L'eau d'Anum

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De ton oeil se tient la visée

Avec des cercles glauques

Coulant sur le lac, syphonné

Par des fils de cochenille abhorrés

Qui glissent en grincements rauques

Et s'enfonçent sur ton visage adoré

Et tes traits qui me rebutent

Sans merci, tu me tiens assurément

D'embauches de Satan ou de firmaments

Et de ta main sur laquelle je butte

Pour toi, mon cher monstre envié, je tire sur la gachette

Et de ma cervelle qui ne dégouline pas de flammes

Ne jaillit que pourriture délaissée par tes deux lueurs vertes

Je ne me gâche pas, je me rachète - je ne suis que vague-à-l'âme

Délires linguistiquesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant