Migration rurale

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Dans l'oeil d'encre des corbeaux, qui s'ébattent et picorent

Dans des instants si beaux, des vermines qui prennent corps

En des tourments sous l'animal peau, ou restes délaissés encore

Se mirent les beautés de ma région que j'explore


Dans le bec des chairs noires, offrande des environs aux  ra(t)s des avaloirs


Les grandes plaines et vallons, travaillées par les larges et fortes mains de l'agriculture

Suant des poussières sur les mines et agrions, sous des soleils autrefois gris, culture

De la terre et des vastes paysage, fils de paysans aigris, des cultes eurent

Perdus leur passion pour moins d'ardeur que ces tenaces engrenures


Héritage de ruralité sur nos parterres estropiés - ami des visions blasées


Partout, des traînées en rails enfoncés de locomotive

Menant au nids de vache, de chevreau honnis, de berceau de campagne

Qui mène à une soeur affriolante, de huées et de fumées engoncées dans son pagne

La ville aux foules violentes, les fourmis qui la motivent


Les rois de ces haut-lieux, jettent une aile lustrée à leur bon-vouloir


Fuyard de peuplade à la bouche bleuie, aussi attendrie qu'un schtroumpf assommé

N'est pas sommé de se perdre, qu'il suit le héraut des corbeilles

Les sens amoindris, de ses souvenirs de laborieuses journées, enfin retrouvés

Et reprend ses yeux amoureux à la malice des corneilles


Les travailleurs à froid leur sauraient gré de se perpétuer dans les banlieues d'à-coté


Qu'il soit venu de loin, ou sur une mansarde perché

Oiseaux et humains, retrouvent repas dans la mare et

Tendent la perche vers ses feuillues marées

Vers un calme accompli longtemps recherché



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Bonsoir/jour/nuit/révolution de la terre/tout ce que vous voulez, j'aime un peu moins ce poème-là, mais je le poste quand même.

Contrainte

Résultat d'un défi lancé par mon beau père, qui ne me croyait pas capable d'inclure trois mots de son choix dans un poème, à savoir:

- Schtroumpf

- Nid de vaches

- Locomotive


Les petit frères de celui-ci arrivent bientôt !


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