MY DRUGS

"Du poppers"

NDA // ce chapitre contient une scène à caractère sexuel gay.

Les gens qui ne sont pas en accord avec l'homosexualité présente dans mon histoire, je vous prierais de ne pas commenter et de vous contenter de ne plus lire mon œuvre. Sur ce,

bonne lecture :)

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//PDV JAY//

J'entends la porte claquée derrière nous, mais aucun de nos corps ne s'écarte de l'autre.

Cela fait environ 2/3 mois que je ne l'ai pas vu.

Nos langues jouent et dansent ensemble, sans retenue, sans gêne. Je l'oblige à s'allonger sur son petit canapé, la main toujours accrocher sur son cou et je me positionne au-dessus de son corps qui tremble déjà d'excitation.

Ma bouche quitte ses lèvres et vient se poser sur sa mâchoire, je la parsème de baisers et sa peau se couvre de frissons. Un sourire apparait sur mon visage. Je me redresse, mettant de la distance entre nous et je lui retire son tee-shirt.

Son appart est plongé dans le noir, seulement ses leds sont allumés et régler sur la couleur écarlate que je déteste fortement. Mais en ce moment, la teinte des lumières m'apporte peu.

Il doit faire 21 degrés dans son appartement et pourtant, je suis déjà couvert de sueur.

Mon membre me fait mal tellement je bande... Ses yeux couleur océan ne me quittent pas, ses cheveux bruns sont en bataille, ses lèvres gonflées et son souffle erratique n'aident en rien l'érection que j'ai, car cette vision me donne juste envie de le prendre tellement fort qu'il pourrait en mourir. Je l'aide également à retirer son pantalon et reprends en otage sa bouche que j'aime tant. Il est en caleçon sous moi et je sens son érection frotter contre mon pantalon, ce contact le fait gémir et je souris de plus belle à l'entente de ce son si agréable à écouter.

Comment un homme peut-il me faire autant d'effet ?

La chaleur du salon semble augmenter à chaque mouvement que nous faisons. Il passe une main dans mes cheveux, son geste est pressé et il se cambre davantage pour que sa peau soit plus proche de moi.

Nous n'avons pas parlé, nous sommes seulement des corps dévorés par le désir charnel. Mon cerveau ne pense qu'à lui, qu'à sa peau couverte de frissons dus à mon toucher. Tous mes problèmes semblent disparaître quand je suis auprès de lui, dans ses bras, en lui...

Voilà le secret que je garde... Je suis un putain de Gay.

Nous nous décollons, à bout de souffle, et il m'aide à retirer la chemise blanche que je portais. Il défait les boutons avec hâte et une fois torse nu, il embrasse avidement mon torse. Ses mains agrippent la ceinture de mon pantalon et la retire sans difficulté.

Quelques secondes plus tard, nous sommes tous les deux en caleçon, moi ayant repris place au-dessus de lui sur son petit canapé bleu marine. La lumière est toujours écarlate.

Je l'embrasse de nouveau dans le cou, il frémit et je le sens chercher quelque chose sur la minuscule table basse en verre. Je me redresse une nouvelle fois et remarque qu'il prend un petit flacon, ce dernier est rempli d'un liquide incolore.

Du poppers.

Il retire le bouchon et inhale le parfum que dégage le liquide. Il me tend ensuite la petite fiole et je me délecte à mon tour de cette odeur particulière. Cette dernière ressemble à du dissolvant, mais un dissolvant différent... Je ne sais pas trop comment la décrire...