4 - Ne me laisse pas !

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Pdv Izuku :

Je suis réveillé par une sensation d'étouffement, comme si quelqu'un me serrai la gorge. J'ai du mal à avoir les idées claires comme si quelque chose embrumait mon esprit. C'est quoi se délire ? Je bande au point que ça me fasse mal et une envie de tout détruire qui me submerge. Je me sens perdre pied de plus en plus, perdant presque consciences quand j'ai un éclair de lucidité. J'attrape la seringue dans ma table de chevet et me l'a plante dans la cuisse. (NDA : Les "seringues" ressemble au auto injecteur pour les chocs anaphylactiques. photo fin de chapitre)  Il me faut cinq bonnes minutes avant que je reprenne entièrement mes esprits et le contrôle de moi même. Ma chambre embaume la vanille. Cette odeur, je l'ai déjà senti sur Katsuki, ça doit être ses phéromones. Mes là, elles ont quelque chose d'acidulé, comme du citron. 

Katsuki doit avoir ses chaleurs. Je crois ne pas avoir pensée à ça et ne pas avoir pris le nécessaire... Donc, je prends mon courage et ma force mentale a deux mains et me dirige vers sa chambre. plus je me rapproche, plus l'odeur devient du citron. une fois devant sa porte, je déglutis et frappe deux coups à la porte mais aucune réponse. J'ai dû mal à supporter tout ses phéromones... Elles sont si... appétissante.

Izuku : Katsuki, ça va ? Tu as besoin de quelque chose ? *Déglutit avec difficulté*

Katsuki : Mmmh... Je... Suppresseur... Vite ! *au bout de sa vie*

Merde... J'avais pas prévu ça moi ! J'avais que pour les moi, et je crois avoir utilisé la dernière dose toute à l'heure... En plus, pour plus d'efficacité, il faut les faire sur mesure. J'aurai dû être prévoyant, quand je suis en rut, je suis super violent. Pendant que je réfléchis, je n'entends pas une des domestiques arrivée.

Domestique : Maître, vous avez besoin d'aide ? Je ne pense pas que ça soit judicieux de rester ici.

Izuku : Nan, vous êtes sûr ? *Sarcastique* Il faudrait que vous allez à la pharmacie acheter des suppresseurs pour oméga et pour moi. S'il vous plaît.

Domestique : Bien.

La domestique part en courant. Je donne un coup dans le mur à côté de moi, me sentant impuissant. Je n'aime pas du tout être impuissant. Putain !!! Ça n'arrange rien... Si il rentre en chaleur il active les miennes se qui accroît les siennes. Bon, moi je dois sortir, vite. Je sais pas quelle heure il est mais je m'en fous. J'attrape une veste et sorti de chez moi. Dehors, le ciel est d'un bleu sombre parsemé d'étoiles, toutes plus brillantes les unes des autres.

Pdv initial :

Pendant que Izuku marchait pour éviter de faire une conneries avec le blond, Katsuki était littéralement en PLS sous sa couette. Jamais il n'avait eu des chaleur pareil. Il avait la peau beaucoup trop sensible et quand il avait senti les phéromones de Deku... Oui, il l'appelle comme ça parce que ça ressemble à son prénom et qu'il trouve que ça lui va bien. sa peau est tellement réactif que juste le frottement des draps sur son corps lui prodige des frissons. Katsuki n'avais pas de suppresseur en comprimé ni en seringue et n'a rien pour se soulagé. C'est la première fois qu'il réagit aussi violement, et il a peur que si il ne fait rien il y reste.

Cela faisait plusieurs heures que la jeune femme était parti. Malheureusement, les pharmacies dans lesquels elle était passée étaient soit en rupture de stock soir fermé. Du côté de l'alpha, celui ci avait de plus en plus de mal à refoulé ses pulsions de détruire cette porte qui m'empêchait d'assouvir son besoin de prendre l'oméga relativement violement. Rapidement, même trop, le suppresseur ne faisait plus effet. Izuku se sentait vriller mais il arrive tout de même à garder la situation calme. Il avait essayer de partir de la maison mais il ne pouvait tout simplement pas quitter cette odeur, comme un toxicomane avec sa came. Il essayait tant bien que mal à limiter ses phéromones mais malheureusement, l'oméga les sentait. C'était bizarre, il avait envie de l'alpha. Jamais au paravent il n'avait ressenti se besoin pour aucun alpha. Mais même si son corps le désirai, son esprit le détestait. Donc il lutta. Même quand l'alpha de l'autre côté de la porte lui hurlait d'ouvrir. Même quand il entendait les poings du vert s'écraser sur le mur faisant vibré les cadres. Les phéromones sexuelle de l'alpha avait une odeur de bonbons acidulé à la pomme...

Nos Âmes Perdues [INTEGRAL]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant