Amour immérité

Chapitre 18

** Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien.**

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- oui, je squatte un peu ici cette nuit, je cherche mon studio à partir de demain.

Marie : tu sais que tu n'es pas obligé de prendre un studio, la maison est grande, on ne va pas te déranger. Tu auras ton intimité.

- * rire *, avec vous ? On se connaît pardon.

Marie : * taquin * ou tu veux encore faire des bêtises, hum ?

Je sais à quoi elle fait allusion.

- même pas, je veux juste avoir mon propre chez moi, comme il y a 3 ans, avant qu'on ne parte en France.

Marie : * taquin * monsieur veut avoir son chez lui, okay !

- tu fatigues Marie, s'il te plaît n'en parle pas au vieux, je vais le faire moi-même quand j'aurai trouvé l'appartement.

Marie : d'accord, je comprends, promis !!

- sérieux ?

Marie : * rire * tu ne me fais plus confiance ?

- si si bien sûr !

Marie : voilà ! Avant que je n'oublie, vendredi, nous avons un repas chez Oncle Jean-Paul. Il nous a fait un repas de bienvenue, et il va nous présenter sa fille.

Maël : c'est une bonne meuf ? Il s'empresse de dire.

Marie : bonne meuf, c'est-à-dire ?

Maël : belle forme, beau visage et tout !

Marie : * rire * toi il n y a que le physique qui compte ?

Maël : non, mais elle doit m'attirer d'abord, elle est comment ?

Marie : qui ?

Maël : la fille de l'Oncle Jean-Paul non !

Marie : ah, désolée, je ne l'ai pas encore vu, nous la verrons tous vendredi.

Maël : je pourrais aussi venir ?

Un vrai Don Juan !

Marie : oui, bien sûr, tu es aussi un membre de la famille, mais je vais d'abord avertir à papa.

Maël : merci Marie, Mec je la prends vite dit

Il fait pitié.

- sans blague ? Tu ne l'as même encore pas vu.

Maël : je m'en fou. Je la veux.

- okay, tu sais que j'ai mis une croix sur les histoires de meufs, donc tu peux la prendre, je m'en fou.

Maël : merci mec, je crois que c'est la bonne cette fois-ci.

- * rire * pas à moi s'il te fait, je te connais vieux, tu te lasseras d'ici là !