Partie 63
Cette voiture, qui s'aligne sur notre gauche, ce propriétaire de cette voiture, tout me semblait familier sauf une chose, j'reconnaisait pas la personne a coté du conducteur... Quand il est sorti de la voiture et s'est approché des pompes a essence, cétait une évidence cétait lui.
Qu'est-ce qu'il fesait là, mais surtout c'était qui cette deuxième personne dans la voiture, j'l'observais, j'ai vu que la personne coté passager, avait sorti la tete de la fenetre. Cétait une jeune femme surement d'une vingtaine d'année, elle avait rien d'une magrébine, et avait un coté Rital avec les cheveux tres long et très noir, je ne cessais de les regardais et jvoyait que dans les regard qu'ils s'échangeaient, tout semblait bcp plus que de l'amitié.
Non, mais a quoi il joue, j'suis sorti de la voiture en claquant le portière ...
-abdel : Oh t'as vu comment tu claque la portière, remonte la
-moi : ...
Jlécoutais pas jétais focalisé sur l'autr voiture, j'avait le coeur qui battait a une vitesse incontroler, Jétais sur les nerfs, et j'crois que jétais prêt a tout casser. Tellement j'avais la haine. Quand le conducteur m'a vue arriver, j'pense qu'il a été aussi étonné que moi lorsque je l'ai vu
... : o_o ?! Ahlam ?
-moi : tu fais quoi la? C'est qui elle ?
-lui : ... c'est.. (en regardant en direction de la fille)
-La brune : bébé c'est qui elle ?
-moi: « bébé » ?!!!!!!!!!!!! dites moi qu'elle rigole la j'espere
-abdel : oh AHLAM tu fais quoi la monte ds la voiture
-lui : juste écoute... moi ... stp... c'est pas c'que tu crois
-la brune : (en descendant de la voiture) et mais c'est quoi ce cirque la
-moi : toi ferme ta gueule car je vais te faire bouffer le goudron
-lui : monte ds la voiture Laura
-moi : Nadir t'es vraiment qu'un sal batard
-La brune : oh comment tu lui parle là
Vous l'aurez compris, j'venais de trouver Nadir, Nadou, alias le mec a Amelle avec une autre fille, et comment vous dire, j'avais la haine au plus profond de moi c'est comme s'il m'avait trompé moi, Ma jumelle c'est mon double, ma moitié. Et tout ce qui touche a Amelle ca me touche aussi. A ce moment la j'étais sur les nerfs, j'fesais que de crier j'étais incontrolable, j'l'entendais répétais sans cesse que j'devais me calmer, et qu'il fallait que j'l'écoute, mais j'pouvais pas, j'étais la complétement hystérique a répétait des mots et des insultes totalement dénoués de sens.
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CHRONIQUE D'ALHAM : PANAME GHETTO LOVE
Ficción GeneralChronique enregistrée thug love à l'ancienne comme on les aime