Chapitre 32

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Je tiens à dire que je suis désoler pour les fautes d'orthographe

Pdv Lana

Alors par où commencer. Diavolo, est un homme noir, cruel, sans pitié. Il a fait son premier meurtre à l'âge de 15 ans. Son père l' forçait à le faire d'ailleurs. Son père est encore pire que lui. Pendant 3 ans, il a été son pantin et il fait beaucoup de choses. Il en a fait une à moi. Il a brûlé une maison qui était la mienne. Il a entendu les cris de ma famille, mais n'a rien fait et a observer le spectacle. Il a tué des personnes innocentes, il a torturé des gens jusqu'à que la mort s'en suivre. Il a tapé un homme à mort. Cet homme est manipulateur, dangereux, fuis le comme la peste. Il a tué un homme politique devant eux et il a fait la loi et s'en est sorti.

Je suis sous le choc. Alors quand il me disait de rester loin de lui. Quand les personnes avait peur de lui. Je comprends maintenant. Alors s'il a fait toutes ces choses. Il est capable de me donner à mon père. Je sens un frisson me traverser, mais pas un bon frisson. Je ferme mon ordinateur. Mon cœur bat à mille à l'heure. Il faut que je dorme. Demain, je dois aller en cour. J'éteins mon téléphone et je me couche pour de bon.

Je me réveille. On va aller en cours. Je n'ai pas envie d'y retourner à vrai dire et les filles aussi. On en a discuté et on va s'arrêter au master 1. Pour avoir un truc. On s'approche bientôt de Noël. Je n'ai toujours pas d'idée de cadeaux d'ailleurs. Je m'habille. Je mets un pantalon en cuir noir et comme chaussure, je mets des bottines noires et un pull en mail beige. Je me lisse les cheveux comme tous les jours. Je descends en bas. Je suis la seule à commencer à cette heure. Je trouve que c'est un peu trop calme. Je prends mon petit-déjeuner et je vais en cours.

J'arrive à la fac quand j'apprends que j'ai deux profs absents dont Florian. Les autres n'étaient pas la ce matin. C'était trop calme. J'envoie un message sur le groupe, mais rien. Il est sérieux. Je l'aide à récupérer son papier si précieux et il ne me met pas dans la confidence. Je finis à 12h maintenant.

Après les 3 heures interminables de comptabilité et je déteste ça. Je rentre à la maison. Je mange devant ma série. Je vais être seule pendant combien de temps encore. Je vais dans ma chambre et je me change. Je mets un jogging et un pull pour être plus à l'aide et je vais commençais a révisé mes partiels parce qu'ils sont après les vacances et vu qu'il y a les fêtes. Je ne vais pas avoir beaucoup de temps. Je mets mes écouteurs pour être plus concentrée des bruits extérieurs.

Je finis de travailler quand j'entends quelqu'un toquer. Je vais à la porte et j'ouvre et je vois Andréa avec un grand sourire.

- Désolé, on avait une urgence et quand on est parti t'étais pas là, mais ne t'en fais pas ce n'est rien de grave. Quelqu'un essayait de piquer notre marchandise et on a voulu savoir qui c'était. Dit il

- Pourquoi ne pas m'avoir appelé. Je saurais venu, vous aidez. Dis-je

- Qu'est-ce que je peux faire pour me faire pardonné. Dit il

- Non, je ne vous en veux pas, mais la prochaine fois appelez moi-même si je suis en cours, mais je veux savoir pourquoi. Dis-je

- Florian, a dit de ne pas t'appeler. Dit il

Non mais je rêve. Lana reste calme. Il veut juste te faire pêté un câble et c'est en train de marché. Je fais un sourire même s'il est forcé et on descend en bas. Je vois Florian, mais je l'ignore et je me sens soudainement tendu de savoir ce qu'il a fait dans le passé. On mange tous ensemble. Florian m'a parlé très peu et je lui ai répondu que très brièvement. Je vais dans ma chambre et je vais me coucher demain, c'est mon dernier jour de cours alors il faut que je sois en forme. Je vais dans mon lit et je m'endors.

Je suis dans ma chambre en train de lire un livre. Il fait nuit. Je suis sous ma couette. La porte s'ouvre brusquement. J'enlève la couette quand je vois mon père arriver avec une bouteille à la main. Il m'arrache le livre et le détruit. C'était mon livre préféré.

- Nonnn. Dis-je

Il s'avance. J'ai peur. Il m'attrape par les cheveux et me fait tomber par terre. Je me mets en boule prête à recevoir des coups. Il m'attrape le poignet. Il se serre fort.

- Regarde-moi. Dit il

J'ouvre les yeux. J'ai peur. Je tremble comme une feuille.

- Tu me réponds encore une fois, je te fais pire. C'est clair. Tu n'es pas intelligente et tu ne sais rien faire alors je t'interdis de lire. Dit il

Il me lâche et ma tête tape contre le sol. J'ai mal à la tête. Il se lève et claque la porte.

Tu n'es pas intelligente et tu ne sais rien faire alors je t'interdis de lire.

Je me réveilles en sursaut. Mes larmes coulent sur ma joue. Mes mains tremblent. Non non, je ne veux pas faire de crise de panique s'il vous plaît. Respire Lana. Tu vas y arriver. Respire il n'est pas là. Tu es en sécurité ici. Tu es chez Florian qui est aussi un mercenaire, mais t'es en sécurité et il ne peut pas rentrer dans la maison. Je sursaute quand la porte s'ouvre sur Florian. Je me lève pour ne pas qu'il m'approche. Le lit nous sépare.

- ça va. Dit il

Il essaie de s'approcher de moi, mais je recule. Il fronce les sourcils. Il porte un jogging et un t-shirt noir.

- Pourquoi tu recules. Demanda-il

- Je sais ce que t'as fait. Dis-je

- Quel truc. Dit il

- Je sais pour la maison que t'a brûler, t'a torturer des innocents, t'en a tuer, tu as tué un homme politique alors qu'il y en avait plein autour de toi. Aujourd'hui, vous aviez une urgence et ne vous m'avez pas appelez. Dis-je

- Je ne te ferais jamais de mal, Lana. À ce moment, là, j'étais sous les ordres de mon père. Il me donnait des ordres et j'étais obligé de les faire sinon j'aurais jamais fait ça. N'ai pas peur de moi. S'il te plaît pas toi. Je ne veux pas que tes peurs de moi. Pas toi. Dit il

- Quand tu dis que tu vas me donner a mon père, tu vas le faire. Tu vas être aussi cruel qu'on le dit et de toute façon ça ne m'étonnerais pas de toi. Demande je

- Non bien sûr que non. Je ne te donnerais jamais à eux. T'es bien trop importante. Je ne te ferais jamais de mal Lana. Dit il

Il s'approche de moi, mais je suis un peu crispé. Il arrive à ma hauteur. On se regarde dans les yeux. Son regard est doux. Sa main passa autour de ma taille délicatement.

- Touche-moi Lana. Je ne te ferais rien, plus personne ne te feras de mal. Dit il

Je posai mes mains sur ses épaules. Il m'entraîna contre son torse et me serre dans ses bras. Mes bras passent tout de son cou et je sens son odeur qui me rend légère et elle est très addictive. Ses doigts font des vas et viens sur ma colonne vertébrale. Il se détache et me porte en mode princesse et me pose sur le lit. Il vient avec moi. Il m'entraîne contre lui. Je me sens en sécurité. Alors qu'hier, j'ai vu un autre visage de lui, je me sens en sécurité. Sa tête dans mon cou. Il me serre la taille. Ma fatigue finie par cédé.

✨ SUIVRE...✨

Luce del diavoloOù les histoires vivent. Découvrez maintenant