Mon esprit tardif au lever trouva Palingénésie,
Eleva la vie dans un lavis nouvellement restauré.
Tous les voiles se levèrent, et ma claustrophobie
Egara ses hordes de boue sur leur autel tuméfié.
Nouvel essor capricieux ! L'essorage des âges
Se resserrera aux douze années dans un précieux lavage
Ô sublime nombre, oblong et tempétueux, délirant !
Mon quattrocento t'a chanté son quatuor bouillonnant.
Aux louanges décalcifiées à la consommation
Tu leur laissas les heureux idiots, savants d'émulation.
Osiris d'un nouveau calibre, déserteur des a-priori
Sévit quand Kali au premier acte régénère Ilythie.
Et ma reviviscence est née de cette première sédition(De qui ma figure de jeunot ouït, pour la première fois
Hardi, le poète qui pleure sur sa dernière foi
Et voit les muses amusées par les douleurs de musée.
Repentie, la Piéta silencieuse, piétine les piètres épines.
Alors je regrette l'enfant solitaire qui rêvait Proserpine)◇◇◇
Réponse au 21ème défi "Ecrivons des poèmes" , de Dédé2306
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Délires linguistiques
PoesieSans vouloir prétendre m'élever au rang de l'auguste poète, je partage dans cette assemblage les errances d'un rimailleur, quelques images indécises d'un chaos imprécis et surréaliste, où j'explore dans la confusion des balbutiements de l'adolescenc...