Partie 97

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Partie 97


" J'ai des regrets précieux comme un conseil qu'on écoute pas ... Personne croit moi n'est plus triste que moi "



Dans la vie Faut toujours écoutait nos parents et les proches qui nous entoure ...



Le reste du mariage, j'avais pas re-touché mon telephone, et je n'avais pas donné réponse non plus a abdel, deja parce que c'était ni l'endroit ni le moment de faire des choix. Ce jour la c'était le mariage d'Aisha, et j'étais heureuse pour elle. J'ai passé le reste de la soirée auprès des miens a m'amusé comme jamais.


Mais malgré tout, cette phrase me trottait l'esprit « Viens avec moi ». nan sah est-ce que j'pouvais vraiment partir comme a l'aventure car c'était un peu ca. Abdel il me proposait de quittais ma famille, et de refaire ma vie avec lui, dans une autre ville, j'avais la-bas aucune attache, j'avais certes une cousine éloigné mais j'avais pas de contact avec elle.


Et a la différence d'Hannah qui elle avait été super bien accueilli dans la famille, elle avait sa cousine (la mama d'Aisha) pour la soutenir, comme repère familliale, moi j'en avais aucun. J'ai toujours étais proche de mes parents de mes freres et soeurs, et là Abdel il me proposais de TOUT BRISER POUR LUI, avouez c'est egoiste un peu. En faite il voulait qu'on reproduise un peu le schéma de sa vie...


Il devait etre 5h du matin, il ne restait plus grand monde les gens commençait a partir. Et la salle commençait a etre rangé. Quand j'ai recu un msg d'abdel


lui : « Jcrois que t'as raison je suis un tarba, je peux pas te dire de venir comme ca. Meme si j'ai pas envie de me marier ou haja et toi mm tu sais mon avis la dessus mais sah jvx etre avc toi. »


Waaa alors la il y a eu une explosion de papillon, un feu d'artifice en moi, J'voulais pleurer. J'me sentais mal, en faite mon amour pour abdel je l'ai un peu vécu comme un emprisonnement, j'avais beau vouloir me défaire de cette emprise, mais j'y arrivais jamais.

J'vivais vraiment le Hysteric Ghetto Love, Ou le je t'aime moi non plus, c'est comme ca que j'aurais du appeler la chronique en faite.


J'savais pas quoi répondre mais la première chose qui m'est venu a l'esprit c'est que Oui, je voulais etre avec abdel, j'étais tellement amoureuse de lui que sur le coup j'aurais été prete a le suivre au bout du monde (phrase sentimentale teh les amoureuses lol). Mais je pensais aussi a ma famille, et je pouvais me permettre de faire n'importe quoi, par respect pour mes conviction religieuse déjà premièrement car j'étais déjà bien assez enfoncer dans le haram comme ca avec toutes ces fréquentations « illicites », mais aussi pour mes valeurs personnel, je m'étais juré que jamais un homme ou qui que ce soit d'ailleurs passerai avant ma famille.


La famille c'est vraiment ce qu'il y a de plus important et je pouvais pas bafoué ca et encore moins l'honneur de mes parents. Et donc la c'est vraiment mon coté realiste qui avait pris le dessus, et dieu merci d'ailleur car je n'ai pas agis par la folie des sentiments que m'offraient mon coeur, mais j'ai agis par la pensée. Et donc je lui ai répondu :


moi : « Je veux etre avec toi aussi, j'en parlerai a mon père demain, et on verra par la suite »

CHRONIQUE D'ALHAM : PANAME GHETTO LOVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant