La froidure floculescente des duperies arriérées
Hachent tous les egos de verdeur enterrés
Et aux errements nauséeux de tout sourire factice.
Ravinés, les novices vivants se creusent d'aperçus pouilleux
Bordés par l'immolation de leurs revers pieux
Et les fleurets perdus flirtent avec leurs cervelles minées.
Raturé par la haine à l'extremophile appétit
Où les cagots émétiques font les évasions éliminées,
Un évadé dans les progénitures, débité d'espoirs rétrécis
Gît toujours sur les pelouses communes des "familles"
Et attend autre chose dans les vieux sangs des charmilles.
•••
L'HERBE ROUGE, roman de Boris Vian.
Acrostiche.
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Délires linguistiques
PoetrySans vouloir prétendre m'élever au rang de l'auguste poète, je partage dans cette assemblage les errances d'un rimailleur, quelques images indécises d'un chaos imprécis et surréaliste, où j'explore dans la confusion des balbutiements de l'adolescenc...