𝐓𝐫𝐮𝐬𝐭 𝐦𝐞 𝐚𝐧𝐝 𝐥𝐨𝐯𝐞 𝐦𝐞。「𝐊𝐚𝐤𝐚𝐬𝐡𝐢𝐗𝐎𝐂」

ᴄʜᴀᴘɪᴛʀᴇ ④: ʀᴇᴛᴏᴜʀ à ᴋᴏɴᴏʜᴀ

Il était déjà l'heure de se remettre en route. Durant le trajet, je remarquais que mon ami était bien différent de celui à qui j'étais confié . Je me suis dis que cela était parce que nous étions réellement en mission contrairement aux fois ou nous avions discuter car c'était les fois ou nous étions en pause.

Nous arrivions enfin à Konoha et le soleil c'était déjà coucher depuis quelques minutes voir même une heure.

Nous sortons du bureau de l'hokage, signe que notre mission était bel et bien terminé et que nous pouvons aller nous reposer.

Je senti une mains agrippée mon poignet. Je me retournais et je vis la nouvelle, celle qui aimait bien notre chef. Je lui souris et lui fis signe de me laisser tranquille.

-J'aimerai te parler Gaïa. Me disait-elle sèchement.

-Désolé, mais je suis vraiment fatiguer alors j'aimerai rentrer chez moi.

-C'est vrai qu'en passant la nuit avec notre chef à flirter, ça fatigue. Me disait-elle avec un ton encore plus énerver.

Cela était aussi mon cas alors je me mis face à elle.

-Qu'est ce que tu me baragouines?

-Je t'ai vu de la fenêtre de ma chambre, à l'auberge.

-Eh donc? Je n'ai plus le droit de m'assoir sur un banc pour prendre l'air et parler avec mon chef? Cela te dérange?

-Oui cela me dérange et toi aussi tu me dérange.

Elle me défiait du regard mais je n'entrais pas dans son jeu alors je lui offrais un regard blaser. 

Soudain, je vis son poing se lever. Elle va oser me frapper et risquer sa place juste par simple jalousie? Son poing se rapprochait de mon visage mais je ne bougeais pas car ma place était bien plus importe qu'une querelle avec une gamine. Je relevais mes yeux et je remarquais que notre chef saisissait le poignet de mon interlocutrice.
Il avait l'air plutôt furieux quant à elle, elle gémissait de douleur. Il devait exprimer sa colère en serrant fortement son poignet.

-Merci chef. disais-je pour casser le silence qu'il régnait.

-Toi, va toute suite présenter des excuses à Gaïa et rentre dans le bureau de l'hokage. On va arranger cette histoire immédiatement. Disait-il froidement.

-Non c'est rien, chef. Lui avouais-je

Mon ami n'était pas de cet avis et l'envoyait immédiatement dans le bureau de l'hokage. De mon côté, je rentrais enfin dans mon appart à Konoha.