Chapitre 19

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En mathématique, on cumule, on opère des tas, et des tas de choses. On effectue des grandeurs, on les additionne, les multiplie, tout comme on les soustrait ou divise. Initialement ces grandeurs ne montrent qu'un nombre qui se développe. Et tout devenait abstrait, logique ou bête... il aimait bien cette obsession pour les chiffres, et il en avait besoin. C'était son seul moyen pour se démarquer, son seul outil pour se sentir bien et utile. Toutes les fonctions ils les connaissaient, tous les vecteurs il savait les placer, et toutes ses propositions s'avéraient être vraies. Les heures sont des suppléments à soi. Elles se décomptaient par semaine, et se rentabilisaient tout le temps. Peu importe le moment. Il aménageait lui-même son temps de travail, s'oubliant parfois dans ses propres raisonnements. Puis, il s'agissait de tout gérer, de se dire que là, où on va perdre, et qu'il faudra équilibrer.

Cependant, en ce moment, ces principes-là, il les avait oublié. Il faisait chaud dans cette pièce. La nuit avait été mouvementée, et il n'aimait pas ces nuits où son sommeil bien que perturbait l'empêcher de dormir correctement. trop occupé à penser. Le jeune homme remua lentement dans son lit, ouvrant lentement les yeux, pour éviter toute sorte de migraine insupportable ou maux de tête quelconque qui prendrai des heures interminable pour s'en aller. Frottant ses yeux, il attendait. Inerte dans son lit double. Fixant son plafond assombrit par l'unique rideau de la pièce. Autour de lui... à part le silence du jour dans le prolongement de la nuit.

Oui, il avait si peut dormir, et il avait trop pensée. Il ne voyait que par les statistiques, les courbes, les plans... et tout renverser pour faire tout le jour J. Il ne le ferait jamais. Donner ses services et en profiter, voilà, à quoi il vouer ses passions. Cependant, il avait déjà, sans le vouloir fracturé cette routine.

Kokonoi Hajime, patron du casino était à la fois l'opposé de toutes les attentes des autres. Il avait son étages pour lui, son appartement, son lit et sa chambre et une terrasse. Son bureau était désordonné, comme la plupart du temps, son sac vidé par terre, ses fiches éparpillés partout et des cartes de visites ainsi que des posters accrochés au mur. On pouvait entendre les petits gazouillis des oiseaux qui fredonnaient des sons légers mais harmonieux. Il aimait bien se lever tôt.

Le regard dans la nuit faisait perdre son esprit, et les insomnies lui étaient trop lourdes et insupportables. La chaleur envahissait son corps, et sa tête avait tendance à trop se laisser s'éprendre dans les diverses perversions de son esprit. Il ne comprenait pas grand-chose... et en lui, un chaos venait de se dessiner sans qu'il ne comprenne pourquoi il était venu dans ses bras avec lui.

Il devait être aux alentour de six heures du matin, son réveil affichait l'heure par une lumière rouge qui clignotait légèrement. Assis sur le bord de son lit, il regardait sa chambre. Koko avait chaud. Et il avait mal dormi. Le regard plongé à moitié dans le noir, uniquement tamisé par les tenture accrochées aux fenêtres. La silhouette se redressa pour aussi vite se lever.

Assis sur le bord de son lit, non, il n'avait pas beaucoup dormi. Le regard plongé à moitié dans le noir. Hajime avait la tête ailleurs. La faible lumière de dehors montrait un temps presque maussade. Un peu comme son humeur. Il saisit son téléphone. Et une ribambelle de notifications défila sous ses yeux noirs perçant comme la profondeur d'un gouffre sans fin. Il craqua les os de sa nuque, avant d'expirer. Puis claqua les bulles d'air accumulé entre les os de ses doigts pour se lever avec force de son lit. Alors c'était ça, sa nouvelle routine encore... Koko se leva de son lit, pour tirer les rideaux. Dehors le soleil tapait fébrilement sur la vitre. Une erreur, il ne faisait pas gris. Le ciel était bleu, le temps semblait bon... il souffla, et ce garçon dans sa tête l'énervait qu'était-il ? Qui était-il ?

Il faisait chaud dans cette pièce. Le soleil frappait sur la vitre fermée. La nuit avait été mouvementée, et ce garçon, il haïssait lentement ces moments nocturnes, où son esprit trop affolé paraissait danser en diverse sensation. Tout ça l'empêcher de dormir. Étant trop occupé à penser à toutes sorte de chose. Le jeune homme remua dans son lit, il devait être à peine six heures du matin, le soleil était déjà levé, et sa fenêtre ouverte laissa passer une brise fraîche. Ses yeux, se réadaptèrent à la lumière lentement, il voulait à tout prix éviter une migraine. Il secoua sa tête ; se demandant ce qu'il allait faire aujourd'hui... il frotta ses yeux. Il voyait la mer, les mouettes semblaient voler en harmonie. Un bref rictus se dessina sur ses lèvres.

𝘊𝘢𝘭𝘤𝘶𝘭 𝘋𝘦 𝘊𝘩𝘢𝘯𝘤𝘦 | ᵏᵒᵏᵒⁱⁿᵘⁱ |Où les histoires vivent. Découvrez maintenant