RATTRAPÉE PAR SON PASSÉ

Épilogue

Deux ans plus tard.

Gabriel.

J'embrasse Alex sur la bouche pour retenir ses cris, je la pénètre lentement puis plus fort en alternant, ses ongles s'enfoncent dans mon dos, son corps ondule contre le mien, mes deux mains tiennent fermement ses hanches pour ne pas qu'elle tombe, son cul au bord du bureau je sens le meuble craquer et cogner contre le mur à chaque coup de reins. Ses jambes s'ouvrent encore plus, elle m'embrasse avec passion, à chaque fois qu'elle est bord de l'orgasme je ralentis pour mieux revenir avec force.

— Qu'est-ce vous foutez là-dedans ! crie notre chef en tapant à la porte de notre bureau, dans mon bureau !

Putain on peut pas baiser sa femme tranquillement, je suis au bord de l'orgasme je compte pas arrêter maintenant, on est jamais tranquille sans déconner.

Alex lui crie qu'on arrive pendant que mes dents attrapent son téton que je mordille lentement, Alexia halète de plus en plus, je sens sa petite chatte brûlante se contracter, elle m'attrape par les cheveux pour venir m'embrasser dans le cou avant de m'embrasser avec passion, elle explose deux minutes après en s'accrochant à mon cou, mon orgasme explose silencieusement mais extrêmement intensément comme d'habitude.

Je l'embrasse langoureusement en laissant mon corps profiter de cette sensation d'extase.

— Mon cœur faut que tu arrêtes de me sauter dessus au boulot, on va finir par avoir des problèmes, dit Alexia en replaçant ses seins dans son soutif avant de remettre son tee-shirt.

— C'est toi qui m'allumes Alex, rhabille-toi avant que je t'arrache ta culotte.

Elle rigole en me lançant un regard rempli de désir, on continuera ce soir, on va enfin être en vacances.

On se dépêche de se rhabiller, je l'embrasse une dernière fois avant d'ouvrir la porte en tapant sont jolie petit cul.

— T'es trop sexy mon cœur, vivement ce soir que je t'arrache cette culotte, murmuré-je dans son oreille avant de partir dans le bureau de mon chef.

Aujourd'hui ça fait un mois qu'on est mariés et j'avais pas envie d'attendre pour le fêter. Enfin c'est surtout elle, elle est arrivée dans notre bureau en fermant à clé avant de me chauffer à mort, elle voulait sentir ma langue sur son corps et en bon mari que je suis je ne pouvais pas refuser la demande de ma femme.

— Désolé les jeunes, dit mon chef en déposant le rapport sur son bureau, votre lune de miel devra attendre, vous êtes les deux seuls disponibles.

Ouais on vient déjà de la reculer deux fois et ça m'emmerde, je demande juste deux semaines de paix pour pouvoir passer mes journées enfoncé dans ma femme, sans enfants ni travail mais apparemment les criminels ont décidé de me faire chier jusqu'au bout.

On vient de résoudre une enquête assez éprouvante il y a deux jours et nous voilà réparties sur une nouvelle affaire avec ma coéquipière enfin je veux dire ma femme.

Comme avant on s'énerve à deux sur la manière d'opérer mais c'est avec elle ou rien. Je ne me vois pas travailler avec quelqu'un d'autre et c'est pareil de son côté, même si on s'engueule souvent pendant les enquêtes on est une très bonne équipe et nos statistiques sont excellentes.

— C'est rien, dit Alexia en parcourant le rapport, on a déjà dû décaler deux fois, on va s'en occuper, il faut juste que je décale notre réservation à l'hôtel.

Tu m'étonnes, toujours aussi sérieuse celle-là, elle aime ça courir après les méchants.

— Et les billets d'avion, dis-je en soupirant, mais après celle-là on part vraiment, pas de dossier, rien.