De "l'herbe rouge"

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La froidure floculescente des duperies arriérées

Hachent tous les egos de verdeur enterrés

Et aux errements nauséeux de tout sourire factice.

Ravinés, les novices vivants se creusent d'aperçus pouilleux

Bordés par l'immolation de leurs revers pieux

Et les fleurets perdus flirtent avec leurs cervelles minées.

Raturé par la haine à l'extremophile appétit

Où les cagots émétiques font les évasions éliminées,

Un évadé dans les progénitures, débité d'espoirs rétrécis

Gît toujours sur les pelouses communes des "familles"

Et attend autre chose dans les vieux sangs des charmilles.

•••

L'HERBE ROUGE, roman de Boris Vian.

Acrostiche.

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