PRISONER'S T1

35.

Point de vue William Sketroveski

*rappel: C'est un des méchants, lui s'occupe du trafic d'organe. Il gère les transactions entre Alvaro et les clients.*

New-York, Jeudi 02h34

On m'a bipé pour rencontrer des gars au sous-sol de ma baraque.
Ils font chier, je dois encore faire mon repérage pour la prochaine session de corps humains.

Je démarre ma berline et j'appuie sur l'accélérateur sans m'arrêter.
Ils me font tous chier putain.
J'allume mon joint et continue d'accélérer.

Une vieille traverse sur le passage piéton, j'accélère. Si j'arrive à plus de 200 km/h, elle crève sur le coup.

Au dernier moment, je tourne le volant et l'esquive. C'était pas son heure.

Ça me fait chier PUTAIN.
PUTAIN PUTAIN PUTAIN PUTAIN.
Elle n'aurait été bonne à rien de toute façon, ses organes étaient trop vieux, donc moins de biff.

Mes clients aiment la chair fraîche et surtout avec une garantie de vie de plus de 5 ans.
Fin mes clients, les clients d'Alvaro.

Eh ouais, pendant que ce fils de pute se la coule douce en prison, je dois gérer son putain de bordel de merde. Avec ses putains de clients de merde.

Et puis, comme si j'en avais pas déjà assez, il ne m'a jamais répondu.
J'avais été le voir en prison, mais je m'étais trompé de cellule, et j'avais parlé à son pote à la place.

D'ailleurs, ce fils de pute n'est même pas capable de faire passer des messages correctement. Alvaro ne m'a jamais rappelé. Est-ce qu'il sait que c'est la merde ?

J'ai perdu la trace d'un de nos nouveaux transacteurs. Si cet abruti s'est fait chopé par les poulets, on est dans la merde. Il devait kidnapper 2 ou 3 femelles pour la soirée de ce soir.

On allait bien s'amuser, mais il a disparu depuis vendredi soir. Presque 1 semaine demain.
J'ai envoyé des gars le chercher. Et donc, pas d'amusement pour ce soir. Fait chier.

J'arrive à la barque et descends. Je claque fortement la porte d'entrée et me dirige directement au sous-sol.

Je vois deux gars faiblards, assis ligotés aux chaises en fer. Je dirais qu'ils ont la vingtaine.

-C'est qui eux ? Je ne perds pas mon temps pour des gosses.

-Ils ont essayé de nous voler. Dit mon larbin.

-Alors bute-les, sans endommager le corps.

Il acquiesce et je le dévisage.
Je m'approche de lui et lui parle doucement à l'oreille :

-La prochaine fois que tu m'appelles, assure-toi que ça en vaille le coup, sinon tu finis dans le même état qu'eux.

Il acquiesce et je tire une balle dans la tête d'un des deux gosses. L'autre se déchaîne et je lui souris gentiment.

-T'es impatient de te la prendre ?

Il bouge la tête de gauche à droite et je m'approche de lui.

-Monte le corps en haut, et laisse-moi avec celui-là. Dis-je en désignant le deuxième.

Mon larbin exécute ma demande et une fois seul avec l'autre gosse, je baisse mon pantalon.

Je vois de la peur et de la panique dans ses yeux. Je jubile d'avance, c'est ce que je préfère dans tout ça.
Ça m'excite.

Le jeune se débat et je le bloque avec mes mains, je serre assez fort pour qu'il se calme. Il finit par comprendre le message et arrête de bouger.

Je lui déboutonne tout doucement son jean, et le descends. Il me regarde avec haine, j'en bande. Je descends son caleçon, et commence à caresser son sexe.