C H A P I T R E
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Pdv Interne | T/pAprès avoir fini ma clope, j'entendis Slender nous appeler pour nous dirent qu'il y avais à manger. J'allais ouvrir les fenêtres pour faire partir l'odeur de clope, puis, je sortis de ma chambre en remettant mon masque.
Arrivé à la cuisine, je remarquais que certains c'étaient posés à des tables à manger, tandis que d'autres allaient dans leur chambre pour manger.
Je choisis la seconde option, et retournais dans ma chambre pour manger tranquillement.
J'appréciais être seul. Le silence et le calme avaient toujours été mes meilleures alliés.
J'éteingnais ensuite les lumières et me coucher sur mon lit, me laissant aller dans les draps frais avant de m'endormir.C'est quand le sommeil me prit que les cauchemars firent surface. Ils étaient souvent là, à attendre que le sommeil me prenne pour venir assombrir mes rêves. Les mauvais rêves...
Ce cauchemar n'était pas différent des autres.
Je revoyais mon père arrivait dans la cuisine pendant que je nettoyais les fenêtres, bouteille d'alcool à moitié vide dans la main.
Il était arrivé derrière moi et m'avait aggripé les cheveux avant de les tirer, de prendre de l'élan et d'exploser mon visage contre la vitre.
Je me rappelais encore de la douleur que j'avais ressenti à ce moment là. J'avais bien cru mourir tellement mon nez me faisait souffrir et saignait.
Je me remémorais la suite, où il me balançais au sol avant de me ruer de coup. Ce jour là avait été le plus violent de ma vie. Jamais je n'avais eu aussi mal. Plus d'un fois, j'avais bien cru mourir, mais même encore aujourd'hui, je me demandais comment j'avais pu survivre à ce jour ci.
Je ne voulais plus que l'ont me touche. Je ne voulais plus qu'aucun homme ne m'approche. C'était la pensé la plus marquante que j'avais eu ce jour là.Puis le souvenir finissait par s'arrêter pour me laisser droit à un réveil mouvement : à bout de souffle, les larmes au yeux parfois même coulant sur mes joues, et en sueur.
Je soupirais avant de me lever pour prendre un douche, comme d'habitude.
C'était presque devenu habituelle. Je faisais même exprès de ne pas aller à la douche avant d'aller me coucher, sachant que je devrais forcément en prendre une à mon réveil dans la nuit.L'eau bouillante coula le long de mon corps pour faire partir ces mauvaises sueur froide.
Au fond, je savais que tôt ou tard, il serait l'heure. Que ces cauchemar finiraient par me faire un mal irréversible. Ce moment où il serait trop tard pour agir car j'aurais atteint un stade de non retour : la folie.
J'espérais juste qu'avec le temps, ils finissent pas s'effacer d'eux mêmes dans ma mémoire. Je l'espérais.
Je sortis de la douche, m'habillais avec des vêtements propres et sortie du manoir sans faire de bruit pour me changer les idées.
Je passais dans le jardin, donnant sur un coin d'eau plutôt mignon avec quelques fleurs sauvages.
Je m'assis au bord de l'eau et mis mes pieds dans l'eau.
Lorsque mon pied toucha l'eau j'eus un léger frisson à cause de sa température. Normal, il fait plus frais la nuit...
Le bruit des vagues m'apaisaient. C'était plus reposant que les cauchemars en tout cas...
??? - Du mal à dormir ?
Je jetais un coup d'œil au dessus de mon épaule avant de voir la fille à la robe noir. Jane.
T/p - Je ne dors quasiment jamais.
Jane - Pourquoi ?
Elle s'assit à côté de moi, en laissant ses pieds se mouiller au contact de l'eau.
T/p - Mon cerveau refuse d'arrêter de penser.
Jane - Depuis que tu a tuer tes parents ?
Je lui lançais un regard plutôt mauvais. J'étais fiché maintenant, je devais m'y faire, même si au fond, je savais qu'il ne savait pas tout. Personne ne savait. Et personne ne saura.
T/p - Non pas vraiment.
Jane - Alors quoi ?
T/p - Je n'suis pas vraiment du genre à raconter ma vie et à m'ouvrir au gens facilement.
Ma réponse mis un froid à la discussion et s'arrêta là.
Jane - Je vois... Si jamais tu veux quand-même parler, je suis toujours à l'écoute.
Je ne l'a retenu pas de partir, et continuer de regarder l'eau, le regard éteint.
Depuis quand étais-je devenu aussi froide ? Je ne savais plus.
Plus le temps passait et plus j'avais l'impression que mon humanités me perdait. Mes émotions, mes envies, mes passions... Tout ça disparaissait petit à petit et j'en avais conscience, mais je m'en fichais un peu. La mort était devenu ma raison de vivre et le meurtre ma passion. Mes émotions en revanche, je n'en avais plus. Je ne ressentais plus de plaisir pour rien, ou peut-être seulement lorsque je tuais mais sans plus... C'était découragent.
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Behind Our Masks | Masky x Reader
FanfictionUne nouvelle arrive au manoir des creepypasta. Bien qu'elle n'ait pas vraiment eu le choix, elle va être livrée à elle-même quand elle va découvrir qu'elle est en réalité, la seule humaine. Comment allez-vous affronter le regard, le jugement et les...