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Point de vue de Chiara

Hier soir, tout le monde avait quittés la soirée après que l'altercation entre Edouard et moi ce sois fini. Charles avait tenté de me donner du réconfort, mais j'étais pour ainsi dire incapable de parlé. Je me suis finalement endormie auprès d'Esteban, trouvant du réconfort auprès de mon meilleur ami.

Il est quatorze heure, j'avais déjà enfilé ma blouse blanche depuis bien longtemps. Aujourd'hui, je n'ai pas le temps d'accordé un instant à toutes ces histoires. Je suis entrain de plâtrer un nourrisson, quant mon téléphone de service se met à sonné.
Il laisse apparaître le service des urgences, pensant que Bastien, un de mes collègues m'attendais pour sa pause cigarette. Je le met en sourdine, et continue de plâtrer ce bébé d'à peine quatre mois. Il est si calme, il ne dis rien laissant la tâche moins difficile qu'elle n'y parait.

Mon père, médecin pédiatrique prend la famille en charge et je m'éclipse du service. Je saisis le numéro de service, et effectivement Bastien est au bous du fil.

« - Service urgence, Bastien
-Bastien c'est Chiara !
-Tu me rejoint dans le service ?, demande Bastien
-J'arrive »

J'attrape ma polaire dans le bureau infirmier, et rejoint les ascenseurs pour gagner le service des urgences. Je longes les couloirs et fini par rejoindre le bureau où Bastien se tenais déjà. Nous sortons sur le parking.

« - Alors, comment ça va à l'étage ?, demande Bastien en recrachant la fumée de ses poumons
-C'est assez calme aujourd'hui, je viens de plâtrer un nourrisson d'à peine quatre mois, ça a été. Et toi comment ça se passe ?
-Les gens viennent pour rien c'est affolant, dit-il en haussant les épaules, là un type viens d'arrivé pour une bagarre il est arrivé les mains en sang, et l'arcade ouverte. On attend que les cachets le calme un peu et il s'en va
-Les bagarres, dit-elle en levant les yeux au ciel, ça me manque les urgences »

Il me fait un signe de tête pour que je le suive, et nous continuons notre marche jusqu'à son service. Je me faufile entre les box pour rejoindre les ascenseurs et reconnaît la voix de Justine s'échappé de l'une de ses pièces.

« - Vous ne pouvez pas encore sortir, dit Justine »

Je décide de passé ma tête dans l'encadrement de la porte, souriant à Justine. Elle se tiens devant le patient, et ce dernier laisse son visage apparaître. J'avale ma salive voyant son visage amoché par les coups. C'était donc lui, le « type qui viens d'arrivé pour une bagarre ».

« - Chiara, dites à monsieur Leclerc qu'il lui est impossible de prendre le volant le temps que les cachets ne sont pas descendus

Je soupire longuement et décide de prendre la parole.

-Non évidement, dit-elle froidement »

Nous décidons avec Justine de quittés la pièce, laissant cette dernière rejoindre une autre chambre.
Je soupire longuement et décide de rejoindre la chambre où se trouves Charles.

« - Qu'est-ce qu'il s'est passé, demande Chiara en regardant l'étendu des blessures
-Je suis tombé à moto, dis Charles
-Je sais très bien que c'est faux, dit-elle froidement, c'est toi qui est venu pour une sois disant bagarre »

Il me regarde ne laissant aucun mots ne sortir de sa bouche. Je me dirige vers la porte pour rejoindre mon service, et je suis retenue par sa main.

« - Je voulais pas faire de vague en venant ici, et je ne tenais pas à ce que tu le saches, bien que tu aurait fini par le savoir. Mais j'ai croisé Edouard, et c'est un petit peu parti en vrille, Chiara je suis désolé je voulais pas que sa se passe comme ça »

Je retire ma main brutalement de la sienne et rejoint le service pédiatrique.

Numéro 16 | 2  SUITE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant