Partie 95
J'étais arrivé dans sa cage, chacun de mes pas me semblaient comme des briques lourdes a porter, a chaque étage que j'atteignais j'avais l'impression que l'escalier se rallongeait. Mon souffle se coupait, mon coeur me disait de faire marche arrière, car je n'allais rien trouver de bon. Mais j'pouvais pas je montais les marche tel un robot, cest comme si on avait pris possession de mon corps ...
Ca y'est je suis devant la porte, je regarde sur la plaque ce nom de famille. Et j'ai peur, et pourtant si je ne frappe pas. Je n'allais pas savoir c'qui c'était passé, j'étais inquiete oui, mais j'avais peur de trouver une mauvaise nouvelle. Donc j'ai frapper, mais pas de réponse, j'ai recommencer, toujours pas de réponse. Je savais plus quoi faire, qu'est-ce que ca voulait dire ?
Jme suis assise sur les marche des escaliers, le regard dans le vide. C'était le flou total, il s'est écoulé une dizaines de minutes avant que je décide de frapper a la porte. Mais pas de réponse, je frappais je sonnais, je comencais a etre hystérique, tout ce que je voulais c'était de savoir qu'abdel allait bien, pas un appel, pas un msg, pas une trace de lui. Tout mes souvenirs on fais surface, je ressentais son parfum, tout ces gestes, Abdel je l'aimais. Mais ce sentiment d'amour fais tellement mal. Pourquoi je souffrais autant ? Est-ce que je le méritai vraiment ?
Mais la la porte s'est ouverte, j'ai vu ce visage, ce visage fatigué, ces cernes, ce teint terne. Je ne reconnaissait pas ces traits qui m'etait si familier auparavant, j'sentais la tristesse dans son regard, et instinctivement jme suis mise a pleurer, c'est comme les mots n'avait pas besoin d'etre dit, j'avais tout compris, dans son regard je le voyais que ca allait mal...
Mais j'étais tellement rassuré de voir abdel, quand il m'a vu il m'a lancé un regard noir..
-abdel : ta race c'est toi qui sonne
-moi : ....
-abdel : tu vx quoi ? Elle est pas la ma daronne
-moi : ...
J'arrivais pas a parler, je versais des larmes, lui il était la a me regarder avec mepris, son visage il était changé, ca se voyait tellement que tout allait mal. Je voulais tellement savoir c qui c'était passé cette nuit la, mais de le savoir en vie, car oui j'avais eu peur de le perdre, ca me suffisait, j'voulais juste oublier cette nuit la.
Je pense que me voir pleurer ca le fatiguait, donc il m'a laissé la devant le pas de la porte et il est re-rentré chez lui. Donc je l'ai suivi, il était dans sa chambre assis sur son lit a jouer a la play.
Quand il m'a vu il a commencer a souffler, je comprenais pas son attitude, comme si je lui avait fait du mal. Il me regardait trop mal
-abdel : rentre chez toi ahlam
-moi : je me suis inquietais pr toi j'ai cru que ..
-abdel : cru quoi ? Que j'avais kaner ? (il disait ca avec sourire narquois)
VOUS LISEZ
CHRONIQUE D'ALHAM : PANAME GHETTO LOVE
General FictionChronique enregistrée thug love à l'ancienne comme on les aime