Attention, ce chapitre aborde des sujets sensibles. ⚠️
Bonne lecture 👀
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??? : Bonjour monsieur Bakugo, je suis le docteur Asui, mais appeler moi Tsuyu si cela vous mets plus à l'aise. Si vous êtes là aujourd'hui, arrêtez moi si j'ai faux, c'est pour votre dépression. C'est bien ça ?
Katsuki observa la femme assise, jambes croisées en face de lui sur un vieux fauteuil. De son canapé de la même matière, il se répéta que c'était une mauvaise idée, qu'il ne devrait pas être ici. Mais son amant a vraiment insisté. Alors le voilà, en face une personne qui, il y a peut, aurait pu parié de ne jamais en rencontrer dans se cadre.
Dans un grognement pour acquiescer les dire de la femme, il croisa ses bras sous sa poitrine tout en ronchonnant.
Tsuyu : Bien, comme c'est la première fois que je vous vois, il va me falloir une petite autobiographie. Je sais que se n'est pas agréable de ressasser le passé, mais il va me falloir toute l'histoire, même les petites lignes qui vous paraissent intéressantes. Je veux tout savoir de A à Z. On va voir si le problème ne vient pas des racines.
Katsuki détailla en détail le docteur pour gagner du temps. Elle est plutôt mignonne avec sa robe décontracté vert, assortis a ses cheveux aux reflets de la même teinte. Elle fait preuve d'une franchise qui le déconcerte un peu, mais ça le rassure d'un côté.
Se serait mentir de dire que sa situation lui plaît. Il adore parler de sa vie digne d'une série américaine surtout devant une inconnue qui est la pour décortiquer ses dires afin de mettre le doigt sur se qui ne va pas.
Katsuki : Tss, Je comme part où ? *Agacé, mal à l'aise*
Tsuyu : Votre enfance, du plus loin que vous vous souvenez.
Katsuki ferma ses yeux. Il se prépare psychologiquement à affronter toute les choses qu'il avait enterré avec joie. Il ne voit pas l'utilité a ça, il l'a déjà dit à Izuku. Mais bon, il veut lui faire plaisir et quitte à être là, autant se donner les moyens. Il fouilla dans sa mémoire pour remettre les éléments en place dans sa tête. Un poids extrêmement gênant se dit ressentir dans sa poitrine.
Katsuki : Très bien. Je suis né de deux parents alphas. Mitsuki et Masaru Bakugo. De ma naissance à mes dix ans à peut près, j'ai eu une vie normale en dehors du fait qu'ils étaient à la tête de la mafia. J'étais bon a école, j'avais des amis mais aussi des souffres douleurs. Je me pensais supérieur à eux, parce que j'étais le fils de deux individus alphas, de mafieux. Alors le jour où mes premiers chaleur on débarquer, se fut un terribles chamboulement. A l'école, tout mes pseudos amis se sont retournés contre moi et on commencé à me martyrisé. Et chez m- chez eux, ils ne voulais pas l'admettre. Ils ne voulais pas avoir pour seul descendance un oméga. Alors ils ont décidé de me confirmer a un "essai clinique" qui consistait à faire d'un oméga possédant les gênes d'alpha un alpha. Sur toute les personnes qui était avec moi, ça a fonctionné. Mais évidemment, se n'était pas mon cas.
Katsuki ne sais pas pourquoi c'est si facile de parler de ça a cette Tsuyu, mais il se sent écouter. Pas un seul mot ne passe à la trappe, la femme ne prend même pas de notes. Elle l'écoute juste. La gorge de blond commençait à se serrer. Il ne voulait pas parlé de se qu'il s'était passé. Ça lui faisait mal rien que de se rappeler des quelques morceaux de se souvenir. Sûrement le mieux cacher.
Katsuki : Un soir, après être allé à l'hôpital pour l'essai, je suis rentrée la boule au ventre. J'avais les résultats des analyses stipulant que je serai toujours un oméga, que jamais je se serait comme eux. Je me rappelle être resté plusieurs minutes face à la porte de la maison. J'avais peur d'eux. Je savais que j'allais souffrir. Mon esprit me hurlait de partir en courant. Mon corps était tétanisé. J'ai attrapé la poignets de ma main libre et suis rentrée dans le salon. Masaru était assis sur le canapé quant à sa femme a côté de lui. A ma vue, leur expression neutre a viré au dégoût. Je les dégoutaient. Il ma demanda se que c'était, le papier. Je n'ai rien répondu. Ma voix était coincé. Il c'est alors énervé et m'a arraché des main la feuille. Il l'a posé sur la table basse et ma dit d'aller manger. Il n'y avait que du pain et du pâté. Comme a tout les repas. Je me rappelle, j'étais au ange qu'il n'aient pas regardé les résultats. Je me suis dépêcher de manger mais en voulant monté dans ma chambre, la voix de Mitsuki me cracha de venir les voir. J'étais fasse a eux pendant qu'il lisait le papier, je voyais leurs visages de déformé de colère, c'était effrayant. Masaru c'est lève lentement puis c'est avancé vers moi alors que j'étais littéralement figé par la peur. A ma hauteur, sans que je ne puis l'éviter, sa main rencontra ma joue se qui me fit perdre l'équilibre.
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Nos Âmes Perdues [INTEGRAL]
FanficOmergaverse Dekubaku parce que j'aime bien se ship et aussi parce qu'il y en a peut ! . . . . . . ATTENTION ⚠️ Cette histoire peux heurter la sensibilité des lecteurs. Des thèmes comme le viol, la maltraitance infantile, le suicide, la dépression...