Max & Pierre. Partie 2. - Dernière fois.

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« - Je vais le tué. Je vais le tué d'abord et toi ensuite !
- Charles reste assis et tais toi ! »

Charles s'était levé en furie. Incapable de contrôler toutes les émotions qui lui venait à l'esprit. Toutes les personnes autour d'eux dans les Paddocks s'étaient retournés sur son excès de colère.

« - Repose ton cul sur cette chaise. »

Anthoine l'avait supplié.

« - Si Pierre apprend que je t'ai dis ça, il va me tué.
- C'est Verstappen que je vais tué.
- Tu ne vas tué personne ! Laisse moi finir Charles putain. »

Charles l'avait enfin écouté. Et au moment où Anthoine voulait reprendre, Pierre les avaient rejoints.

« - Toi, tu poses tes fesses ici et maintenant. »

Charles avait pointé du doigt son voisin se tenant debout. Pierre s'était exécuté.

« - Anthoine, tu lui as parlé ?
- La question n'est pas qu'Anthoine m'est parlé, la question est qu'est-ce que tu as foutu ? »

La joie de Pierre de s'être qualifié 4ème pour la course de demain s'était évaporé. La phrase de Charles lui avait revenir pleins de souvenir qu'il essayait d'oublier depuis déjà 2 mois.

« - Charles... Pas ici.
- Si, ici ! Qu'est-ce que Verstappen t'as fait ?
- Charles je suis amoureux... J'étais ! J'étais amoureux. »

Pierre s'était rattrapé sur ses mots. Il était amoureux. Il avait essayé de l'oublier. Le fait de ne plus avoir mal au corps était reposant. Il avait à récupéré correctement. Mais son cœur était encore blessé. Il avait encore mal de cette dernière chute sur la plage. Sa tête était épuisée, tout ces stratagèmes pour récupéré ses affaires dans l'appartement du Néerlandais. Cela avait été dur. Il avait juste eu l'opportunité de lui volé un vêtement porté la vieille et de l'enfouir au fond de sa valise. Au début, il n'avait pas sorti de vêtement. Anthoine, qui l'hébergeait, aurait vite compris. Et puis un matin il eu décidé de le porté, comme si cela était un t-shirt à lui. Ce jour, était le début de ce week-end.

« - Tu es toujours aussi con. Et amoureux.
- Essaie d'oublier tout ce qu'il m'a fait, physiquement je veux dire. On était un couple heureux.
- Il te frappait ! Il n'y a rien de joyeux. »

Les personnes autour d'eux c'était retourné suite aux cris de Charles. Peut de personne comprirent ce qu'il se disaient, après tout cela restait privé.

« - Charles, je te dirais ça, et ensuite je m'en irais. J'ai quitté Max il y a déjà 2 mois. Je souffre le martyre de l'oublier. Mais va oublier ton ex quand il est ton co-équipier. J'ai détesté Max aussi fort que je l'ai aimé. Rien ne s'en va en 24 heures. Je travaille comme un malade pour rester au niveau, pour l'oublier. Pour ne pas poser mon regard sur lui à chaque fois que je le vois. Les gestes faisaient bien plus mal que les mots. Mais c'est dur Charles. C'est sur. Je ne suis pas capable d'oublier un homme qui était prêt à m'épouser en un claquement de doigt. Je travail comme un taré pour l'oublié. Le fait qu'Anthoine t'en ai parlé ne change pas le fait que j'ai besoin de temps mentalement et physiquement pour en parler. Sûr ce, merci Anthoine. Charles, on se voit demain matin. »

Pierre s'était relevé de sa chaise et avait salué ses amis.

Il s'en rendait compte, il était faible aux yeux de ses amis. En parler à Anthoine avait été sa délivrance, il avait été son courage pour lui rendre l'anneau et le quitté. Mais les plaies étaient plus dur a refermé que l'abandon causé.

Le voir chaque week-end était aussi douloureux pour Pierre que pour Max. Il savait que ses actes ne pouvaient être effacés. Mais Pierre lui manquait. Les 4 courses depuis leurs séparations était des échecs continus. Rien pour l'aidé dans sa colère. Plus rien de valeur ne traînait dans son MotorHome. Plus rien ne concernant du verre ou des miroirs. Il n'arrivait plus à regarder son reflet nul part. Il se sentait mal. Il était trop tard pour des excuses. Mais il voulait récupéré son coeur. Absolument rien n'avait changé dans sa manière d'être, de se comporté, mais il voulait continuer à se sentir aimé. Il voulait que Pierre soit toujours à lui.

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