Au bord des vêpres

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Au fond des noirs frimas, les psaumes invitatoires
Usinent les plaidoiries à renforts d'aiguisoir

Bues par les évadés aux regrets d'infortunes
Où les fibres maniaques des amibes importunes
Rabotent les cellules murales peinturlurées
Doublement par les transes des alertes vespérales.

Dans les théâtres absurdes, expositions viscérales
En ballotant, j'ai reprisé mes astrocytes
Sous les filets obscènes des fumées illicites

Versées dans les marées des soirs mucilagineux
Et j'ai désengorgé mes anciennes présomptions
Pour tout effort d'inanité dans mes futiles fonctions
Ratiocinées. J'ai fait mes hebdomadaires aveux
En recomptant mes souvenirs piétinés
Sur le déclin des quarts d'heures phagocytées.

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Acrostiche

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