Denki rentrait chez lui, comme tous les jours, même si ces derniers temps, il était assez...Irritable.
En soit, savoir qui est son âme-sœur lui avait enlever un poids, un mystère, mais...Il ne s'attendait pas à ça.
C'est plutôt ironique qu'une pensée lui apprenne ta sexualité, effectivement, Denki n'avait jamais remis en doute son hétérosexualité alors savoir que son âme-sœur est un homme le perturber fortement.
Encore plus le fait que ce soit Hitoshi Shinso, alias le mec le plus asocial, ça se voyait rien qu'à sa tête.Yoko : Bonsoir Denki !
Denki : Hum, salut maman.
Yoko : Encore avec cette sale tête ?
Denki : J'aime pas ce con !
Yoko : Toujours sur ça ? Passe à autre chose.
Denki : Mais il est dans ma tête !
Yoko : Au moins, tu as une chose dedans.
Denki : Eh !
Elle posa le plat qu'elle venait de finir sur la table.
Denki : Je n'ai vraiment pas envie de finir avec lui.
Yoko : Ce n'est pas obligatoire mais bon, c'est conseillé.
Denki : Mais, tous mes potes ont eu de la chance, Sero, c'est Mina et Bakugo a Kiri' ! Moi, je me tape un type qui ne pense qu'aux chats et à dormir...Et à quel point, il trouve les gens extravertis fatigants !
Yoko : Arrête de t'énerver, tu lui as parlé au moins ?
Denki : Non et je ne le ferrai pas !
Yoko : Denki, Denki, Denki...Qu'est-ce que je vais faire de toi ?
Denki : Tu pourrais me comprendre.
Yoko : Je te comprends, j'ai eu ton âge et je ne voulais pas de mon âme-sœur...Mais regarde comment ça à fini. Pas que ma situation me rende malheureuse hein ! Je vais très bien, juste, je ne te le souhaite pas.
Denki : ...Je sais maman...
Yoko était exactement comme son fils au lycée, refusant tout contact avec celui qui était censé être l'homme de sa vie et elle s'y tenu et s'est marié avec un homme autre.
Le père de Denki.
Maintenant, elle est divorcée depuis 10 ans et célibataire depuis.
Yoko : Après, tu fais ce que tu veux, juste essaye d'apprendre de mes erreurs !
Denki : Mouais. Si un jour je m'ennuie à mort, je tenterai de penser à lui parler.
Yoko : Quel rabat-joie !
Ils rirent ensemble et mangèrent.
Une heure plus tard, Denki partit dans sa chambre.
En ouvrant la porte, il tomba sur son chat, un matou, blanc avec des longs poils, en train de dormir sur son lit.
Denki : Salut Patapouf !
Il miaula.
Denki : Tu es tranquille toi, tu n'as pas tout ces problèmes ! Je t'envie.
Patapouf se mit à ronronner.
Denki : Bon, devoir et dodo !
Mais comme souvent, cela se finit avec le jaune, les larmes aux yeux qui n'arrivait pas à finir ses exercices.
Denki : Bon sang, c'est qu'un petit exercice, pourquoi j'y arrive pas...
Il renifla, ce qui fit venir son chat, qui monta sur son bureau et lui lécha le haut des joues.
Denki : Heureusement que tu es là toi...
Il partit s'endormir, accompagné de son animal et le lendemain, il repartit en cours.
Et cela se répéter, encore...Et encore...
Et bien souvent, le vendredi soir, il éclatait.
Denki : Pourquoi je comprends rien maman...
Yoko : Calme toi, d'accord ? Tu y arriveras, j'en suis sûr.
Denki : Tu devrais pas.
Yoko : Je crois en toi, car tu es toi, un miracle vivant.
Denki : ...Merci.
Yoko : Allez, on se fait une soirée film et après, on va dormir, tu pars chez ton père demain.
Denki : D'accord.
Denki essuya ses quelques larmes et se mit dans son plaide, sur le canapé....
Encore un 15, c'est lassant.
...
Denki : ...
Comment il ne pouvait pas le détester.
Une suite de 15 ?
Denki : ...J'en rêverai...
Yoko : Tu as dit quelque chose ?
Denki : Non, je me demandais où était Patapouf !
...
Denki était dans la voiture de sa mère, il n'avait pas envie d'aller chez son père.
Il n'était pas méchant, loin de là...Juste ignorant, mais le pire pour lui, c'était sa belle-mère et ses demi-frères et sœurs.
Il les haïssaient, eux et leur vie parfaite.
Yoko : Allez, passe un bon week-end, on se revoit Lundi soir.
Denki : Oui, à Lundi maman.
Elle lui embrassa la tempe et repartit.
Denki soupira devant la porte.
Après tout, il ne venait qu'un week-end sur deux, le reste du temps, il était qu'avec sa mère.
Il toqua et sa belle-mère vint lui ouvrir.
Denki : Bonjour Aina.
Aina : Tu es en retard non ?
Denki : Il y avait des bouchons sur la route.
Aina : Dépêche toi, on allait prendre le petit-déjeuner.
Denki : Oui.
Aina, sa belle-mère depuis...10 ans, ses parents s'étaient séparés, car son père avait rencontré son âme-sœur, enfin, ils se sont séparé surtout quand sa mère a su qu'il avait fait des enfants à une autre femme.
Quand ils ont divorcé, les enfants étaient déjà âgés de 7 ans et 8 ans.
Aina était du genre autoritaire et impulsive, mais elle savait être gentille si besoin.
Elle était grande, 1m79, fine, du genre mannequin, avec des longs cheveux roux et des yeux noisettes.
Aina : Sou, ton fils est là.
Sou : Comment tu vas ?
Denki : Bien et toi.
Sou : Très bien !
À vrai dire, à part leur nom de famille, rien ne les relier, même pas le physique.
Denki était le portrait de sa mère, son père était plus, bruns, yeux bleus et assez musclés.
Le jaune salua rapidement Hiroyuki, sa demi-sœur, qui elle était le portrait craché de son père, 17 ans et Noboru, son demi-frère qui était brun avec les yeux noisette, 18 ans.
Sou : Alors, des nouvelles ?
Denki : Hum, pas vraiment, j'ai juste traîné avec mes amis.
Sou : C'est déjà bien !
Denki : Oui, c'est...Cool !
Noboru : Encore heureux qu'il est des amis.
Aina : Nobu', moins fort.
Noboru : Pardon maman.
Hiroyuki : Et tes notes ? Elles se sont améliorées ?
Denki : ...Un peu.
Sou : Tu es à combien de moyenne ?
Denki : ...
Aina : Vu sa tête, sûrement moins de 10.
Sou : Peut-être que tu devrais essayer de faire des efforts.
Il ne fessait que ça, des efforts.
Aina : Changeons de sujet, j'ai envie de sortir, pas vous ?
Sou : Bonne idée chérie ! Une proposition ?
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Can you hear me ? // Kiribaku
FanfictionUne légende existe, et celle-ci est bien réelle. Chaque personne, dans leur première année au lycée, entre en contact avec leur âme sœur de manière spécifique. Entendre les pensées de la femme ou l'homme de sa vie. N'est-ce pas fantastique pour trou...