Je profite, ma chère, de votre pose
Dont se délecte ma prose
Tout au long de cette pause
Que le soir ou le matin dépose
Les rayons sanglants viennent teinter les rideaux
Et tombe comme un masque sur votre peau
Je profite, ma chère, de votre pose
Dont se délecte ma prose
Tout au long de notre pause
Quand le soir vient et se pose
Le temps se fige sur vous l'espace d'un instant
Seul votre souffle fait respirer les cycles du firmament
(Sur votre front bouge une mèche que soulève le vent)
Je profite, ma chère, de cette pose
Dont se délecte la prose
Tout au long de la pause
Quand le matin se lève et se pose
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Délires linguistiques
PoesiaSans vouloir prétendre m'élever au rang de l'auguste poète, je partage dans cette assemblage les errances d'un rimailleur, quelques images indécises d'un chaos imprécis et surréaliste, où j'explore dans la confusion des balbutiements de l'adolescenc...