If u love me...

chapter 5

Cassie-

Ce n'est pas la première nuit où je me réveille en sursaut, toute transpirante, et déboussolée. Je ne pense qu'à eux, Connor et puis mon père, Ils sont tout le temps dans mon esprit, je ne cesse de penser à ce qu'ils m'ont fait. Mon père m'a gâcher le plaisir d'être une petite fille souriante, aimante, et réellement joyeuse. Connor, lui il m'a gâcher le plaisir de vivre mon premier amour pleinement sans inquiétude. Les bleus qui se trouve sur mon corps appartiennent aux coups que mon père me donner gratuitement, je n'avais rien demandé, je n'étais même pas une enfant ingérable, j'étais calme.

A l'âge de mes douze ans, mon père m'a offert une énorme cicatrice en bat du ventre en guise de cadeau, maintenant elle est toujours là et parfois elle me fait mal très mal. Ce soir là il rentrer de son bar préféré, je me souviendrais toujours de l'odeur infâme qu'il porter sur lui, il est entrés dans ma chambre, avant qu'il n'arrive j'étais tranquillement entrain d'envoyer des messages à un copain du collège, quand il a ouvert la porte je me suis précipité sous la couette pour me protéger, il avait une bouteille en verre cassé dans sa main droite. Il s'est précipité vers moi, il a enlevé ma couverture, puis il n'a pas hésité une seconde avant de me mutiler le bas de mon ventre.

Les larmes coulaient à cause de la douleur et la peur, à chaque fois que je baisser la tête je voyais mon lit tacher de sang. J'ai crier le plus fort possible pour que ma mère où mon frère m'entende. Ma mère ma amener à l'hôpital, et depuis ce soir là j'ai une cicatrice horrible, et elle ne disparaîtra jamais.

Je me lève de mon lit en me précipitent au toilette, une envie de vomir instantané me vient. Tout ces souvenirs m'ont retourner l'estomac.
Je tire la chasse d'eau, puis je pars directement dans la cuisine boire de l'eau, pour changer le goût affreux que j'ai dans la bouche.

- Qu'est-ce que tu fais là si tard ?
Me dit Aaron.

- Tu m'as fait peur ! Je ne fais rien je bois.

- Je t'es entendu vomir il y a à peine une minute, donc je sais que ça ne va pas.

- Je t'assure tout va pour le mieux, j'ai juste manger quelque chose qui n'a pas du bien passer.

- Si tu le dis, il est tard tu devrais aller dormir.
Dit-il gentiment.

Ça change de son énervement, ça fait du bien d'entendre Aaron Knight dire quelque chose de gentil.

- Oui, je vais y aller.

- D'ailleurs arrête de crier pendant que tu dors, c'est insupportable.
Dit-il en partant dans sa chambre.

Son moment de gentillesse a était de courte durée, c'est déjà mieux que rien non ? Enfin bref, il faut vraiment que j'aille dormir, je pose mon verre avant de partir dans ma chambre, dès que j'y suis, je m'effondre de fatigue sur mon lit.

~10:30 am~

Assise sur le canapé en attendant patiemment que les heures passent, dimanche est un jour de repos, où nous pouvons dormir toute la journée sans se préoccuper de quoique se soit. Sauf qu'à chaque moment ou je me sens tranquille et poser, il faut toujours que mes lointains souvenirs refassent surface. Je me déteste tellement d'être encore comme la fois ou l'on m'a fait du mal. Je n'avancerais pas tant que je ne serais pas passer à autre chose.

Mon regard est river sur le carrelage grisâtre, l'appartement est calme, seulement le bruit des branches qui bouge à cause du vent se fait entendre.
C'est alors que je vois des boots noir approcher du canapé, mon regard est toujours river sur le sol, et mon esprit est perdu entre toutes mes pensées qui se bousculent les unes après les autres.

- Tu as menti hier soir. Dit Aaron en entrant dans le salon.

Mon regard remonte jusqu'à sa tête, scrutant son corps dans les moindre détails.

- Menti ? Sur quelle sujet ? Lui dis-je étonnée.

- À toi de te rappeler, tu sais très bien. Maintenant pars de se canapé.
Dit-il sur un ton méprisant.

- Pourquoi je t'écouterais au juste, j'ai le droit de rester là.
M'exclamée-je.

Quand il était pas là l'atmosphère était calme, depuis
qu'il est entrer dans cette pièce j'ai l'impression que l'atmosphère est désastreux.

- Je ne répèterais pas deux fois, alors bouge de se canapé !
Dit-il agressif.

- Ne te fatigue pas à le dire une seconde fois, dans tout les cas je vais rester là, que tu le veuilles ou non.

- Tu en es sur ?
Me dit-il.

Sans que je m'y attende, Aaron s'approche de moi, en même pas une seconde il se retrouve au dessus de moi, une de ses mains a prit appuis sur le rebord du canapé à coter de ma tête l'autre sur le haut du canapé. Il est beaucoup trop près de moi, c'est l'une des pires situations dans la quelle je me retrouve. Et si quelqu'un entrer sans prévenir et nous verrez là si proche que penserait t'il ?

- Aaron éloigne toi de moi !
Dis-je.

- Pourquoi ? Je suis bien là. J'ai vue sur l'intégralité de ta poitrine.

Je me précipite de regarder ma poitrine, j'ai un pull qui recouvre le haut de mon corps. Il penser que me faire peur serait drôle, c'est pathétique.

- Tu te crois drôle ?

- Oui ! Maintenant casse toi du canapé, ou alors prends moins de place !

- C'est bizarre mais quand c'est toi qui donne un ordre j'ai tout de suite pas l'envie d'obéir.
Dis-je en le défiant du regard.

- Je te déteste tu peux pas savoir à quel point.
Dit-il en m'attrapent le bras.

Il me relève doucement, puis il me pousse vers un coter du canapé, puis il s'assoit. Voilà il a eu ce qu'il voulait.

- Je peux très bien savoir, car je te déteste tout autant.
M'écriée-je.

- Très bien au moins nous sommes sur la même longueur d'onde.
Dit-il avant d'allumer la télé et de zapper les chaînes, comme il le fait si souvent.

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A suivre...