(BWWM)
Ebony Mbongo âgé de 23 ans est issue de la grande famille multi-milliardaire Anglo-Congolaise, ses parents Olivier et Bijoux sont connus pour être des géants dans le monde des affaires étrangères. Ebony quant à elle, est toujours en pleine é...
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Enzo...
En faite, ce n'est pas moi qu'il regardait directement mais Riccardo.
Vous voyez l'expression "le regard qui tue ?"
Il avait clairement envie de le tuer, et j'ignore pourquoi.
Riccardo ne semblait rien avoir remarqué et continuait de parler, ignorant totalement Enzo. Il riait même à gorge déployé avec les autres, toujours son bras derrière ma nuque.
Enzo jette son mégot par terre et l'écrase par terre. Il insiste sur celle-ci, toujours le regard rivé sur Riccardo. Il prend sa canette de Coca qui était posé à côté sur une petite table à côté de lui et l'a boit d'une traite.
Puis il s'avance vers nous, enfin plus précisément du côté de Riccardo avant de accidentellement renversé la totalité de sa boisson sa chemise.
- Putain ! crie Riccardo.
Je sursaute et m'éloigne de lui avant de plaquer ma main contre ma bouche. Les autres aussi sont surpris.
- Ah merde désolé Ricc', ma main à glissé... dit-il. Je ne regardais pas ou j'allais, j'étais un peu dans mes pensées.
Riccardo ne dit rien se contente de regarder sa chemise toute mouillé. Enzo soupire et met ses mains dans ses poches.
- Je t'en rachèterais une autre, dit-il d'un ton complètement détaché avant de s'en aller en sifflant comme-ci de rien était.
- Merde Riccardo ! dis-je, tu veux que j'aille te chercher un mouchoir ou...
- Non t'inquiète pas... soupira-t-il. C'est rien, ça va sécher je vais rester dehors de toute façon.
Je le regarde, puis il me sourit d'un air rassurant comme pour me dire ne pas m'inquiéter. Je soupire et lui tend mon éventail.
- C'est peut-être rien mais ça va sûrement sécher plus rapidement si tu fais de l'air avec.
Il sourit légèrement et prend l'éventail. Je lui fais un clin d'oeil et fait le tour du bâtiment à la recherche de Enzo.
Ce n'était pas accident.
Et sa main n'a pas glissé.
Pourquoi avait-il fait ça ?
Plus loin, je l'aperçois assis sur un banc, il ne pouvait pas me voir, le banc était dos à moi.
Je sens la colère monter en moi, je n'ai pas compris son geste. C'était méchant et puéril de sa part.
Je sais que c'est un connard, mais il y a quand même des limites à ne pas dépasser. C'était tout simplement méchant et puéril de sa part.
Quel con.
Je m'approche de lui d'un pas déterminé et me poste devant lui, il était devant son téléphone. Je croise les bras et le fixe d'un regard assassin.
