MY DRUGS

"Je me sens si bien contre lui..."

~~Ce chapitre contient un passage à caractère sexuel !~~

// PDV CALEB //

Mon cerveau ne répond plus, mon jouet favori évolue et devient réellement amusant. Aria Evans, tu m'inspires de plus en plus...

Je porte la petite brune et l'allonge sur le bureau, poussant ma chaise roulante loin derrière nos corps. Nos respirations sont courtes, sa peau se couvre de frissons à mon contact, mon membre durci ne demande qu'à assouvir sa volonté.

Les yeux verts d'Evans ne me quittent pas, un désir ardent brûle au fond de ses pupilles et elle se lèche les lèvres. De mes paumes, je lui retire son jogging. La couleur laiteuse de sa peau est splendide, lisse, sans imperfection... Sa seule cicatrice est sur sa cuisse droite, là où Ash avait planté la lame de son poignard favori...

Voleuse, plus aucune cicatrice n'apparaîtra sur ton corps.

La brune retire son tee-shirt après avoir vu que je ne comptais pas le faire. Chaque geste qu'elle fait provoque le déplacement des billets qui sont encore en dessous d'elle... Elle ne porte pas de soutien-gorge... Il ne lui reste que sa culotte et putain... Cette vision est une bénédiction des dieux.

En lui retirant le dernier tissu qu'elle possède, je remarque qu'elle est déjà prête à m'accueillir... Sa moiteur me donne envie de la goûter. Mais je m'abstiens... Je ne fais pas dans le sexe orale.

Recevoir du plaisir de la bouche d'une femme est exquis. Mais je n'userais jamais de mes lèvres sur une partenaire. C'est trop intime.

Je ne prends pas le temps de me dévêtir, son souffle erratique me laisse comprendre qu'elle est pressée, et je le suis aussi.

Est-ce que c'est son premier rapport sexuel ? Je veux dire, depuis son ex. Le fait qu'elle couche avec quelqu'un d'autre que moi ne m'enchante pas. 

La brune s'offre à moi avec joie. À cet instant, seuls moi et nos corps comptons pour elle...

J'abaisse mon pantalon et sors mon membre. Aria écarte légèrement les jambes pour m'inviter davantage à rentrer en elle. Je ne me fais pas prier et avance mon pénis jusqu'à son entrée directement après avoir enfilé un préservatif.

Les lumières tamisées du bureau rendent la brune encore plus magnifique qu'elle ne l'est de base. Ses cheveux éparpillés sur le meuble, son regard vert me transperce et la sueur qui perle sur sa peau me rend dingue...

Mon membre en main, je colle nos deux intimités sans pour autant la pénétrer, je me contente de faire des mouvements de translation, du bas vers le haut. Mon pénis se couvre de cyprine tellement Aria est mouillée. Elle est parfaite.

Elle gémit a chacun de mes gestes lents et je mets fin a sa torture perverse en rentrant en elle. Son dos s'arque immédiatement lorsqu'elle sent la connexion entre nos corps. Je commence à bouger lentement pour ne pas lui faire mal, elle a les yeux fermés, les sourcils un peu froncés, la bouche légèrement ouverte...

Au fur et à mesure, mes coups de reins se font de plus en plus rapides, les petits gémissements d'Aria se sont transformés en vrais cris de plaisir. Aucun son ne sort de ma bouche, mais le plaisir que je ressens n'a jamais était aussi grand. C'est comme si j'étais à ma place... Comme si ma place était en elle, avec elle.

Mes mains ont pris place sur ses hanches, elle a croisé les jambes dans mon dos comme pour m'empêcher de la quitter. Elle s'accroche au rebord du bureau qui se situe au-dessus de sa tête, la moitié de l'argent est tombée sur le sol, mais cela m'importe peu.