Chapitre 15

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Madame la juge:  Faites le sortir IMMÉDIATEMENT!!! Dépêchez-vous!!!

Je repense à ses paroles, est-ce que s'était la bonne décision? Aurai-je du continuer ainsi? Vais-je le regretter? Vais-je mourir? Je refuse,je refuse, J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷ ̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷ ̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷E̷########̷R̷#̷J̷̷#####################̷R̷#̷J̷̷###########̷R̷#̷J̷̷E̷########̷R̷#̷J̷̷###########̷R̷#̷J̷̷E̷########̷R̷##########̷R̷#̷J̷###########̷R̷#̷J̷̷###########̷R̷#̷E̷########̷R̷#̷J̷̷###########̷R̷#̷J̷̷##########̷R̷###########̷R̷#̷J̷̷###########̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷ ̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ RE̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷ ̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷J̷E̷ ̷R̷E̷F̷U̷S̷E̷,̷
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Shota: Izuku, écoute moi tout est fini ne l'écoute pas, il ne pourra plus te faire du mal, il sera derrière des barreaux dans une prison, il ne pourra plus jamais te faire du mal car il sera loin de toi Izuku, tu es en sécurité maintenant, tu peux enfin respirer et être toi même.

Je n'entendais plus rien, aucun son était produit mis à part le bourdonnement répétitif qui sonnait dans mes oreilles, je fermais mes yeux face à la vague de souvenir qui se défilait devant moi jusqu'à ce que je sentis qu'on me pris dans une étreinte, je repris peu à peu mes esprit et je remarqua que la personne qui m'avait serrer contre lui n'était autre que Shota. Je décide alors de resserrer l'étreinte et de pauser ma tête sur son torse et il fit de même. Il avait raison tout est fini, il va rester en prison pendant 25 ans, il ne pourra plus jamais m'atteindre. Je suis désormais en sécurité maintenant, il ne pourra plus jamais me faire de mal et m'atteindre. Toutes ces années où j'ai vécu dans cette maison qui devait être mon chez moi chaleureux et accueillant, c'était transformé du jour au lendemain en une maison qui représentait l'enfer, avec cet homme qui devait être un exemple dans ma vie, un père qui devait aimer son fils mais qui en réalité était un homme qui avait fuit ses responsabilité de père mais qui est resté juste par amour pour sa femme et qui, au moment de la mort de ma mère c'est transformer en un homme qui attendait sa proie qui passe le seuil de la porte pour lui sauté dessus. Toutes ces souffrances physiques et mentales qui sont incrustées en moins, toutes ces séquelles qui ont causé des cauchemars qui n'en finissent plus et qui me hanterons jusqu'à la fin de ma vie. Toutes ces séquelles, souffrances, cauchemars qui me rendaient fou dans cette pièce appeler chambre, cette pièce où se trouvait un matelas sans rien accompagné mis à part d'une couverture trop petite pour moi, dans un des coins, il y avait un cartons remplis de vêtements sales, déchirés, troués qui demandais qu'à rendre l'âme, et pour finir, dans cette pièce où se trouvait une table sans chaise qui servais de bureau d'une hauteur de 45cm et d'une largeur de 40cm, de quoi se servir pour étudier. Cette pièce ou j'ai lâché toute ma douleur sous forme de pleure et crie mué... Je pris ma respiration, éclairci mon esprit et décide de me séparer de Shota. Une fois les idées claires, nous décidons de retourner auprès de mon avocat et de nos connaissances. Nous nous séparons, lui se dirigeant vers nos connaissances et moi me dirigeant du coté de mon avocat pour finir toutes les tonnes de papiers à signés, le rapport pour la décision final de l'affaire puis toutes les dernières informations sur se qui va se passer et la garantie de ma sécurité. Quelque temps plus tard, une fois toutes cette paperasses finies, je dis mes adieux à mon avocat et rejoins Shota qui m'attendais dans le hall. En allant vers la sortie, je lui est demandé si nous pouvions faire un détour pour que je puisse me recueillir auprès de ma mère se qu'il accepta naturellement et décide donc de m'y conduire. Pendant le trajet, il y avait un silence qui régnait mais il n'était pas désagréable, au contraire, il était apaisant, comme si un poids à été retiré de nos épaules. Je prends enfin conscience de ma liberté, je suis enfin libéré de mes chaînes, je suis si heureux d'être loins de tous ces problèmes. Je pourrais faire ce que je veux sans que personne ne me disent ce que je dois faire et en arrêtant de vivre dans la terreur. Cette angoisse de rentrer chez moi qui va maintenant disparaître... Pour une fois dans ma vie je me sens bien. À ces penser, je sourie naturellement sans m'y forcer puis je jette à coup d'œil à Shota qui conduisait toujours, et ce que je voyais m'arrêta me figea. Devant moi se trouvais une toute nouvelle personne, le Shota que je connais et que j'ai connu depuis le début était une personne qui dégageait une aura triste, dépressif et fatigué. Quand je l'ai rencontré pour la 1er fois, j'étais face à un homme qui ne voulais pas faire cours, on était plus un fardeau qu'autre chose, le fait même que je pense que je faisais parti des élèves qui n'aimait pas vu le nombre de fois qui me regardait en cours. Chaque chose qui faisait le fatiguait et l'ennuyait, comme si rien ne l'intéressait. Puis il y a eu le moment où il est devenu mon tuteur. Je voyais bien qu'il étais encore plus fatigué et préoccupé qu'avant et que j'étais qu'un enfant à problème. Mais quand je le regarde aujourd'hui, il avait une aura paisible, ses yeux rayonnaient un peu plus que d'habitude et sur son visage, je pouvais déchiffrer un visage calme et heureux grâce au sourire qu'il affichait sur ses lèvres. Ses yeux obnubilait et j'étais scotché à ses yeux, le temps défilait sans que je m'en rende compte, puis au bout d'un moment, Shota bougea sa tête de mon côté et nos regards se croisa.

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