Dans l'hospice crient les réminiscences des landaux pendus
Les souffles frileux et les râlent hasmatiques, tout l'endort
Des cieux qui se baignent pleuvent en agonie, et mes râles dinent
De l'image qui me mordait de ses ailes éméraldines
Dans l'époque disgracieuse je ne préfigurai le lendore
(Pas encore !) Qui me donnera l'air d'aulx pendus.
L'enfant bientôt déchu cherchait des relents d'or
Des joyeux rebutants qui s'accroche aux pants du
Volet, pour échapper aux piscines éméraldines
Qui sentait l'envol, et le rêve aimé, râle, dîne
Encore d'insensé désespoir qui pent du
Temps des fées mortes trop jeunes, d'un débile lent, Dort
Sur le devenir qui ne viendra point, ancien moi ! Les landes hors
(L'horreur vient distiller l'angoisse qui détruit l'éméraldine)
La menace bruyante comme un haut-pendu
Point et abat des jours de renouveau et de réveil ! Ô pendu
Sur le devenir qui ne deviendra point ! Que d'éméraldine
Soit peuplé mes vieux jours, et non de l'atroce infamie, le haut-pendu !
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Délires linguistiques
PoetrySans vouloir prétendre m'élever au rang de l'auguste poète, je partage dans cette assemblage les errances d'un rimailleur, quelques images indécises d'un chaos imprécis et surréaliste, où j'explore dans la confusion des balbutiements de l'adolescenc...