L'appartement de Koko n'était pas très loin, et pourtant, à force de se coller contre les murs, à s'embrasser et d'heurter des meubles comme des animaux en plein rut... ils perdaient du temps précieux, qui dans leurs yeux ne souhaitaient que l'autre. Pour une fois, il se sentait vu et compris par quelqu'un qui avait la même envie qu'en ce moment même. Une symbiose nouvelle à laquelle ils pouvaient goûter. Inui soupirait fortement, il avait réussi à laisser quelques suçons sur la peau légèrement blanche de ce noiraud qui lui faisait perdre légèrement la tête. Ce garçon espiègle qui occupait ses pensées le faisait se sentir bien et lui donnait un peu de ce qu'il voulait. Privé... non, il ne s'était pas abandonné à ça depuis longtemps. Il se sentait moins seul, et bizarrement, il commençait à aimer le bazar qui s'installait lentement dans sa tête. Seishu se laissa faire contre cette espèce de commode, il écarta ses cuisses, pendant que l'autre s'y invitait lentement entre elle. Koko ne comprenait pas trop ce qu'il se passait, mais il aimait tout autant que le blond se laisse faire. Il guida sa bosse sur celle de ce garçon qui en avait autant envie que lui. Son cœur tambourinait et son ventre brûlait en la frappant de l'intérieur. Hajime se sentait palpiter un peu plus bas, est-ce que ce beau blond ressentait ça aussi en lui à ce moment précis ? Peu importe, il se rua comme un assoiffé sur les lèvres de ce garçon. Il l'embrassait glissant de temps à autre sa main dans le pantalon de cet inconnu qui se laissait faire. Comme s'il avait retrouvé sa moitié... cette chose ne lui manquait plus. Il le porta jusqu'à sa suite. Elle ne lui avait jamais parue autant loin auparavant. La porte de la pièce de Koko s'ouvrit en un grand fracas, quand avait-il à faire, il s'agissait de son étage. Il embrassa une fois de plus les lèvres sucrées de ce blond qu'il plaqua aussi vite contre la porte. Il laissa sa langue descendre dans cette nuque bronzée qui lécha incommodément sans gêne pour y planter ses dents. Mais l'autre se montra plus dominant que prévu, il inversa leurs positions, prenant en main cette bosse naissante dans le pantalon de ce noiraud. Les deux amants retirent leur respiration. Puis, ils finirent par gémir en une plainte plaine de désir.
- « J'ai envie de toi... » souffla Hajime qui faisait bouger son bassin contre celui de Inui. Il cherchait plus de contact, et tenta de faire un suçon à ce garçon qui lui malaxait l'entre-jambe.
- « Je suis mieux qu'une pute. » assura l'autre qui pencha sa tête en souriant légèrement de coin. Il ondula sur le noiraud avant de sourire de manière étroite. « Accompagne-moi ce soir... je ne veux pas être seul... » murmura-t-il dans un élan de désir.
- « Putain... je veux ton prénom. » se plaigna l'autre qui se rua dans le cou du blond pour le lui mordre laissant un énorme suçon rougeâtre. Inui soupira, gloussant de désir et de douleur, il déboutonna le pantalon serré du noiraud qui le remercia en le portant en une vitesse folle vers le lit. Il se calla entre ses jambes. Et il profita de la vue.
- « Fais-moi l'amour... je ne veux pas être seul. » avoua l'autre qui semblait se balancer de tout ce qu'il disait.
Inui attendait dans le lit de Koko. Allongé contemplant le noiraud qui était en face de lui, les joues rouges, le regard emplit de désir. Celui-ci, lui avait retirer son pantalon, lui léchant le mollet jusqu'à l'intérieur de sa cuisse. Il frémit. Aimait-il ça ? Le blond étouffa un gémissement, écartant un peu plus ses jambes, laissant l'autre faire son tour... un frisson chaud le prit, il gloussa. Il mordit sa lèvre soupira de plus en plus fort et vite, sa bosse augmenta son caleçon le serrait. Il bougea faisant comprendre à l'autre que cette attente était de trop. Le noiraud sentit descendre de ses épaules sa chemise déjà déboutonner, elle atterrit sur le sol. Son pantalon ne tarda pas non plus à la rejoindre. Hajime colla son entre-jambe sur celle du blond qui écarta les cuisses. Ils grognèrent à ce contact imprévu.
- « Koko Hajime... je veux qu'on baise... » assura Inui en reprenant le dessus, il bascula leur position. Il entreprit même des va-et-vient sur leur deux bosses. Le noiraud étouffa un soupire assez long et fort, tandis qu'il sentait son caleçon glisser lentement de son bassin. Il sentit un frisson sur son corps, puis il sourit en imitant le blond.
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𝘊𝘢𝘭𝘤𝘶𝘭 𝘋𝘦 𝘊𝘩𝘢𝘯𝘤𝘦 | ᵏᵒᵏᵒⁱⁿᵘⁱ |
FanfictionNous y voilà au Black Dragon... Ne voir que par des calculs, des statistiques ou des potentiels... il se l'était fixé en une passion trop forte, qui occupait son esprit en une chanson interminable. Et pourtant dans les murs de la vie, il l'avait vu...