Pdv Lana
Il me fait rentrer dans la chambre et me plaque contre le mur. Il a l'air énervé. Son regard est aussi noir que la cendre. Son corps est tendu. Ses veines palpitent. Je peux le voir sur ses bras ou les manches de sa chemise sont retroussées et dans son cou. Sa mâchoire est contractée. La, j'ai l'impression être un agneau près a être tué par le grand méchant loup est devant moi en colère.
- J'avais dit quoi. Dit il froidement
- Je fais ce que je veux compris. T'as beau être un des mafieux le puissant du monde. Je ne vais pas me mettre à genoux et encore moins pour toi. Dis-je sans aucune hésitation
Il rigole, mais d'un rire qui fait froid dans le dos.
- Alors pourquoi quand je fais ça. Dit-il
Sa main se pose sur ma cuisse. Je frissonne. Je fais tout pour rien montrer.
- Tu frisonnes comme toutes les autres filles qui veulent qu'elle se fasse baiser par des gars dangereux et si je fais ça. Dit-Il en se rapproche de mon cou et touche mon point sensible.
Je ne dis rien. Beaucoup trop humilier par les mots qu'il vient de dire. Puis il monte jusqu'à toucher le coin de mes lèvres.
- Je n'ai jamais touché à ses lèvres, mais j'aimerais vraiment les toucher, mais pas maintenant. Je vais tellement te rendre folle de moi que tu vas te mettre à genoux et me supplier et je vais te jeter comme toutes les autres. T'es a moi ma déesse. Depuis que tu as passé la porte de ma maison. Tu m'appartiens. Alors n'ose plus jamais me provoquer. Je suis un mafieux pas le parfait petit chien qui suit sa copine comme un toutou. Je vais te faire devenir comme les autres. J'obtiens toujours ce que je veux. C'est bien compris. Dit-il
Je ne réponds pas. Sa main prend mon cou en otage.
- C'est compris. Dit-il
- Oui. Dis-je faiblement
Il part dans la salle de bain et j'entends l'eau couler. Je me change. Je mets un sweat gris claire et le jogging est de la même couleur. Je sors de la chambre discrètement. Je longe le couloir et je vais sur le rooftop. Je m'assois. Je souffle un bon coup. Je sens mes larmes montaient. Pourquoi j'ai fait ce choix. Je suis toujours à temps de partir. Il me reste 1 jour pour me décider. J'peux plus de cette situation. Je vais partir cette nuit. Ma valise est déjà prête. Je vais partir un moment et essayer de faire mon master autre part. Je me lève et je retourne dans la chambre. Je rentre dans la chambre.
Je prends ma valise et il apparaît avec juste un jogging. Ses cheveux sont mouillés. Il croise les bras.
- Je pars t'es content. Je ne veux plus, j'en peux plus. J'en peux plus de ton comportement avec moi. Tu me détestes, j'ai compris. Tu as réussi à rendre ma vie impossible. Maintenant, je pars. Je ne serais plus dans tes pâtes t'es content. Alors maintenant fiche moi la paix une bonne fois pour toutes. JE. NE. VEUX. PLUS. TE. VOIR. Dis-je les larmes aux yeux
Il ne dit rien et me regarde juste dans les yeux mais j'ai l'impression de voir dans ses yeux une pointe de peur où je rêve. Je prends mon sac et je me dirige vers la porte. Soudain, il m'attrape par le poignet et me plaque contre délicatement contre la porte. Dans ses yeux. On dirait qu'il est perdu. J'ai besoin de distance. De toute cette merde. Je vois sa poitrine se soulever rapidement.
- Et puis merde. Dit-il
Je n'ai pas le temps de dire quelque chose que ses lèvres sont sur les miennes. Je suis bloqué entre le mur et lui. Mes mains sont toujours bloquées par sa main, mais finit par me lâcher. J'essaie de l'arrêter, mais il me serre tellement fort que je n'y arrive pas. Il me soulève et mes jambes vont autour de sa taille. Je n'arrive pas à lui résister. Il est bien plus fort que moi. Ce baiser est ni doux ni violent. Je sens mon cœur battre à la chamade. Je me sens en sécurité. Pourquoi ? Pourquoi je ressens ça après tout ce qu'il m'a fait. Je dois le détester. Je sens une vague de chaleur me prendre. Mes mains sont dans ses cheveux. Ce baiser ne s'arrête pas. Il continue comme si c'était un couple qui se retrouvait après des mois de séparation. Comme si c'était à la fois le premier baiser, mais aussi le dernier.
Il va te briser le cœur dit ma conscience.
Il rentre sa langue et un frisson me prend. Il me traverse, me chamboule. Je deviens léger comme une plume. Je plane. Il rapproche possessivement mon basin contre le sien. J'ai envie de lui. Je n'ai jamais ressenti ça pour un homme. Je n'ai jamais ressenti une tension aussi intense avec un homme ou même avec aucune personne. Je sens qu'il se déplace et me pose sur la table. Sa main attrape furtivement mes hanches et me rapproche a toi nouveau de lui. Puis il finit par se détacher mais sont front est toujours près de moi.
- Tu restes. Dit-il
- Oh et tu crois qu'avec ton baiser. Je vais rester. Tu crois que je suis comme les autres à te pardonner en faisant ca. Tu as cru qu'il y avait marqué la naïve sur mon front. C'était une erreur. Ne recommence plus jamais. Dis-je
- Quand même t'es une fille facile. J'aurais même pu te baiser. Tu gémissais comme une pintade. Dit il en se détachant de moi
- Va te faire foutre Florian Martinelli. Bien profond et tu veux que je te dise, je préférerais embrasser ce gars que je connaît que depuis quelques heures et qui faisait un trafic d'humain que toi. Même baisez. Je te déteste tellement que tu ne peux pas l'imaginer. Tu me donnes même envie de vomir tellement que tu me dégoûtes. Dis-je sans le lâcher des yeux
Il part de la chambre en prenant son sweat. Il claque la porte. Je prends ma valise et je sors de la chambre. Je descends. J'envoie un message aux filles pour leur dire, mais aussi le dire au garçon. Je demande un taxi et il arrive rapidement. Je prends ma valise avec moi car elle est petite. Je lui dit en espagnol de m'amener à l'aéroport. Il démarre. Je regarde mon téléphone quand je vois qu'il ne prend pas le bon chemin. Mon cœur commence à battre à la chamade. Je vois un centre commercial.
- Usted puede parar. Tengo que ir a sacar dinero en el centro comercial (Vous pouvez vous arrêter. Je dois aller retirer de l'argent dans le centre commercial.). Dis-je
Il s'arrête. Il est vraiment con. J'ouvre la porte et je cours dans le centre commercial. Je me faufile entre les gens. Je regarde derrière moi et je vois des hommes toutes en noir me suivre. Je monte à l'étage. Je dois trouver quelque chose. Mon tel. J'appelle Anna. Elle ne décroche pas. J'appelle tout le monde, mais personne. Pourquoi au moment que j'ai besoin d'eux. Il ne décroche pas.
Je rentre dans un grand magasin, je prends des vêtements et je vais dans la cabine d'essayage. Je l'ai mis en panique. J'ai les mains qui tremblent. Je sors. Je vais payer. J'ai une casquette. Je sors la tête baissée. Je stresses. Ils se sont fait kidnapper eux aussi peut-être. Je suis toute seule. Lana calme toi, tu vas y arriver.
Inspire.
Expire.
Inspire.
Expire.
Je vois un homme qui est habillé tout en noir passer devant moi, mais il ne m'a pas vue. Je continue mon chemin. Je décide de sortir par l'arrière du centre commercial. J'espère de tout cœur qu'ils n'y seront pas.
✨A SUIVRE...
Coucou tout le monde👋
J'espère que ce chapitre vous aura plus.
Est ce vous pouvez me donnez votre avis sur se rapprochement. Si je dois changer des choses. Cela m'aiderais a améliorer l'histoire 😉
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Luce del diavolo
Roman d'amourElle va déménager dans une nouvelle ville et va habiter chez sa meilleure amie, mais sa meilleure amie cohabite avec son frère et ses amis. Ils sont mystérieux et dans la ville tout le monde les craignent et elles ne savent pas pourquoi. Des personn...