Chapitre 6

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La maison des jeux... un endroit fortuné, un surnom donnait au Black Dragon. La ville vivait le soir, et ce casino devenait une ruche nocturne. Qui que ce soit, arrive et repart avec cette envie louche de perdre ou de gagner. Les soir était spéciaux ici. Les personnes en quête d'argent devenaient comme des vipères, tandis que d'autre devenait des proies. Certains se transformer en vampire, et chercher à assouvir cette faim en eux. Koko le savait cet endroit qu'il avait battit, pour appâter les gens était un succès, mais cet argent... était-il de trop ? Les machines chantaient une espèce de chanson raisonnante tout en annonçant s'il s'agissait d'une combinaison gagnante ou perdante. Les lumières clignotaient autour de celle-ci, alors que les clients disparaissaient pour pouvoir se concentrer sur une autre machine plus bruyante. Les leviers s'enclenchaient systématiquement et faisaient tourner les tubes qui permettait de savoir la combinaison de symbole. Les clignotants servaient avant tout à décorer cette machine aux sons abusifs qui étaient vraiment abusés. Tout était question d'un sentiment qui perdure. Des gens perdaient, d'autres gagnaient... tel était le but du jeu. Hajime rangeait le salon privé, et il souffla, un patron voilà ce qu'il était. Le casino était comme un hommage, ouvert au public tout ce qu'il y avait était légal, cependant, il fallait tout de même se méfier de ce monde qui s'invitait le soir... des ruses y naissaient. L'argent rend fou. Le sort se scellait dès que l'on passé la porte du Black Dragon. 

Jeux d'argent ; jeux de hasard... chance ou malchance. Le noiraud connaissait ses domaines comme le fin fond de sa poche. Et on ne voyait que ça dans le monde. Puis, ce phénomène était décuplé dans ce lieu. Les tapis rouges ou verts sur les tables semblaient être habillés de croupiers en costard noir, qui arboraient un visage neutre presque sans âme. Les vigils faisaient des rondes, ou du surplace, en s'assurant que les choses soient en ordre et correctes. Il ne fallait pas qu'il y ait des nuisibles. Poker, black jack... roulettes, baccarat... machine, jeton sabot ou carte... tout y était. Le but était de faire revenir et de faire jouer après tout. Tout semblait être mis en place pour pouvoir séduire avec désinvolture cette envie de jeu pour revenir. Koko le savait le but et de séduire... la recherche du gain, l'appât de ce qu'on le ne possède pas. Presque tout se fondait sur des logiques incompréhensibles ; la masses de la fortune dirige le monde et ce casino ne servait qu'à augmenter cette vulgaire penser que Koko haïssait. 

- « Eh Koko... tu fais quoi tout seul ? » fit une voix familière qui avança vers lui. Il remarqua Sanzu dans une tout autre couleur de cheveux. Le noiraud esquissa un bref sourire, puis soupire en voyant Rindo... il savait ce qu'il allait dire.

- « Tu t'es fait des putes sans nous ? » renchérit Rindo qui s'approcha aussi, alors que Ran souriait bêtement. 

- « J'ai dit pas de putes ce soir. Vous êtes cons ou quoi ? » pesta le noiraud qui leva les yeux vers le plafond avant de s'assoir sur une chaise. « Vous en loupez vraiment pas une... » il dévisagea ses ami un court instant, avant de voir sourire maladroitement Rindo. « J'ai loupé quoi ? » 

- « Rien on voulait des putes nous. Et toi ? T'as pris ton pied mon salaud ? » renchérit le garçon au mulet violet, alors que celui à la même coupe rose riait.

- « Mouais... et, vos gueules ou je balance. » menaça-t-il. Les deux autres se calmèrent en demandant un shoot de vodka en adéquation avec leur couleur de cheveux.

Ran, lui restait toujours calme, presque trop posé. Quelques gens commençaient à devenir un peu soûles... ce qui agaça le groupe des trois jeunes hommes qui avaient demandé à faire sortir ces individus insupportables. La musique rythmait la soirée tout comme leurs conversations toutes plus absurdes que les autres. 

- « Vas-y ! » provoqua Sanzu. Il se redressa. « Fais-le, fais la poucave espèce de rat. » 

- « T'es sûr... je peux dire même ce que tu me confis depuis au moins trois mois ? » provoqua le noiraud avec un regard espiègle qui refroidit aussi Sanzu qui s'affala dans le siège.

𝘊𝘢𝘭𝘤𝘶𝘭 𝘋𝘦 𝘊𝘩𝘢𝘯𝘤𝘦 | ᵏᵒᵏᵒⁱⁿᵘⁱ |Où les histoires vivent. Découvrez maintenant