que j'ai reçu etais loin d'être faible et meme si j'encaisse, ca ne fais pas de moi une maso qui est prête a prendre le risque que cela ce reproduise.

Au moment ou la concerner passe a coté de moi elle m'embrasse sur la joue et, évidement comme s'est ma Little chérie , je lui pardonne de suite de m'avoir remonter un peux les bretelles.

Je vais chercher mes affaire dans la salle de repos avant de suivre les autres.

Quand je rentre dans la pièce un frisson me surprend, je ne serais dire si c'est a cause du froid ou du mal aise qui règne dans la pièce. Je jette un coups d'œil aux fenêtres, celle de la salles de repos qui est placer a coté du petit canapé clique-claque -il arrive que l'on fasse des siestes ici entre deux services ou si on a trop bu après là fermeture..- n'est pas bien fermé et quelques papier qui étais sur la table basse sont par terre.

Bastien ne range jamais rien c'est fou ! Ou alors s'est moi ? Aucune idée.

Je vais vérifier celle de la salle de bain mais elle est fermé. Étrange.

Je retroune dans la salle et récupère mon sac qui me semble plus lourd cas mon arrivé, sûrement car je suis crevé et que même une plume me paraîtrait lourde. Je sort et referme la porte a clés.

Au moment ou je me retourne pour allez retrouver les autres dehors mon nez rencontre quelque chose de dur et le choque fais que je tombe sur les fesses. Je relève la tête vers le truc qui ma fais tomber et je me dit que j'ai vraiment pas de chance putain !

Never without fighting ( PUBLICATION IRRÉGULIÈRE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant