Partie 61
-abdel : tas vu quand jai dit que tétais la (en montrant son crane), ba sah t'es la aussi (en pointant son coeur, j'ai fondu quand il a fait ca lol). Mais jte jure que jveux pas. Jsuis pas pour toi ahlam
-moi : ah ... d'accord
J'commencais a avoir les larmes qui me monter aux yeux, jsuis descendu de la voiture, jvoulais juste partir, jétais trop décue, jdevais etre juste une passade pour lui enfaite il veut pas m'aimer, il me fesait comprendre que cétait une erreur. Mais jai senti quil me tenait par la main
-abdel : waaa mais toi TOUT LE TEMPS tu pleure, t'as autant d'eau a evacuer de ton corps, jsais pas fait pipi a la place non
Malgré la tristesse, jétais obligé de rire.
-moi : non mais tkt, c'est pas grave
-abddel : aaaah zeubiii, tu menerves. Ahlam tu va galérer, et wallah que jchangeré pas, et sur ma vie si tu fais pas cque jte dit, tu vois ton pti cou là, jte le brise
-moi : ....
-abdel : ta compris ? Maintenant t'es a moi
-moi : oui ...
-Abdel : viens là bragra ...
Il m'a prit dans ses bras et ma embrassé sur le front, wiliiii wiliiiiiiiiii, ce jour la jétais plus qu'heureuse, cétait donc presque officiel, enfin du moins jsais pas si on était a deux, mais j'était « a lui » et c'est tout c'qui comptait, je savait pas dans quoi j'membarquait ...
Bref, on est retourné dans la salle, la soirée, c'et super bien terminé. Tout le monde était heureux, moi bcp plus que les autres, lol mais cétait l'essentiel.
Les jours qui ont suivi, et bein croyait pas moi et abdel cétait la love story teh les films. Parce que cétait TOUT sauf ca, abdel il me flicait tout les jours, on se voyait tous les jours, cétait relou (vous devez vous dire elle est folle celle là elle le voit et elle se plaint lol). En faite on se voyait tous les jours, parce qu'il venait me chercher tous les jours a lécole comme javais pas de voiture.
Il trainait de moins en moins dans la tess, j'savait pas trop c'quil fesait, mais jme doutais un peu. Bref, j'avait pas vraiment mon mot a dire dans tout sa. J'avait peur de l'aimer plus que j'laimais déjà, jme remettais souvent en question, jsentais que j'allais revivre la meme chose qu'avec Medhi, voir pire...
Mais qu'une seule chose me tournait en tete, fallait que 'lui fasse confiance, et j'avait espoir quil changerait, comme Badis l'avait fait pour Mélissa. J'attenderai le temps quil faudra, et jespere qu'un jour mes peurs ne seront plus les mêmes ...
Jusqu'à ce fameux soir de décembre ...
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CHRONIQUE D'ALHAM : PANAME GHETTO LOVE
General FictionChronique enregistrée thug love à l'ancienne comme on les aime