RATTRAPÉE PAR SON PASSÉ

Chapitre 49

Gabriel

— Qu'est-ce que tu fous Alex ? Ça fait dix minutes que tu m'allumes pour me laisser en plan ! Je te laisse trente secondes et ensuite je viens te chercher, amène ton cul...

J'ai pas le temps de finir ma phrase que je vois cette sublime femme ouvrir la porte en souriant et quand je vois comment elle me rejoint j'ai déjà oublié l'attente, j'arrive pas à croire qu'elle soit à moi, j'ai pas les mots, elle est à la fois sexy, coquine, vicieuse, elle peut pas exister c'est un fantasme.

— Ça valait le coup de patienter dix minutes non ? dit-elle en me lançant un regard coquin, interdit de l'arracher celui-là.

Putain ouais, je croise mes bras derrière ma tête en laissant mon regard parcourir son corps.

Elle porte un déshabillé noir en satin transparent qui lui arrive en haut des cuisses, des portes jarretelles avec des bas sexy en dentelle noir, des magnifiques talons qui subliment ses longues jambes, ses cheveux sont détachés et avec juste du rouge sur les lèvres, elle est splendide. Je suis sûr que le reste va me plaire.

Elle s'avance lentement en me fixant, ses doigts manucurés dénouent lentement le nœud, elle laisse le tissu soyeux glisser le long de son corps en m'aguichant, toujours en s'avançant lentement je peux me régaler du spectacle, je bande comme un gamin, j'ai l'impression de ne pas pouvoir contrôler mes hormones, elle dégage une sensualité impressionnante.

J'ai la respiration qui se bloque, je déglutis difficilement, son déshabillé se retrouve par terre, j'ai devant moi la plus sublime des femmes, elle va finir par me tuer avec sa lingerie.

Avec sa guêpière noire en dentelle transparente qui épouse ses formes à la perfection, une couleur ultra glamour, un parfait mélange de tissus transparent et de satin, avec un petit string assorti que j'ai déjà envie de lui arracher.

Elle tourne lentement sur elle-même, son magnifique cul est parfait.

— Tu es magnifique, une déesse de la sensualité, maintenant viens, j'ai besoin de faire descendre la pression, dis-je en me redressant super excité.

— Ne bouge pas chéri, je vais m'occuper de toi, dit-elle en se mordant la lèvre.

J'envoie voler mon boxer dans la pièce sans perdre de temps avant de me rallonger en me caressant, je suis nu et mon excitation est flagrante, à son tour de me dévorer des yeux, je vois ses cuisses se frotter l'une contre l'autre, elle monte sur le matelas à quatre pattes, on dirait un félin qui va sauter sur sa proie.

Elle laisse glisser sa langue le long de mon ventre quand elle se retrouve entre mes jambes, ses deux mains remontent lentement sur mon torse, elle s'installe sur moi en déposant des baisers brûlant avant de remonter jusqu'à mon visage.

— Je t'aime, j'aime quand tu me regardes comme ça, j'ai l'impression d'être la seule personne qui compte, dit-elle en mordillant mon oreille.

Je pose mes deux mains sur ses fesses en la ramenant contre moi, je pourrais la pénétrer d'un coup, mais je veux faire durer le plaisir encore plus, elle se frotte contre moi en soupirant de plaisir. Une fois je lui ai dis qu'elle était mon paradis et je le pensais, je le pense toujours, elle est importante, elle et ma fille.

— Oh bébé, tu es à moi et j'ai l'intention de te garder mais surtout d'en profiter, l'informé-je en arrachant d'un coup sec son minuscule string.

Elle se redresse en me fusillant des yeux, je laisse tomber le tissu dans le lit, je l'embrasse en la retournant sur le dos on discutera de ça plus tard, pour l'instant je compte la baiser comme un fou.