𝐘𝐨𝐮 𝐡𝐚𝐯𝐞 𝐛𝐞𝐚𝐮𝐭𝐢𝐟𝐮𝐥 𝐛𝐫𝐨𝐰𝐧 𝐞𝐲𝐞𝐬

16- 𝘊'𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯 𝘣𝘰𝘳𝘥𝘦𝘭 𝘭𝘦𝘴 𝘯𝘰𝘮 𝘥𝘦𝘴 𝘤𝘩𝘢𝘱𝘪𝘵𝘳𝘦𝘴 𝘱𝘵𝘥𝘳

Je commence à émerger d'un long sommeil avec Naya qui avait poser sa tête sur mes cuisse, alors que je dormais dans mon lit. La porte est fermée, mes leds allumé avec une luminosité assez faible, en bleu foncé. Quelqu'un se mets à toquer à ma porte se qui sors immédiatement de mon sommeil.

Mon frère ne toque jamais sans ouvrir la porte derrière, il me signale qu'il va rentré dans la pièce mais jamais il n'attend d'approbation pour rentrer et il sait qu'il n'est même pas obligé de toquer. En plus il est sensé être au lycée pour organiser les préparatifs pour la rentrée qui a lieux dans deux jours, mercredi.

???- T/p ?

C'est Hanji. C'est sa voix... J'en suis certaine mais qu'est-ce qu'elle fait là.

Hanji- Je peux rentrer ?

Je fais quoi maintenant ? Je me lève ? Je répond ? Est-ce que je suis prête à parler à quelqu'un d'autre qu'Armin ? Est-ce que je stresse pour rien ?

Je jette un regard à Naya qui dort toujours sur mes cuisses. Au pieds du lit j'aperçois le jouer préféré de Naya qui n'est qu'autre qu'une corde assez épaisse. Je saisie l'objet et le lance sur la poignée, qui par chance, elle s'abaisse, laissant la porte s'entre ouvrir, elle fut ensuite pousser pour s'ouvrir en grand.

J'ai paniqué je sais pas pourquoi j'ai fais ça, T/p tu es conne.

Hanji- Oh euh, salut..?

Mais qu'est-ce qu'elle fait là, chez moi alors qu'il n'y a même pas mon frère. Il lui est arrivé de ramener quelque personnes de notre réseau d'amis proche mais il ne m'a jamais forcé à sortir dans ces moments là. Il avait sûrement du interdire l'accès à l'étage pour que personne ne me dérange.

Je me relève pour m'assoir sur le bord du lit en déposant la tête du chien sur le matelas, je me retrouve face à Hanji. J'entend Naya rouler sur elle même et se laisser chuter sur le sol en râlants.

- Salut...

Hanji- C-ça fait un petit moment, qu-qu'on ne s'est pas parler...

Elle bégaye, étrange, elle qui sourit tout le temps en parlant avec le même ton enjoué, ça fait vraiment bizarre de la voir comme ça. Surtout après notre échange plutôt torride en mai. Elle a une expression mi gêné par mon apparence physique qui est plus que déplorable avec mes yeux rouges et mon simple pyjama, qui n'est qu'autre qu'un vieux t-shirt de mon frère,et mi heureuse de me retrouver.

- Hmm...

J'avais oublier qu'elle était si belle, elle a les cheveux détachés, qui ont un peu pousser d'ailleurs, elle porte une robe ivoire simple. Je suis vraiment heureuse de la revoir mais aussi gêné, j'ai honte de ne pas avoir donné de nouvelles du jour au lendemain.

Elle m'a vraiment manqué. Je suis complètement plonger dans mes pensées quand elle reprit.

Hanji- Eh T/p ?

- Oui ?

Hanji- Ça va ?

- Et toi ?

Je préfère sagement esquiver la question et continue de l'analyser. Elle s'avance vers moi puis s'assoit à mes côtés une expression mélancolique coller sur son visage, passant un bras autour de mon épaule. Elle pose sa main derrière ma tête, pour la guider au creux de son cou. Mes larmes ne tardent pas à couler et commencent à humidifier sa peau. Comme si c'était naturel, je me laisse aller contre elle pendant qu'elle m'enlace. Je ne sais même pas pourquoi je pleure.

Hanji- Calme-toi p'tit cœur...

Étonnamment, sa voix m'apaise énormément. Elle est calme et douce. Son odeur me berce, lentement je m'endors contre son cou.

PDV Hanji

Je sens la respiration de T/p se régulariser, je devine qu'elle s'est endormie.

Je passe mes bras sous ses épaules et ses genoux puis finis par la soulever. Je la pose sur son lit et me laisse me coucher à côté d'elle. Ça me fait mal de la laisser seule dans sa chambre avec sa chienne. Je commence à me lever pour sortir.

Je sens des bras m'enlacer délicatement. T/p m'attire sur le matelas puis me grimpe dessus en posant sa tête entre mes seins. Gêner au debut par cette position, je finis par me détendre et passer mes bras dans ses cheveux et son dos.

Je n'ai pas l'habitude d'être en dessous de quelqu'un et même si notre dernier échange a été très physique. Je regrette encore de ne pas avoir plaqué mes lèvres contre les siennes ce jour là.