• Chapitre 25 : Activité génitale du coït •

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- Moi : Enfin, quand je dis que je ne suis pas prêt, c'est que je ne suis pas prêt que toi tu.. enfin...que tu rentres en moi mais l'inverse ne me poserais pas de problème... Bref, tu vois ce que je veux dire.

- Anthony : Oui oui, ne t'inquiète pas Ethan.

Il marque un temps avant de reprendre.

- Anthony : Tu peux me parler ouvertement et sans gêne de ce sujet, tu sais? J'ai très bien conscience du fait que tout ça c'est nouveau pour toi et que tu te poses encore pleins de questions, moi même je m'en pose encore donc je veux que tu te sentes à l'aise de me faire part de tes doutes et questions.

Les gens manquent de compréhension de nos jours, aveuglés par leur égoïsme et leurs déclarations stupides du type « moi si j'étais à ta place (...) ». Anthony était tout le contraire, il me rendait vraiment serein, il me rassurait. Pour une fois dans ma vie, j'avais l'impression qu'on me comprenait. Je ne savais toujours pas par quel miracle il avait été mené à moi mais j'en étais infiniment reconnaissant.

On a finit par nous endormir. En même temps, comment ne pas s'endormir quand on est allongé sur le torse de la personne qu'on aime dont on entend le coeur battre?

Cependant, on est réveillé par des bruits derrière le mur. Il semblerait qu'une fille se soit faufilée dans les chambres des garçons car on pouvait clairement distinguer des gémissements féminins. On se met à ricaner avec Anthony, mais très vite on remarque que ça nous donne nous-mêmes des envies. Mon regard me trahis. Anthony passe son index sur mes lèvres ce qui les entre-ouvre. Il y plonge alors sa langue. Pendant ce temps, il tire mon t-shirt pour l'enlever. Je lève mes bras et passe ma tête dedans avant de me recoller à ses lèvres. Je le déshabille ensuite à son tour.

Le lit de la chambre d'à côté tape contre le mur. Les gémissements de la fille s'intensifie, elle crie à son ou ses partenaires de continuer, d'y aller plus fort, plus profondément, plus vite.

On enlève cette fois-ci nos bas et on s'enlace tous nus. Sa peau contre la mienne semble faire des étincelles. On est brûlants. Anthony nous fait basculer de sorte à se retrouver allongé sur moi. Je sens son liquide seminal s'étaler sur mon ventre. En même temps, on commence à nous branler mutuellement frénétiquement. Je craque :

- Moi : Anthony? Tu veux qu'on le fasse?

- Anthony : Tu es certain de le vouloir toi?

Je pose sa main son mon entre-jambe pour lui prouver que j'en avais plus qu'envie. Même si on est plongé dans l'obscurité, je me doute qu'il sourit à ce moment-là. Anthony sort euphoniquement de ses affaires un lubrifiant. Le coquin, il avait tout prévu. Pendant que je l'applique, il s'allonge sur le dos en écartant légèrement les jambes. Je dépose des baisers sur ses fesses avant de les mordiller. Elles sont fermes et parfaitement arrondies, je pourrais les admirer pendant des heures, et c'est ce que j'aurais aimé faire mais bon, il faut que je me lance. Je prends une grande inspiration avant de dire :

- Moi : Tu me dis si je te fais mal.

- Anthony : Ne t'inquiète pas, vas-y.

D'une main, je dirige mon pénis vers son anus pour l'enfoncer très très doucement. J'y vais avec la plus grande des délicatesses en prenant tout mon temps. Je sens que mon gland est dedans. Sur ce, Anthony relève la tête et gémis.

- Moi : Tout va bien?

- Anthony : Oui... Tu t'en sors...

Je rentre un peu plus profondément.

- Anthony : ...très bien, oh wow.

Une fois que je sens qu'il est suffisamment écarté, je me permets de progressivement augmenter la cadence. Je dépose des bisous sur le dos d'Anthony, passe mes mains dans les siennes qui tirent les draps, de même que ses dents. Mon corps semble planer au-dessus du sien, mes mouvements de reins sont si fluides et souples qu'on dirait que je vole. Anthony tourne de l'œil et se retourne pour me regarder rentrer en lui. Il cambre et remonte un peu les fesses. On entend des claquements qui sont parfaitement accordés au rythme des cris de la fille de l'autre côté du mur.

La tension augmente, toutes les veines de mon corps se drainent. En attrapant de mes deux mains ses cuisses, je l'aide à glisser sur le long de ma bite. Des larmes d'extase coulent sur ses joues rouge-écarlates. Ses cheveux ébouriffés illustrent parfaitement l'intensité de ce moment. Je ne tiendrais plus très longtemps, lui non plus, ni la fille.

Je vois que ses jambes tremblent, je pose une main sur sa bouche pour éviter qu'il ne réveille toutes les personnes qui ne le seraient pas encore.

- Anthony : Mmmmm...mhmmmm...

Il perd complètement le contrôle et s'effondre sur le lit pendant qu'il atteint son orgasme prostatique. A ce moment, je sors rapidement de lui et me vide sur son dos pendant que notre voisine de chambre hurle de plaisir. Après ça, silence. Chacun essaie de reprendre son souffle. Épuisé par cet acte, on se rendort très vite sans même nous rhabiller. Je prends juste le soin d'essuyer Anthony et lui dépose un petit bisou sur la nuque.

En me réveillant le matin je vois qu'Anthony m'observe en me faisant un petit massage sur le dos. C'est exactement le genre de réveil lors desquels on a envie de tout sauf de sortir du lit. Malheureusement, aujourd'hui notre petit séjour prend fin et on doit rentrer chez nous.

Timide Torride IIIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant