14. Soutiens

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POV Readers :

Ce soir tout le monde ne parler que de leur progrès, j'ai d'ailleurs eu beaucoup de compliment sur cette nouvelle forme. En rentrant dans ma chambre il est tard, demain nous allons sûrement douiller en cours. Je regarde pas la fenêtre, il doit dormir... J'aurais aimer avoir son avis, après tout, c'est surtout grâce a lui si j'ai réussi. Bon qui ne tente rien n'a rien. Je sort de ma chambre en pensant a éteindre ma lumière, éviter que des profs pris d'une envie de promenade nocturne ne voit ma lumière vienne me voir et remarquer que je ne suis pas dans ma chambre. Je me balade entre les bâtiments tous identiques. Celui des profs est par là je crois. En cherchant encore un peu, je le trouve enfin, a travers des fenêtres je vois certaine lumière encore allumer, avec un peu de chance il ne dors pas finalement. Je fais le tour du bâtiment jusqu'à ce qu'une odeur de fumé me fit lever les yeux. Trouver ! Il es là, il fume calmement au bord de sa fenêtre, le regard au loin. Es ce que j'en profite pour lui parler de samedi ? Je ne sais pas ... Après un court moment de rêverie je saute de fenêtre en fenêtre jusqu'à lui. Lorsque mes pattes atterrissent à coter de lui, il semble surpris mais un sourire en coin s'affiche sur ses lèvres. Il se décale de la fenêtre sans un mot pour me laisser passer. Je regarde autour de moi, Comme a son appartement tout est basique, il a coller l'un des coter de son lit pour gagner de la place. Tout est bien organiser sauf son bureau qui est dans un bordel sans nom. Comment il fait pour retrouver nos copies sous tout ce bazar ?

Le dos toujours tourner, il me désigne une armoire.

Aizawa : Prend un truc, et change toi j'aimerais pouvoir te parler.

Oula, c'est jamais très bon signe ça. Je me transforme en humaine. Nue je me dirige vers son placard et attrape le premier truc que je trouve. Je me retrouve en short et T-shirt beaucoup trop grand pour moi. Je cru surprendre une demi seconde un regard au dessus de l'épaule de mon prof lorsque j'ouvrais le placard. Je m'approche de lui, il a bientôt fini la cigarette qu'il tiens de deux doigts. Je l'attrape rapidement et aspire la fin de celle ci.

Aizawa : Les gamines ne sont pas sensé fumer !

T/P : ni boire des bière, pourtant malheur, je le fait.

Tout en recrachant la fumé j'écrase ce qu'il reste dans un petit cendrier placer sur le rebord de fenêtre. Dans un mouvement gracieux, je me retrouve allonger les bras déplier sur son lit. Lui qui n'avait toujours pas bouger me regarde d'un air amuser.

T/P : Qu'est je fait de mal cette fois ?

Aizawa : Pourquoi tu veux avoir fait quelque chose de mal ?

T/P : Quand vous me dites que vous voulez me parler, c'est jamais bon signe.

Il s'approche de moi, me fait de petite tape du dos de sa main sur ma jambe pour que je lui laisse de la place. Je m'exécute et me met en tailleur contre le mur, lui s'assoit contre le dossier du mur.

Aizawa : Tu te trompe. Félicitation pour ta technique. Cementos m'a expliquer le procéder que tu employer. A quoi penses tu alors ?

T/P : Euuuuh, bah ... A des moments cool passer depuis que je suis aux lycées, avec mes amis et tout...

Et surtout avec toi !! Je pense qu'il sait que je ne lui dit pas tout, un sourire narquois lui apparaît. Avant de me regarder avec un air plus sérieux.

Aizawa : Comment c'est passer l'appel de la prison, je n'ai pas eu l'occasion de te demander.

T/P : Vous voyez ! C'est jamais bon signe quand vous voulez me parlez !

Aizawa : Si tu n'es pas contente, tu connais la sortie

T/P : Tss, de toute façon ça vous rendrais trop malheureux si je ne vous répondais pas !

Aizawa : Crois ce que tu veux !

On se regarde un moment avant qu'un petit rire franc ne lui échappe. Moi qui riait déjà, je m'arrête, je ne l'avais jamais vu vraiment rire. Il étouffe toujours ses rires sous des soupires ou soufflement léger mais pas réellement rire. D'ailleurs depuis quand es ce que je peux lui parler si familièrement sans me prendre de réflexion ? Il est tellement différent dans ces moments en tête à tête.

T/P : Il veux me voir samedi.

Aizawa : Ah ? Pourquoi ?

T/P : Je ne sais pas, d'ailleurs je ne vous en ai pas parler parce que je ne sait même pas si je vais y allez.

Aizawa : Tu pourrais y allez avec Hizashi ? Tu vas bien a la tombe de ta mère avec lui non ?

T/P : Comment vous savez ça ?

Aizawa : Je lui ai demander ce que vous fabriquiez tout les deux.

T/P : Je ne veux pas qu'il vienne avec moi à la prison, pour vous répondre. Même si c'est écrit dans mon dossier, le faite que j'en parle à d'autre me rend mal à l'aise...

Aizawa :Pourtant tu m'en as parler ?

T/P : Vous c'est ... différent... enfin je sais pas comment dire. C'est juste plus facile d'en parler avec vous.

Aizawa : Dans ce cas, je viendrais avec toi ! Enfin, si tu le souhaite.

T/P : Je veux pas vous déranger vous savez ... je ...

Aizawa : Je t'y emmènerais, ça ne me dérange pas, je resterais en retrait mais si besoin je serai la pour toi.

T/P : Merci...

Aizawa : Après je te dépose à Hizashi et je vous laisserai tout les deux.

T/P : Vous pouvais nous accompagner aussi ! Je serais heureuse que vous soyez la aussi !

Aizawa : Dans ce cas je reste avec toi, jusqu'à ce que tu n'es plus besoin de moi.

Un sourire apparu sur mes lèvres, si seulement il savais que j'aurais toujours besoin de lui ! Alors que j'allais lui dire que j'allais rentrer me coucher, il m'attrape et m'enlace.

Aizawa : Je ne sais pas exactement pourquoi tu pleures, mais tu peux les laisser couler avec moi.

Je pleure ? Pourquoi je pleure moi ? Sans que je m'en rende compte je fini en larme contre mon professeur qui me berce doucement. Il m'allonge et me sert contre lui, me murmurant de reprendre mon souffle. Difficilement je me détendis. Son cœur battait contre mon oreille cela me berçais.

T/P : Dites ? Ils sont où vos chats ?

Aizawa : Ça te prend comme ça ?

T/P : je me posais déjà la question avant de venir.

Aizawa : Ils sont dehors, ils rentrent quand il fait trop froid ou qu'ils ont faim, mais dans l'ensemble et reste dehors. Ici il y a moins de danger que lorsqu'ils étaient dans mon appartement donc je les laisse en liberté.

T/P : Je vois...

Je n'avais pas bouger de contre lui, d'ailleurs son étreinte ne c'était pas relâcher. Je m'endormais doucement au rythme de son cœur.

T/P : Monsieur ?

Aizawa : Appelle moi Shota.

T/P : Sho.. ta vous, tu m'autorise à dormir ici ?

Aizawa : Si demain tu te lève assez tôt pour que personne ne remarque ta présence ici et ton absence dans ta chambre, ça me va !

T/P : Merci monsieur

Aizawa : Tss

T/P : Shota, pardon...

Aizawa : Ça te dérange ?

T/P : Non, je ne suis juste pas habituer a vous, à t'appeler ainsi.

Aizawa : Je vois.

T/P : Bonne nuit, Shota.

Je le sent sourire dans mes cheveux, sa chaleur me fait du bien, sa respiration me berce, son cœur fait l'effet d'une berceuse. Mes yeux sont si lourde. Je m'endors rapidement. Avant de plonger dans un profond sommeil, je l'entend me murmurer a l'oreille « repose toi bien chaton ». Je sombre doucement dans un profond sommeil sans rêve, mais avec en fond, le doux son de sa respiration dans mes cheveux.

Amour Irrationnel Shota Aizawa x ReadersOù les histoires vivent. Découvrez maintenant