De ton oeil se tient la visée
Avec des cercles glauques
Coulant sur le lac, syphonné
Par des fils de cochenille abhorrés
Qui glissent en grincements rauques
Et s'enfonçent sur ton visage adoré
Et tes traits qui me rebutent
Sans merci, tu me tiens assurément
D'embauches de Satan ou de firmaments
Et de ta main sur laquelle je butte
Pour toi, mon cher monstre envié, je tire sur la gachette
Et de ma cervelle qui ne dégouline pas de flammes
Ne jaillit que pourriture délaissée par tes deux lueurs vertes
Je ne me gâche pas, je me rachète - je ne suis que vague-à-l'âme
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Délires linguistiques
PoesíaSans vouloir prétendre m'élever au rang de l'auguste poète, je partage dans cette assemblage les errances d'un rimailleur, quelques images indécises d'un chaos imprécis et surréaliste, où j'explore dans la confusion des balbutiements de l'adolescenc...