Luce del diavolo

𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 27

Pdv Lana

Florian fait tout pour que je fasse les mauvaises choses. Je ne fais aucune mission. Je fais le ménage et je n'assiste à aucune réunion. Putain comment j'ai pu tomber dans le panneau. Il veut juste baiser avec moi. Il me faut des vacances. Je passe dans le couloir où il y a le bureau de Florian quand j'entends tout le monde s'engueler. Je m'approche et la porte est entre ouverte. Je regarde et il y a les garçons.

- Mais tu ne comprends pas Andréa qu'ils peuvent nous anéantir. Maintenant, ils peuvent nous attaquer à tout moment. Dit Florian hors de lui

- Tu sais qui les a. Demanda Amanda

Amanda, c'est la nouvelle copine de Florian. Elle est dans le gang depuis des années. Florian, prends un papier et le montre. Attends, mais c'est... Florian me voit. Il enlève le symbole et ouvre l'a porte en grand.

- Dégage d'ici. Dit-il avant de claquer la porte.

Je vais dans ma chambre. Je vais péter un câble. Il faut que je change d'air. Si j'allais à Paris. J'ai encore mon appartement. J'appelle ma meilleure amie. Je monte dans ma chambre.
Elle répond au bout de la deuxième sonnerie.

- Coucou. Dis-je

- Coucou, il y a un problème. Dit elle

- Il me faudrait des vacances et je vais aller faire un tour à Paris. Dis-je

- Qu'Est ce qu'il se passe. Dit elle

- J'en peux plus de ton frère à me contrôler là. Il ne me laisse rien faire. Il m'interdit même de voir des gars. Dis-je.

- Je te rejoindrais dans quelques jours. Je te couvrirais. Dit elle

- Merci à tout. Dis-je

- à tout. Dit elle

Je raccroche et cette fois, je pars. Je prends le train. J'arrive à Paris et je vais à mon appartement. Je m'effondre sur le lit. Je suis crevé. Il faut que je dorme. Je vais dans la salle de bain et je me change. Je mets mon pyjama. La nuit est tombée déjà. Je me mets dans mon lit. Je regarde mon téléphone jusqu'à m'endormir. Épuiser.

Je me réveille. Il fait encore nuit et je vois que la lumière de ma lampe à côté du siège est allumée. Je me tourne. Je ne l'ai jamais allumé. Puis je vois Florian. Avec un verre de whisky à la main. Avec la lumière, il est un peu effrayant. Il a l'air fatigué. Sa chemise noire est déboutonnée des 3 premiers boutons. Ses cheveux sont ébouriffés. Il finit son verre et ses mains sont ornées de 2 bagues. Sa jambe gauche sur sa cuisse droite. Il me regarde droit dans les yeux comme il allait me dévorer. Que j'étais un agneau pris au piège du grand méchant loup qui s'amuse avec sa proie.

- tu pensais m'échapper. Dit il d'une voix neutre

- Laisse-moi tranquille et c'est une fraude de rentrer chez les gens comme ça. Dis-je

- Le vouvoiement t'a oublié peut-être et j'ai le double. Tu n'a rien contre moi, mais par contre partir. Ça, c'est une fraude. Une fraude qui devrait être punie. Dit il

- C'est quand que vous allez me laisser vivre en paix sérieux. Vous croyez sérieusement ce que j'ai 5 ans pour me punir. Dis-je

- Jusqu'à mon dernier souffle et demain matin, on prend l'avion pour Marseille et ta punition. Je te la dirais demain et tu la feras, c'est bien clair. Dit il

- Non. Je reste ici. Dis-je

Il se lève et commence à se déshabiller. Il fait quoi là. Il se retrouve en caleçon et ça sur le lit.

- qui t'a autorisé à aller dans mon lit. Dégage. Dis

- Lana, tu auras intérêt à te coucher maintenant ou je te jure, je vais vraiment te faire vivre un enfer. Alors tu vas te coucher. MAINTENANT. Dit il sévèrement

Je mets un coussin entre nous et cette fois, il restera là. Je me tourne pour que je sois en face du coussin. Le lit est assez petit. Je n'arrive pas à trouver une bonne place. Je me tourne et retourne, mais rien.

- Arrête de bouger. Dit il

- Je n'arrive pas à trouver une bonne position. Dis-je

Il souffla.

- Arrête de bouger. Un point c'est tout. Dit il.

Je me retourne et je regarde la fenêtre. Je regarde la ville illuminée. Je crois qu'il sait endormi. Je me lève et je vais dans le salon. Je me pose sur le canapé avec mon coussin. Je prends une couverture. Je la met sur moi et je m'endors épuiser et je sens que je vais avoir un mal de chien à dos demain.

Je suis réveillé une deuxième fois, mais cette fois par Florian qui fait un cauchemar. Je me lève pour aller dans sa chambre. Il se débat.

- Non ne fais pas ça. Dit il

- Je te jure. Je ne l'ai pas fait. Dit il

J'essaie de le stabiliser, mais c'est très difficile.

- Papa arrête. Dit il.

Son père. Puis il ouvre les yeux. Il a l'air perdu. Complément apeurer. Comme un enfant mort de peur. Il passe ses mains dans ses cheveux.

- ça va. Dis-je

- Ouais, va te coucher. Dit il en me tournant le dos

Je me lève du lit.

- Tu vas où. Dit il

- Me coucher. Dis-je

Je sors de la chambre et je retourne sur le canapé. Il arrive devant moi. Torse-nu. Les bras croisés. Les cheveux en pétard.

- tu vas au lit. Dit il

- Mais tu vas arrêter de me donner des ordres. T'es chez moi, c'est clair alors soit content que je te laisse mon lit. Maintenant, va te coucher et ne me casse pas les couilles. Dis-je

Il va dans la chambre. Je m'assois. T'es chez moi, c'est clair alors soit content que je te laisse mon lit. Je ne vais pas me rendormir. Je vais péter les plombs avec lui sérieux. Je vais dans la cuisine. Je me fais un chocolat chaud. Une idée me vient. Il veut que je vienne avec lui. Il va devoir me chercher dans tout Paris.

Je vais devant mon armoire et je m'habille. Je sors discrètement. Je sais où je vais aller et quand je serais qu'il va péter un câble, je prends frais le train pour Marseille. On est dans le 13e. Je vais aller dans le 17 ème arrondissement. Dans le parc Monceau. Je vais y passer la matinée. Je me suis pris un pain au chocolat. Ma valise est avec moi bien sûr. Je regarde la ville se réveiller. Je souris parce que j'ai hâte de voir sa réaction.

Vers 10 heures, Anna m'appelle. Je réponds.

- Allô. Dis-je

- Lana qu'est ce que t'a fait pour que mon frère pète un plomb complet là. Dit-elle

- Comment ça. Dis-je

- Il a envoyé 10 hommes te chercher dans tout Paris et il est très en colère. J'espère que tu es dans une bonne cachette parce que c'est très rare quand je le vois dans cet état. Dit elle

- Il est où. Dis-je

- À Paris, il te cherchait, ils font tout un arrondissement. Dit elle

- et il est lequel. Dis-je

- 17e. Dit elle

- Oh putain. Je te rappelle plus tard. Dis-je

Je me lève et je sors du parc. Il faut que j'aille à la Gare de Lyon. Je vais prendre un taxi. Le métro, c'est trop dangereux. J'arrive rapidement là-bas. Je prends le premier train vers Marseille. Je monte à l'intérieur. Je m'assois. Je lui ai échappé. Mon téléphone vibre. C'est un message de Florian. Je déglutis. Je l'ouvre. C'est un simple message.

« Rejoins-moi à la gare de lyon pour Marseille. Immédiatement »

Il est dans le train. Oh non. Je suis foutu. Un homme monte dans le wagon attend. C'est Hector. Je suis complètement figé. Il s'assoit en face de moi et pose une arme sur la table qui nous sépare.

- Un conseil ne bouge pas. Les hommes qui sont avec lui ont 5 complices. Alors tu ne vas pas bouger sinon boum. Dit il

✨A SUIVRE...✨