Partie 76-77

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Partie 76



Hé merde, cétait vraiment pas le moment, Abdel il arrive toujours au moment ou il faut pas. J'avais peur, qu'il se passe haja, une bagarre, et puis j'sais pas franchement j'avais « honte » face a Abdel, oui ca fait tres garce ce que je dit mais souvenez vous sur quel charmante paroles Karim et moi nous, nous sommes laissés, Et voilà j'lui donnais la preuve qu'il avait raison.


Quand j'vous dit que je fesais du surplace... Karim il était « beau » il avait pas changer, quand j'lai vu jai eu cette boule au ventre, mais cette sensation cétait pas de l'amour, cétait un stress... Jétais en panique, j'voyais abdel s'approcher vers nous le regard noir, et les points serrés. Voyant que jétais distraite Karim, et Chérine ce sont retourné dans la direction qs laquelle je regardais a mon avis, ca devait se voir a mon regard que jétais apeuré... Plus le temps de faire marche arrière. Il était là...


-Abdel : Depuis tout a l'heure j'te cherche


-moi : euh... jétais là... jte cherchais ...


Javais le regard baissée, Putin qu'estce que j'avais honteeeee, jvous jure que cétait trop bizzare comme sensation, cétait la première fois que j'avais honte d'etre avec abdel, faut dire que franchement y avait un contraste entre mon couple et le couple de karim, et meme sa se voyait qu'on ne vivait pas le meme amour, Chérine c'est une très jolie fille, elle avait les joue toute rose mdr, comme une poupée, et de grand yeux brun tiré comme une asiatique... bref Karim aussi, il est toujours « bogoss » toujours bien habillé, et j sais pas ca se lisait dans leur regard qu'il vivait l'amour parfait ... ou pas. En tout cas cétait tout le contraire d'abdel et moi, javais les cheveux négligé, ma tenue laisser a désier, alors celle d'Abdel j'en parle meme pas tellement c'est une calamité ce mec - -'

Hessoul, Karim il avait ce petit sourire moqueur, comme celui du mec qui a gagné. Il regardait Abdel de la tete au pied avec un regard assez hautain j'ai trouvé.


-Abdel : il se passe quoi là?


-moi : JE...


-Abdel : J'parle pas a toi, j'parle a lassui là (en me tendant sa main pourque je vienne vers lui)


-Karim : Rien frère, j'passais juste le bonjour à Ahlam


-Abdel : Oé... (avec le regard noir, il avait son bras autour de mon cou comme pour faire comprendre a karim, que jétais a lui)


-Karim : (à chérine) On y va ma chérie... A bientôt challah, passe le Salam a ta Famille


Ils sont partis, mais Karim, toujours ce petit sourire agacant. J'voulais le griffer aaaaaaaaaahhhhhhhh. Dès qu'ils se sont éloignés abdel m'a arraché le bras, putin mais la douceur ca existe rarement chez lui.


-moi : Aieeee


-Abdel : Tu menerves toi (en me regardant avec le regard noir)

CHRONIQUE D'ALHAM : PANAME GHETTO LOVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant