vingt-et-un

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Peau de Ketia

On venait de rentrer et Nalika s'est lavé et s'est directement posé sur le lit.

Moi : ça va ?

Nalika : ouais et toi ?

Moi : non sérieusement.

Nalika : ouais pourquoi ?

Moi : bah depuis la dernière fois t'as pas vraiment changé, t'es toujours un peu dans les nuages, énervé un peu. Je suis ta copine et même si je sais que tu as du mal. Tu dois te confier à moi, je suis là pour toi.

Nalika : c'est gentille mais j'ai rien a dire, Ketia.

Moi : t'as toujours été là pour moi, ce n'est pas de la gentillesse, c'est un devoir.

Elle s'est levé et m'a embrassé avec une grande passion, elle m'a porté et m'a posé sur le lit tout en continuant de m'embrasser.

Bref on regardait la télé, j'avais ma tête sur son torse et elle me caressait les fesses.

Moi : tu m'as jamais dit que t'était sorti avec Diane. 

Nalika : pourquoi je devrais te le dire ?

Moi : bah on était en vacances avec elle, vous avez encore des liens. Minimum préviens moi.

Nalika : tu le sais maintenant, c'est bien.

Moi : ouais mais bon. Pourquoi ça s'est fini ?

Nalika : va lui demander, c'est elle qu'a mis fin. 

Moi : genre vous êtes pas expliqué ?

Nalika : non.

Moi : y'a encore de l'ambiguïté entre vous. Tant que vous n'aurez pas mis les choses à plat.

Nalika : t'as raison.

Moi : tu l'aimes encore ?

Elle m'a regardé, a pris ma tête et m'a galoche.

Elle m'a déshabillés puis elle m'embrassait en touchant ma partie intime. Fallait voir les souffles que je lâchais. Elle descendait vers mon cou et accélérait ses mouvements en bas.

Ensuite elle est descendue en me faisant des bisous sur tout mon corps , jusqu'à mon vagin où elle a d'abord commencé avec des petits coups de langue puis des plus forts, puis des suçages de clitoris.

Je serrais sa tête entre mes cuisses en la suppliait de continuer, elle rajouta ses doigts petit à petit.

Elle n'avait qu'un doigt à l'intérieur et pourtant j'avais l'impression de voir ma grand-mère qui est décédé.

Elle en a rajouter un deuxième tout en m'embrassant , je gémissais à l'intérieur de sa bouche. Elle s'est enlevé de ma bouche et s'est occupé de ma poitrine en continuant de me pénétrer avec ses doigts.

J'avais les tétons qui pointaient tellement, j'étais grave excité. Elle redescendu en bas et m'a mougou encore et encore. Pourtant je jouissais mais elle s'en foutait, elle continuait de me donner du plaisir.

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