DANGEROUS GAME | hwang hyunjin

twenty one.

[noa's pv]

ma journée étant fini, je me dirigeais vers la bibliothèque de l'école, seule. je devais terminer un travail en physique, qui était dû pour demain. j'étais concentrée sur mes feuilles, mon casque sur ma tête, la musique à fond, je n'avais pas remarqué que quelqu'un s'étais assis en face de moi.

jusqu'à que je lève ma tête pour aller chercher un autre livre. j'enleva mon casque.

— enfin, elle me souriait, je commençais à perdre patience, à croire que tu faisais exprès de ne pas me voir.

— est-ce que je peux t'aider? je lui demandais, plutôt confuse de pourquoi elle était en face de moi.

— c'est mignon, elle colla son dos au dossier de sa chaise, en croisant ses bras, tu t'intéresse enfin à moi, elle me répondit avec une grosse pointe de sarcasme.

— si tu n'as rien à me dire de particulier... j'étais sur le point de me lever mais elle m'arrêta, avec une question assez bizarre.

— est-ce que mon frère t'as déjà parlé de ce qu'on allait faire dans deux semaines? elle me demandait.

— je ne pense pas que cela me concerne, yeji... je fronçais des sourcils.

— au contraire, elle s'avançait vers moi, dans deux semaines, vous nous accompagnerez, toi et ryujin, à la mer. nos parents nous laissent le chalet. je suppose que hyunjin ne t'en a pas encore parlé. elle émit un léger rire moqueur.

— effectivement, il ne m'en a pas parlé, je me mise à parler lentement, me demandant si j'étais en train de rêver ou pas.

— bien, elle se leva, maintenant tu l'es.

— sans vouloir t'offenser, je ne pense pas être intéressée par l'offre... je ne pensais pas que c'était une bonne idée d'accepter.

elle me regardais de bas.

— tu as deux semaines pour prendre ta décision, elle prit son sac en main en roulant des yeux, et puis, elle se rapprochais, légèrement, de ma face, je suis sûre que tu en meurs d'envie. elle me pinça la joue droite, puis partit.

je la suivais du regard.

— woah... qu'est-ce qu'il vient de se passer? je ne m'attendais pas du tout à cette interaction entre elle et moi.

je remis mon casque et alla chercher le livre dont j'ai besoin. je passa encore deux bonnes heures à travailler, étudier et grignoter, avant d'appeler mon frère pour qu'il vienne me chercher à l'école. j'étais exténuée, je voulais faire qu'une seule chose: dormir.

je me mise à ranger mes affaires quand je reçu un message de mingi, me disant qu'il m'attendait dehors.

en traversant les couloirs de l'école, j'eu l'impression d'être observée. pourtant, les couloirs étaient vide puisqu'il était 7p.m., personne reste ici à cette heure-ci. je me retournais plusieurs fois, je marchais de plus en plus vite, j'en avais des frissons dans le dos.

je vis la voiture au loin et me mise à courir vers celle-ci, me précipitant à l'intérieur. j'essayais de reprendre mon souffle après avoir couru. mon frère se mit à conduire jusqu'à la maison.

— t'as repris ton souffle, il me demandait, c'est bon? je hochais la tête en guise de réponse.

— est-ce que tu as vu quelqu'un entrer dans l'école, quand tu étais garé? je lui demandais, on ne sait jamais. peut-être qu'il y avait réellement quelqu'un que je n'ai pas vu.

— nope, il n'y avait que toi, pourquoi? t'as vu un fantôme là-bas? il me demandait en riant.

— c'est pas drôle, je fronçais des sourcils, j'ai vraiment sentie une présence me suivre... est-ce que je deviens folle ou...? il m'interrompit.

— ou c'est juste que tu ne dors pas assez pour ton âge, il mit sa main sur le haut de ma tête, tu travailles beaucoup pour tes cours mais tu oublies que le sommeil passe avant tout. je le regardais, les bras croisés.

— oui, t'as raison, je lui répondis en parlant dans ma barbe. non, je n'y croyais pas. j'étais même sûre à 100% que ce n'était pas la fatigue qui me faisait délirer. en faite, tu dis ça parce que tu ne crois aux évènements paranormaux, n'est-ce pas? je ne pouvais que continuer à insister.

— noa, t'es juste débile là. il me fit comprendre que je le saoulais.

— d'accord, d'accord, j'arrête là sinon tu vas finir par te pisser dessus parce que t'as trop peur des fantôme. un fou rire m'avait attrapé avant que sa main vienne se plaquer sur le haut de ma tête. ouch. je frottais ma tête pour faire partir la douleur.

— ça t'apprendra à dire n'importe quoi. c'était à son tour de se moquer de moi.

une fois à la maison, je pris une douche puis j'accouru dans ma chambre, lançant mes affaires par terre et ouvris mon ordinateur pour faire quelques, même beaucoup de recherches sur les évènements paranormaux sinon j'allais pas dormir.

au bout d'une heure et demie de recherche, j'arrivais à en conclure que les antédiluviens, soit les vampires, ont des chances de réellement exister dans notre monde. en conclusion, je n'étais pas folle, il y avait réellement quelque chose ou quelqu'un qui me suivait. donc, est-ce que ça voudrait dire qu'il y a des vampires dans mon établissement scolaire?

c'est fascinant.

pourtant, tout le monde ressemble à des adolescents humain, si je puis dire, or que, peut-être, qu'ils au moins deux cents ans. et comment ils font pour manger à la cantine, est-ce qu'ils mangent la nourriture qu'on sert ou est-ce qu'il y a un service spécial pour les antédiluviens?

trop de questions me passaient par la tête, je ne savais même plus ou mettre la tête... et je ne m'arrêtais pas là. sans même m'en rendre compte, je continua toute la nuit sur ma longue lancée de recherches sur les créatures mystiques et les reportages dans le genre.

encore une fois, ce monde est fascinant, notre monde me fascine. j'en ai des frissons. mais une partie de ma conscience a peur, n'aime pas ce qu'elle enregistre, un sentiment d'insécurité dans ma propre école...