Une valse, ne fait que tourner, pendant trois temps. Elle se compose d'une chorégraphie qui se mouve dans l'espace d'une pièce. Un peu frivole, on pourrait la remplacer facilement par quelqu'un d'autre, ou des personnes. Cette danse bien qu'elle ne date, tournait encore dans son esprit le plus calme. Il ne savait pas trop ce qu'il lui prenait, mais lorsqu'il fermait les yeux, il pouvait voir cette belle chorégraphie qui sifflotait un air plutôt plaisant dès son esprit encore endormit. Bien que ce morceau se compose en trois temps pour cette danse ; son cœur battait dans cette chamade nouvelle, tandis que son pouls s'accélérait pendant que son corps lui rappelait se toucher. Il y trouvait un peu de luxe dedans. Est-ce cela le sentiment extravagant qui nous mange ? Les sociétés adorent ces mouvements qui se découpent. Car oui, on y trouve de la beauté, et tout se mouve en une belle douceur de plaisir. Cisaillant un peu cette pointe blanche qui se meurt dans le bruit des talons, alors que les costumes de soirée tout comme les robes les plus sublimes valses, tournoient et dansent dans la salle. On pouvait encore entendre dans son esprit rêvant dans sa suite qu'il n'appréciait pas tant que ça cette musique où il avait dansé avec lui. Les rythmes trinaires sont les fameux mythes antiques d'une histoire qui s'amourache d'un couple amoureux en plein extase. Est-ce la découverte subliminal que l'on trouvait avec douceur et rage ravageant ? Car la découverte de douceur en est telle que le remue-ménage de ses pensées aussi tardives que tôt depuis un moment. On enlace cette personne, et autour de lui, les autres regardent se demandant qui sont ses étrangers avec qui l'affinité semble correctement passer. Koko était dans sa chambre, il ne faisait rien de bien intéressant.
Dans sa tête, il revoyait un beau spectacle alors qu'en face de lui le tableau montrait ces deux anges en train de se séparaient. Oui, le noiraud contemplait un vide étrange en face de lui, avec pour unique spectacle le soleil levant en face de lui. Les oiseaux avaient quitté les arbres, la lumière passait à travers son corps, il avait la sensation de brûler et d'être transpercé par un nouveau sentiment en lui. Hajime se sentait bien allongé, ici dans son lit trop grand et légèrement froid. Seul à contempler un spectacle étrange qui lui plaisait. Venu à ses dépens, ses pensées se changeaient en des paroles. Mais aussi surprenant que le reste, parfois un nuage sombre s'abattait sur lui, et assombrissait son esprit. De quoi s'éprenait-il ? Représenter le procès de ce qui le gagnait peu à peu ; le rendait distrait et il ne voulait pas penser. Non. Il voulait sûrement se faire rembourser pour que son cœur et son esprit se calme... il ne voulait pas ressentir un quelconque sentiment en lui. Koko se redressa, râclant l'excès de salive dans sa bouche. Il s'asseya dans son lit, regardant cette fenêtre et la vue qu'il avait devant lui. Il était dans ses pensées, oubliant un peu qui il était, un tant soit peu, juste le temps de se dire que ce garçon d'hier le rendait un peu louche. Dans son cœur et dans sa tête, le noiraud ne revenait jamais sur ce qu'il disait. Car, oui, au-dessus de lui, les anges pouvaient très bien se moquer de lui ; tout comme les démons qui le charriaient.
Au bout d'un moment le noiraud en avait marre. Il regarda son bureau trop bien rangé, la toile sur le mur, puis, la fenêtre qui laissait le soleil imbiber la pièce de rayon chaud et plaisant.
Au moment où il se leva, sans doute pour aller boire un verre d'eau pour se rafraichir, ou faire autre chose, on frappa à sa porte. Il marcha lentement, espérant que personne ne s'y trouve derrière. Oui, il ignorait ouvertement ce quelqu'un derrière ce morceau de bois. Rien ne semblait être intéressant, ou tout bonnement poignant. Peut-être était-ce une blague ou pas... en tout cas, aujourd'hui il se sentait calme et serein. Et il se disait que rien ne pouvait le déranger, rien hormis le silence et lui. Le noiraud passa sa main dans sa tignasse, grattant un peu son cuir chevelu. Le bruit de la porte recommença, c'est ce qui le fit grogner. Il avança dans la pièce, ne pouvant ignorer le raffut de cet individu qui rompait son silence avec trop de bruit. Lorsqu'il ouvra la porte, il voulut la refermer aussi vite. Sanzu était là devant le seuil de celle-ci, un regard complétement ailleurs, son monde presque à l'envers. S'il était venu ici, ce n'était par un exploit surhumain. Cependant le blanc regardait Koko avec un air aussi triste que joyeux. Le noiraud se contente de le regarder et de le faire entrer. Peut-être allait-il servir de journal intime pour le cœur de son ami, ou autre... en tout cas, il ne voulait pas le laisser dans cet état-là.
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𝘊𝘢𝘭𝘤𝘶𝘭 𝘋𝘦 𝘊𝘩𝘢𝘯𝘤𝘦 | ᵏᵒᵏᵒⁱⁿᵘⁱ |
FanfictionNous y voilà au Black Dragon... Ne voir que par des calculs, des statistiques ou des potentiels... il se l'était fixé en une passion trop forte, qui occupait son esprit en une chanson interminable. Et pourtant dans les murs de la vie, il l'avait vu...