𝐘𝐨𝐮 𝐡𝐚𝐯𝐞 𝐛𝐞𝐚𝐮𝐭𝐢𝐟𝐮𝐥 𝐛𝐫𝐨𝐰𝐧 𝐞𝐲𝐞𝐬

23- 𝘕𝘢𝘺𝘢 𝘤'𝘦𝘴𝘵 𝘭𝘢 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘪𝘯𝘵𝘦𝘭𝘭𝘪𝘨𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘣𝘢𝘳𝘢𝘲𝘶𝘦, 𝘭𝘢 𝘱𝘢𝘶𝘷𝘳𝘦

Je dépose la gamelle pleine de Naya à sa place. Elle est à ma droite, attendant sagement que lui laisse la place pour qu'elle puisse commencer à manger. Chose que je ne tarde pas à faire.

La balade de Naya a été assez courte, je n'ai pas vraiment l'habitude de la sortir si tard. Il est déjà vingt trois heure passer. J'observe ma chienne manger pendant quelque seconde mais je lui tourne vite le dos.

J'ai envie de fumer, rien de plus. Je me dirige donc vers l'escalier pour aller dans la chambre, je remarque qu'Hanji dort toujours sur le canapé. Je monte les marches tranquillement, quand j'atteins l'étage, je tourne dans le couloir pour aller vers ma chambre.

J'arrive rapidement devant la porte, j'ouvre celle-ci puis rentre directement dans ma chambre. Je n'hésite pas vraiment vers là où je dois aller et me dirige directement vers mon bureau. Je ne cherche pas longtemps avant de trouver le joint que j'avais rouler le lundi de cette même semaine.

Une fois ma drogue en main, je sors de ma chambre en fermant la porte puis redescend dans la cuisine. Naya est toujours entrain de dévorer sa gamelle, je vais vers une fenêtre à ouvrir pour éviter d'enfumer la maison.

Je laisse la fenêtre ouverte et me dirige vers un tiroir de la cuisine. J'ai préféré descendre directement au rez-de-chaussée que chercher un briquet pendant un temps inconnu. Je saisis donc un allume gaz qui était rester à l'abandon durant plusieurs mois.

Une fois l'allume gaz en main, je referme le tiroir que j'avais ouvert puis retourne près de la fenêtre. Je place mon joint entre mes lèvres puis l'allume, je tire une première taf et recrache la fumée par la fenêtre. Je reproduit l'action plusieurs fois et fait tomber les cendres dans un cendrier placé sur le rebord. Je sens la drogue parcourir tout mon corps, je me sens libérée de tout poids.

Je réitère l'action encore et encore pendant une petite dizaine de minutes, jusqu'à ce que j'entende de l'agitation provenant du salon. Je vais en direction de la salle pour voir si Hanji s'est réveillé. Quand j'arrive dans la pièce, je la retrouve assise normalement sur canapé, le dos appuyer contre le dossier.

Elle tourne la tête en ma direction, sentant mon regard sur elle. À peine ses yeux rencontrent les miens que je me sens hypnotiser par ses prunelles brunes. Je m'approche inconsciemment d'elle, lentement, comme si mon corps était attiré par le sien.

Je contourne le canapé et me retrouve face à elle. Elle ne m'a pas lâché du regard, et moi non plus. Elle a étendu ses bras sur le dossier du canapé, une lueur que je ne serai décrire enflamme ses yeux, les rendant encore plus beau que d'ordinaire.

Instinctivement, je m'approche d'elle et finis par placer mes deux genoux au extrémité de son bassin, je joins mes mains derrière sa nuque sur les coussins du canapé. Elle place les siennes dans mon dos, elle semble ne s'être jamais endormie, ses lunettes sont à nouveau poser sur son nez.

Assise à califourchon sur elle, qui est étendu sur le dossier du canapé, je la dépasse, tellement qu'elle doit pencher la tête en arrière pour continuer de me regarder droit dans les yeux. Je retire une de mes mains de sa nuque, pour amené le joint qu'elle tenait entre mes lèvres.

Je peux voir qu'Hanji a descendu son regard sur mes lèvres au même moment. Je la regarde faire, amuser pour une fois, je me sens d'humeur assez joueuse à ce moment là, au dessus d'elle, entourer par ses bras, une humeur tellement agréable que je ne réalise même pas que je fixe également ses deux lips rosé.

Je tire ma dernière taf puis retire mon joint de ma bouche tout en rapprochant son visage du mien grâce à ma main resté sur sa nuque. Nos bouches ne sont qu'à une centaine de millimètres l'une de l'autre. Je recrache la fumée contre ses lèvres, fumée qu'elle aspire instantanément, fermant ses paupières dans une expression de bien être.

Je l'observe laisser la fumée sortir par son nez et ne résiste pas bien longtemps face son visage apaisant mais tellement attirant. Je tend mon bras vers la table basse puis propulse le mégot sur le mobilier. À peine le reste de joint hors de ma main que je la précipite sur la joue d'Hanji.

Je prend son visage en coupe avec mes deux mains alors qu'elle avait réouvert ses yeux pendant que je jetais mon joint. Je fond instantanément sur ses lèvres, les plaquant au miennes. Elle ne repousse pas, au contraire, elle m'attire contre elle à l'aide de ses mains laisser dans mon dos.

Alors que nos lèvres bougeaient harmoniquement l'une contre l'autre, je sens sa langue passer sur ma lips inférieure, me demandant l'accès à sa jumelle. Je l'accueille avec plaisir, nos deux muscles roses entame une danse endiablée. Je lâche un soupire d'aise quand elle me plaque totalement contre elle.

Je faufile une de mes mains dans ses cheveux, tirant légèrement dessus. Elle finit par abandonner mes lèvres pour venir tracer le contour de ma mâchoire avec de doux baiser papillon. Elle finit sa course dans mon cou, là où elle se mets à aspirer ma peau entre ses lips, je ne peux retenir des soupirs d'aise sous la sensation de sa langue passant sur moi, je laisse ma tête basculer en arrière pour lui laisser le champ libre.

Elle relâche la peau de mon cou pour reprendre ses baisers papillon remontant sur ma pomme d'Adam jusqu'à mes lèvres. Arriver au niveau de celle-ci, on reprend notre baisers. Baisers bien plus doux que les précédents, plus calme, moins langoureux, on pourrait presque dire amoureux.

Pourquoi il ne le serait pas d'ailleurs ?

Je sers ma prise dans ses cheveux pour lui faire comprendre à quel point j'aime ce qui se passe. Ses mains passent en dessous de mes cuisses pour se lever tout en me portant sans trop de difficulté. Nos lèvres se séparent, je glisse ma tête au creux de son cou et passe mes jambes autour de sa taille. Je limite en déposant de petits baisers dans son cou. Je la sens marcher puis monter les marches de l'escalier. Une fois arrivé au sommet de l'escalier, elle prend la direction de ma chambre et rentre dedans.

Elle referme la porte d'un simple coup de pieds puis s'avance dans la pièce sombre jusqu'à mon lit. Elle me maintient d'une main et enlève la couette de l'autre pour qu'on se couche dans mon lit. Elle pose ses lunettes sur la table de chevet avant de me déposé sur le matelas.

Je me retrouve couché sur le côté, tenant Hanji contre moi. J'ai descendu mes mains au niveau de son cou pour mieux l'enlacer, elle a remonté la couette sur nos corps puis a placé ses mains mon dos. Je laisse mes jambes glissaient entre les siennes. Je me sens fatigué d'un coup. J'ai juste envie de dormir.