Chapitre 28

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Désolée pour le retard mais je suis en plein révisions pour mes examens en fac, donc je ne serai pas disponible pour publier en Avril. La suite sortira en Mai, merci à tous pour votre compréhension et bonne lecture 🫶🏼

Résumé :
Izuku : impossible... je... comment es-tu là ? Je... non non non non ce n'est pas possible tu étais en prison...

??? : je t'avais dit que je me vengerai mon cher Izuku

Izuku : pourquoi es- tu là....


Suite =>

PDV externe :

Pendant ce temps, Shota, Katsuki, et Hizashi étaient chez Shota. Shota ne pouvait s'empêcher de penser à ce qui pouvait arriver à son ami bien-aimé, son angoisse s'intensifia. Le salon était dans un état de catastrophe. Le canapé était relégué dans un coin de la pièce, la lampe gisait en morceaux éparpillés sur le sol, accompagnée de nombreux livres, papiers, verres et autres objets éparpillés partout dans l'appartement. Shota parcourut chaque pièce de l'appartement pour constater le travail qui devait être fait. Seulement, le silence était pesant, et il avait l'impression que l'appartement était imprégné de l'absence de son petit ami. Les pensées les plus sombres envahissaient son esprit, et il se demandait ce qui avait bien pu se passer. Katsuki était partit chez lui quant à Hizashi, il était resté avec Shota, le soutenant du mieux qu'il le pouvait, mais tous deux étaient accablés par l'incertitude. Les heures passaient dans le ménage et le rangement de l'appartement. Shota sentait qu'un morceau de lui-même avait disparu, laissant un vide béant dans son cœur. Il aurait donné n'importe quoi pour revoir le visage souriant de son petit ami, pour entendre sa voix douce et apaisante. Une fois terminé (4h du matin), Shota proposa à son invité de dormir chez lui dans la chambre d'invité pendant que lui dormait sur le canapé. Mais celui-ci refusa en disant qu'il dormira sur le canapé tandis que lui dormira dans la chambre d'invité. Ils se disent bonne nuit et Shota partis dans sa chambre. En arrivant dans la chambre, Shota partit se changer rapidement et s'assit sur le bord de son lit inquiet et tourmenté, se demandant ce qui avait bien pu arriver à l'homme qu'il aimait. Il savait que tant qu'Izuku ne serait pas de retour, le vide dans son cœur ne se comblerait pas, et il était prêt à tout pour le retrouver, pour le ramener chez lui où il appartenait, dans l'étreinte chaleureuse de leur amour. Shota se leva chaque matin avec un poids incommensurable dans le cœur. Les jours, les semaines et les mois avaient passé depuis la disparition de son amour, et le vide laissé par cette absence lui semblait insurmontable. La personne qui avait illuminé sa vie avait disparu, laissant derrière elle une obscurité oppressante. Izuku, son amour, avait disparu sans laisser de trace. Shota se réveillait tous les matins en espérant que ce cauchemar prendrait fin, que son téléphone sonnerait et qu'Izuku serait de l'autre côté, disant qu'il allait bien et qu'il rentrerait bientôt à la maison. Mais les jours s'étaient transformés en semaines, puis en mois, sans la moindre nouvelle. Shota avait beau essayer de s'accrocher à l'espoir, la dépression l'avait englouti. La douleur de la perte était constamment présente, un sentiment de vide qui lui arrachait le cœur. Il se sentait comme une coquille vide, perdue dans un océan d'obscurité. Pourtant, malgré sa douleur, Shota continuait d'aller travailler. C'était un défi quotidien, de faire face aux élèves, de leur enseigner les concepts mathématiques tout en gardant un masque de normalité sur son visage. Les salles de classe étaient remplies de jeunes esprits avides d'apprendre, mais pour Shota, chaque jour était une lutte pour garder son propre esprit concentré. Hizashi et ses collègues avaient remarqué un changement en lui. Son sourire s'était estompé, remplacé par une expression morne et fatiguée. Il était encore moins bavard que d'habitude, moins impliqué dans les conversations, et sa passion pour l'enseignement avait considérablement diminué. Il avait du mal à se concentrer sur les problèmes mathématiques qu'il enseignait, et il avait même dû répéter des explications plus souvent qu'auparavant. Les élèves, bien qu'ils ressentaient le changement chez leur professeur, étaient compatissants. Ils savaient que quelque chose n'allait pas, mais Shota gardait ses souffrances pour lui. Il ne voulait pas les inquiéter, et il ne voulait pas qu'ils voient sa vulnérabilité. Il se contentait de donner des cours de maths, de corriger des devoirs, et de rentrer chez lui chaque soir pour se retrouver seul avec ses pensées. Les soirées étaient les moments les plus difficiles pour Shota. La solitude qui l'envahissait était écrasante. Leur appartement était devenu silencieux, un écho vide de ce qu'il avait été autrefois. Les photos d'Izuku ornaient encore les murs, un rappel constant de sa disparition. Les souvenirs de leur vie ensemble le hantaient, chaque coin de l'appartement était empreint de l'absence d'Izuku. Malgré tout, Shota continuait d'espérer. Il gardait un espace dans son cœur pour Izuku, un espace qui ne pouvait pas être comblé par le temps qui passait. Il se rappelait des moments heureux, des rires partagés, des projets d'avenir. Il se souvenait du sourire d'Izuku, de ses yeux pétillants de vie. Il visitait régulièrement les endroits qu'ils avaient fréquentés ensemble, comme leur café préféré, l'allée du parc où ils avaient marché main dans la main, le cinéma où ils avaient partagé tant de bons moments. Ces lieux étaient à la fois apaisants et douloureux, mais Shota ne pouvait pas s'empêcher de chercher des signes, des indices, quelque chose qui le ramènerait à Izuku. Sa dépression le maintenait dans un état de torpeur permanent, mais Shota refusait de céder complètement à la tristesse. Il voulait croire qu'Izuku reviendrait un jour, que leur amour serait à nouveau complet. C'était cet espoir qui le poussait à se lever chaque matin, à enseigner aux élèves, à vivre malgré la douleur qui déchirait son âme. Les nuits étaient longues et solitaires, mais Shota gardait sa foi. Il gardait le lit chaud, espérant que la chaleur de leur amour finirait par ramener Izuku. Peut-être qu'un jour, il se réveillerait, et la silhouette familière de son amour serait là, souriante, et il saurait que son espoir avait été récompensé. Shota continuait d'aller de l'avant, pas parce que c'était facile, mais parce qu'il gardait une flamme d'espoir brûlante en lui. Il savait que l'amour était plus fort que la distance, que l'absence ne pouvait pas effacer les souvenirs précieux qu'ils avaient partagés. Il se promit de rester fort, de continuer à enseigner, de continuer à aimer, en attendant le jour où il verrait à nouveau le visage souriant de son bien-aimé.

A suivre !!!

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J'espère que ce chapitre vous aura plus, si vous avez des idées pour la suite n'hésitez pas à me les partager 🐥💜

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