Ça fait deux semaines que je suis avec Diane en Côte d'Ivoire. J'ai récupéré l'argent que Samira avait pris à Diane.
C'est dur et très compliqué. Diane ne parle pas, ne mange pas, elle pleure et fait des cauchemars tout le temps et elle est hyper malade.
J'arrive pas à gérer parce que pour moi aussi c'est compliqué, j'étais en prison pendant 7 ans. Donc la vie social c'est plus trop ça. Je comprends plus rien, la prison ça m'a changé.
Mais on essaye, j'ai pas envie de forcer aussi. Si ça fonctionne pas, on prendra chacune un chemin différent.
Moi : tu veux de l'eau ?
Elle hocha la tête.
J'ouvre le sachet d'eau et lui donne.
Je m'occupe d'elle comme un enfant après j'ai mis une pommade ancestral que ma grand mère m'a donné pour les cicatrices de Diane.
A mon grande suprise, ma grand mère qui n'aime pas trop les blancs puisque elle a vécu la colonisation et vit de ses conséquences, aime beaucoup Diane.
Elle m'a dit qu'elle pense que Diane est tombée enceinte, je vais en parler à Diane quand elle sera prête.Il lui a fait des rituels africains, Diane avait grave peur mais ma grand mère la mit en confiance.
Puis ma grand-mère est rentrée au village, elle était venue me rendre visite en ville.
Moi : t'as toujours pas faim ?
Elle hoche la tête négativement.
J'ai conscience qu'elle a souffrir , elle me fait de la peine. Ça me mets mal de la voir comme ça.
Le temps passait et Diane parle un peu plus, mange un peu plus mais elle est toujours autant traumatisé. Les cauchemars tout ça n'ont pas cessé.
Elle a besoin d'attention, je dois lui montrer qu'elle peut me faire confiance et que je la protègerai quoi qu'il arrive.
Moi : on va retourner en Espagne.
Elle a commencé à trembler et a fait une crise de panique.
Je l'ai réconforté comme je pouvais puis je suis allé préparer nos affaires.
Moi : ça prendra pas de temps.
Espagne,
Le truc que j'ai préparé pour Diane est prêt, ça m'a pris un peu de temps mais oklm.
Diane : où tu m'emmènes ? Avec une voix toute faible.
D'ailleurs, le peu de fois où elle parle s'est toujours avec une une petite voix.
Moi : t'inquiètes.
Je l'ai pris dans mes bras.
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Moi : vas-y on descend.
Elle est descendu et on est rentrée dans la cave.
Peau de Diane
C'est compliqué pour moi depuis la dernière fois. Voir très compliqué. Mais pour l'instant, je dois vous expliquer la suprise de Nalika. Nous parlerons de mon état de santé plus tard.
Nous sommes descendus dans une sorte de cave,j'ai pris la main de Nalika instinctivement.
J'ai tourné ma tête et lâcha un cri.
Il y avait mes quatre agresseurs et ma belle-mère attaché sur des chaises et bâillonné.
Moi : Na...Nalika qu'est ce que c'est ?