Chapitre 31

6.3K 158 9
                                        

Pdv Lana 

- C'est ton problème pas le mien. Dis-je

- Sauf que mon ange quand on tente le diable, il faut savoir en assumer les conséquences. Dit il

Je déglutis. J'en ai jamais fait.

- je ne veux pas le faire. Dis-je

- Alors tu vas attendre dehors. Dit il

Il attend quoi part attendre. Il s'assoit sur le lit. Qu'est-ce qu'il fait. Non, il ne va pas se branler alors que je suis à côté. Je sens une chaleur dans mon corps monter. Une idée me vient en tête. J'ai envie de jouer avec lui. Il enlève son pantalon. Je m'avance vers lui et je me mets sur ses cuisses. En califourchon. Je prends son visage en coupe avec une seule main et j'approche mon visage du sien sans pour autant le toucher. La tension commence à monter. Je commence à avoir chaud.

J'ondule des hanches et il ferme les yeux. Aller chez Lana. Je descends dans son cou et mes mains vont sous son t-shirt et je lui enlève. Je continue d'onduler les hanches. Puis je le torture avec la bordure de son caleçon. Je l'entends grogner. Un okay de surprise sort de ses lèvres quand je touche à un autre endroit de son cou. Je continue de l'embrasser dans le cou et d'onduler des hanches.

- Lana. Dit il

Comment il l'a dit ça me fait frissonner. Il a les yeux fermé? la bouche entre ouverte. Je sens que ma culotte devient de plus en plus humide. J'intensifie et je le sens ses cuisses se contracter.

- Putain, tu le fais tellement bien. Dit il

Je descends sur sa poitrine. Je croise son regard qui est embrumé de désir. J'approche mon visage du sien. Sa respiration est haletante. Il passe sa main dans mon cou pour me rapprocher de lui.

- à plus. Dis-je avant de sortir de la chambre.

Je souris fièrement de mon coup. Elle est ou l'innocente-là. Je prends mon sac et je vais en bas.

- Je vais rentrer. Quelqu'un vient avec moi. Dis-je

- On va tous rentrée. Je vais aller voir Ilario pour lui dire. Dit Ethan

- Je pense qu'il va être occupé un moment. Dis-je

Je sors de la maison et les filles viennent avec moi. On rentre à la maison. Je vais dans ma chambre et je vais dormir. Je ferme la porte et je vais dans la salle de bain. Je mets mon pyjama qui est composé d'un ensemble en satin noir. Un short et un débardeur. Je retourne dans mon lit. Je prends mon téléphone. La porte est entre ouverte. Je me lève et je l'a ferme. Je sens une présence derrière moi. Je me retourne et un mur est devant moi. Mon cœur rate un battement. Florian. Je lève la tête pour voir son visage. Il a l'air frustré.

- Tu peux sortir de ma chambre. Dis-je

- T'as cru m'échappés avec ce que t'a fait. Dit il

- je t'ai juste que je n'étais pas innocente. Dis-je

- si tu n'étais pas innocenté, tu saurais aller jusqu'au bout ma déesse. Dit il

- je ne passe pas après les gens. Maintenant, sors. Dis-je

- ok, tu ne l'as jamais fait. Dit il

Mon visage est légèrement tiré ce qui doit confirmer son hypothèse, car il a un sourire narquois.

- Ne me dit pas que tu ne l'as jamais fait. Dit il

Quand il voit que je ne dis rien. Il comprend que je n'ai rien fait depuis mon viol. Il sourit. Hein.

- Alors personne ne t'a baisé. Ce n'est pas trop dur. Dit il

- dégage. Dis-je

Il se rapproche de moi et me dit à l'oreille.

- Si quelqu'un doit te prendre ta virginité, c'est moi et personne d'autre. Dit il

- Qui te dit que je n'ai rien fait depuis. Dis-je

- T'es coincée. Tu n'as rien fait. Dit il

- Je ne suis pas coincée. Dis-je

- Crois ce que tu veux, mais pour moi t'es une coincée. Dit il

- Tu n'es pas mon genre, et je ne coucherais jamais avec toi. Dis-je

Il se rapproche de moi jusqu'à que ses lèvres frôlent les miennes. Un coup électrique me prend.

- C'est ce qu'on verra ma déesse. Dit il

Sur ces mots, il sort de la chambre. Je retourne dans le lit. Il va me saouler avec ça maintenant. Je vais sur mon lit. Je me couche et je m'endors.

Je me réveille en pleine nuit. Je regarde mon téléphone. Il n'est que 3 heures du matin. Je m'assois. Je me lève et je vais aller boire. J'arrive dans la cuisine. Je prends un verre et la bouteille de jus d'orange. Je me retourne quand je vois Florian juste habiller d'un jogging, les cheveux en bataille.

- Pourquoi tu ne dors pas. Dit il

- ça te regarde. Dis-je

- t'es sous mon toit non. Dit il.

- Je ne te le dirais pas. Dis-je

Je n'ai pas le temps de réagir que je me retrouve sur le plan de travail. Il vient entre mes jambes. Son visage et proche du mien. La respiration est coupée et mon cœur bat à la chamade. Son bras passe entre mon bras et ma taille. Il s'approche un peu plus puis s'enlève en voyant qu'il a une cuillère à la main. Il sort de la glace au frigo. Fraise chocolat.

- je peux en avoir. Dis-je

- Viens le chercher. Dit il sans me quitter des yeux.

Je roule des yeux.

- Je détestes quand quelqu'un roules des yeux alors ne recommence pas. Dit il

- Monsieur Diavolo est sur les nerfs. Dis-je

- C'est un manque de respect. Dit il

- Je vais le faire plus souvent. Dis-je

Il s'approche à nouveau de moi. Il prend une cuillère.

- je peux te faire taire en deux secondes ma déesse. N'use pas toute ton énergie. Dit il

Soudain, je sens le froid de la cuillère en dessous de mon oreille. C'est froid quand la cuillère rentre en contact avec ma peau chaude. Je ne le quitte pas des yeux. Je ne veux pas qu'il ait ce privilège. Il s'arrête au commencement du renflement de mes seins. Il pose le pot.

- Voyons voir si tu gardes toujours le contrôle dans ta tête. Dit il

Il s'approche de moi. Je n'ai pas peur qu'il me touche. Sa langue touche ma peau et je me fais guerre pour ne pas gémir. Je ne veux pas qu'il ait ce plaisir. Il continue à descendre. Il accentue de plus en plus. Ma tête par en arrière. Je sens des frissons me prendre de tout mon corps. Quand il arrive vers le milieu. Il aspire ma peau la mords et je suis obligé de me contrôler avec le peu qu'il m'ent reste. Il arrive au renflement de mes seins. Ma respiration est irrégulière.

Mes mains serrent fort le rebord du plan de travail. Je sens sa main frôler ma cuisse. Je serre les dents. Il finit par remonter. Il me torture à nouveau et mes mains vont dans ses cheveux. On a perdu tous les deux le contrôle. Il me ramène contre lui. Il remonte jusqu'à mon visage et le prend en coupe avec une main.

- Bonne nuit ma déesse. Dit il

Il partit avec la glace. Le fumier. Il s'est vengé et il a réussi. Je remarque qu'il y a un Gillet à lui. Je le mets. Il met grand. Je vais dans le salon. Je monte à l'étage et je vais dans ma chambre. Je ferme la porte derrière moi. Je vais sur mon ordi. Je vois que j'ai reçu un mail. J'y vais.

De: Inconnu

A: Lana.collucci@gmail.com

Objet: passé de Diavolo

Chère Lana,
Je vais te raconter l'histoire de ton chef qui est loin d'être innocent et qu'il lui doit son prénom....

✨A SUIVRE...✨

Luce del diavoloOù les histoires vivent. Découvrez maintenant