NDA: solas - Jamie duffy-Dégage de chez moi, je regrette tellement si tu savais. Tu ne sers à rien même pas capable de vendre ça alors barre toi ! Va faire comme ta mère et que je ne te revoie plus sale gosse.
Le visage neutre les yeux secs j'avance jusqu'à la porte de la maison sans discuter et sort. J'évite de m'éterniser car il pourrait changer d'avis et me passer à tabac au point ou aujourd'hui, je ne me relèverai pas. Alors une fois la porte fermée je cours, je cours jusqu'à en perdre l'haleine, jusqu'à en tomber de fatigue pour m'éloigner le plus possible de cette maison, de cette ville de cauchemar et de malheur.
Je cours car je suis enfin libre.
Je me réveille groggy sans trop me rappeler pourquoi. Je porte une main à mon visage pour me frotter les yeux mais au moment ou je la passe près de mon œil gauche une douleur me fait siffler j'ai une énorme bosse et je sais même pas d'où ça vient.. d'ailleurs je ne sais pas où je suis mais de ce que je vois ce n'est pas ma chambre ni celle de ma Little . Mais je reconnais l'odeur.
Au moment où cette réflexion me frappe j'entends quelqu'un frapper à la porte, je me redresse doucement et accepte qu'on rentre. Noa entre suivie de Bastien et alors que je pense qu'il vont refermer la porte derrière eux, une troisième personne entre.
Mes pupilles rencontre celle de ce dernier, d'un vert émeraude sublime comme j'en ais rarement vue, si on se concentre assez on pourrait y voir une forêt de sapin, et les quelques touches d'or seraient comme les éclats du soleil. Il me sourit chaleureusement du haut de son mètre quatre-vingt cinq.
Je connais Enis depuis une dizaine d'année. C'est ni plus ni moins que mon grand frère du moins, c'est tout comme, nous n'avons aucun lien de sang. Quant on c'est rencontrés, j'ai voulu en profiter, il était propre sur lui et dégageait une aura de prestance et d'argent.
Alors ni une ni deux j'ai fais fonctionner mes jambes et me suis mise a courir pour lui rentrer dedans, il est possible qu'à ce moment là j'ai fais balader mes mains et que je lui ais volé sont porte feuille, qui a vue d'œil devait bien coûter près de deux cent euros, ainsi que tout ce qu'il y avait dedans.
Logique.
Je me suis relevée pour me carapater vite fait bien fait en lui disant que mes « parents » m'attendaient bien que ce soit totalement faux sinon, je ne serais pas obligée de voler pour vivre. Enis m'a retenu par le col de mon t-shirt et a tendu la main à plat vers moi. Je l'ai regardé un air innocent scotché au visage, tout en me doutant que j'étais cramée et qu'il me réclamait ses papiers et il m'a dit:
-De un : quand on bouscule quelqu'un on s'excuse c'est la politesse. De deux: mentir c'est mal je ne pense pas que tes parents te laisserait sortir en puant le chameau, et en t-shirt alors que nous sommes en plein hiver. De trois : voler c'est mal, encore plus quand on est pas discrète princesse alors rends moi mon portefeuille et suis moi.
J'aurai bien voulu nier mais quelque chose dans ces yeux m'a donné confiance, je ne saurais l'expliquer, il avait dix-sept ans à ce moment là -même s'il en faisais vingt- et moi douze.
Depuis on s'appelle très souvent et on se voit dès qu'il est libre, ce qui n'est pas facile avec son emploie de temps de ministre.
C'est un peu mon ange gardien, l'être cher qui veille sur moi et que je n'ai jamais eu. Pendant 8 ans il m'a aidé jusqu'à être sûr que je puisse me débrouiller seule et en toute civilité.
Je lui renvoie son sourire et tends les bras pour l'inviter à me faire un câlin. Il n'y a qu'avec lui et Little que je m'autorise ce genre de contact, je ne supporte pas ça avec d'autres personnes en général et je ne peux pas me permettre de toucher tout le monde non plus...
VOUS LISEZ
Never without fighting ( PUBLICATION IRRÉGULIÈRE)
FantastiqueLire peux nous transporter nous le savons, Je le sais aussi. Mais qu'arriverait-il si le livre devenait réalité si.. le méchant devenait une vraie menace, si le monde que nous connaissons n'est pas ce que nous voyons, si Tout était caché.. Comment...