L'attaque Des Titans " Annie X Reader Feminin "

25- Éviter l'inévitable.

(T/p) longea les couloirs à vive allure, sans prêter attention aux personnes qu'elle bousculer à son passage. Elle n'en avait rien à faire, la situation était bien trop grave pour prendre le temps de s'excuser. C'est vrai, actuellement, Reiner et Bertolt avaient été intégré en tant que civile dans un village hors du centre. Si ça ne tenait qu'à ça (T/p) ne ne serait pas tant inquiété de la situation. Cependant Sasha, ainsi qu'une bonne partie de ses amis avaient eux aussi été retiré de leur fonction de soldat, et en plus de ça tous autant qu'ils sont avaient une confiance aveugle envers Reiner et Bertolot. Et c'est d'ailleurs ça qui inquiété le plus notre jeune protagonistes. Ce rêve, n'était pas qu'un simple rêve. Ce n'était pas non plus un rêve prémonitoire ou quelque chose dans le genre. Non elle en était certaines, il s'agissait d'un souvenir que son esprit c'était efforcé à dissimuler au plus profond de soi. Un souvenir que son esprit avait de lui-même ignorer l'existence. Mais celà n'avait rien d'étonnant, quand l'esprit est confronté à une situation dans laquelle la personne pour qui tu donnerai ta vie sans hésiter, pour qui ton cœur semble ne battre qu'en sa présence, te trahie d'une telle manière. Le cerveau va se plier à la facilité plutôt qu'à la difficulté et ignorer la douleurse et amer vérité. Pendant tout ce temps, la vérité avait été sous ses yeux.

" J'aurai pu éviter tout ça " Dans la tête de (T/p) ces mêmes mots résonnaient encore et encore. Ils refusaient de quitter sa tête, elle culpabilisait car d'après elle, elle aurait pu éviter tout ça. Elle aurait pu éviter la catastrophe qu'avait été l'expédition extra-muros. Elle aurait très certainement pu éviter la mort de tous ces innocents si elle n'avait pas était dans le déni. Elle était la fautive, elle était responsable. Du moins c'est ce qu'elle pensait, mais rien de tout celà n'était réellement de sa faute. Elle n'était en rien la personne à blâmer. Imaginez-vous dans cette situation, une situation dans laquelle l'une des personnes que vous chérissez le plus au monde est accusée de crime contre l'humanité. Auriez vous eu assez de courage pour le croire même avec des preuves évidente ? Et si oui, auriez-vous eu le courage de l'arrêté ? C'est une question qui reste à méditer.

Enfin, elle arriva, d'un geste brusque, elle ouvrit la porte avec une respiration saccadée.
Alors que tout les regards étaient rivé vers elle, attendant en silence et avec un air intrigué que (T/p) s'exclame. Cette dernière cherchait ses mots. Comment leurs expliqué la situation sans créer la panique général ? Elle tenait à Reiner et Bertolt, cependant elle tenait à eux tout comme elle tenait à Annie auparavant. Donc bien sûr qu'elle n'allait pas garder le silence si elle ne l'avait pas fait avec sa propre petite amie. Ou plutôt devais-je dire, ex petite amie ? Je n'en sais rien. (T/p) non plus n'en à aucune idée, elle n'est même pas sûr qu'Annie l'ai vraiment aimé à un moment donné. Alors elle ne sait plus comment considéré leurs relations actuelle, et elle ne veut même pas y penser.

- " Désolé de vous dérangez ! " Elle s'exclama à bout de souffle. " Mais je pense savoir l'identité du Titan colossale et du cuirassé. " Elle poursuivi en serrant la mâchoire. Avant d'être interrompu par un claquement de porte, qui l'a fit légèrement sursauter de surprise.

- " TU CONNAIS LEURS IDENTITÉS POUR DE VRAIE (T/P) ?! " À crié Hange avec enthousiasme comme à son habitude. " DIS MOI TOUT ! "

- " Eu...et bien disons que... " Elle commença doucement, tout en esquivant tout les regards qui l'a scruté de près et l'a mettait par la même occasion très mal à l'aise. " Reiner et Bertolt, de la 104 ème brigade d'entraînement. "

Voilà les seules mots qu'elle ait dit. Elle n'a donné aucune explication quant à ses doutes. Rien, elle n'en avait pas la force. Alors elle garda le silence, même quand les personnes l'a fixé en attente d'une quelconque explication. Mais heureusement, après un long moment de silence et de nombreux chuchotements de la parts de ses supérieurs, Erwin s'exclama.