Mina : ...
Kirishima : ...
Mina : ...
Kirishima : Ne te moque pas.
Mina : Idiot, je ne vais pas me moquer de toi sur ça.
C'était la pause du midi et Kirishima et Mina étaient aller manger dehors.
Mina : Donc, vous vous embrassiez depuis longtemps, ça dérapait un peu sauf que tu as senti que tu avais une érection et tu as prétexté un truc pour partir à la douche ?
Kirishima : Ouais...Je ne savais vraiment pas quoi faire, j'ai paniqué.
Mina : Et Bakugo, quand tu es revenu ?
Kirishima : Il est aussi parti à la douche, on a mangé et on est parti dormir normalement.
Mina : Ok mais, il y aurait pu se passer un truc si tu n'étais pas parti ?
Kirishima : Je ne sais pas, je ne suis pas dans sa tête...Peut-être, enfin, ça partait bien.
Mina : Allez, t'en fais pas ! Et puis c'est normal, on a 16 ans, et c'est quand même jeune pour une première fois donc tout est normal !
Kirishima : Oui, tu as raison.
Mina : Donc, tu n'oublies pas, mais tu laisses et on verra plus tard et si tu y repenses, tu lui en parles et voilà, ok ?
Kirishima : Ok.
Les deux mangèrent tranquillement dans un parc et discutèrent.
Denki : ...
Sero : ...
Bakugo : ...
Sero : Qui lui dit que ça fait dix minutes qu'il fixe son assiette vide ?
Denki : Toi.
Sero : Pourquoi moi ?
Denki : Tu as proposé.
Sero : ...Bakugo.
Bakugo : ...
Sero : Bakugo, mec ! Ouh Ouh !
Bakugo : Hein ? Quoi ?
Denki : Tu vas bien ? Tu ne bougeais plus.
Bakugo : Ouais, ouais.
Denki : Sur ?
Bakugo : J'ai dit oui, tu es sourd ?!
Denki : Ok, ça va !
Le blond soupira, il avait autre chose en tête, il est vrai.
Sero : Tu pensais à quoi ?
Bakugo : Eijir-...Ouais, Eijiro.
Denki : Ahhh, tu as entendu une de ses pensées ?
Bakugo : Ouais.
Sero : Pfff, vous avez de la chance vous, vous n'aimez pas votre âme-sœur, moi, je l'aime, mais j'arrive pas à lui dire.
Bakugo : Ton problème.
Sero : Sympa.
La journée passa.
Kirishima : C'était cool avec Denki et Sero ?
Bakugo : Il se plaignait de la rose.
Kirishima : Sero ?
Bakugo : Ouais.
Kirishima : Il faudrait qu'on les mette ensemble.
Bakugo : Mouais, bof.
Kirishima : Roh, tu abuses.
Bakugo : Si tu le dis.
Il l'embrassa.
Kirishima : Bah, on est encore devant le lycée Katsuki.
Bakugo : Et après, c'est moi, le coincé.
Kirishima : Eh !
Ils partirent chercher Lin, qui était très heureuse que le week-end soit là et ils allèrent donc d'abord chez Kirishima.
Kirishima : On s'appelle dans le week-end ?
Bakugo : Oui, abruti.
Bakugo lui attrapa le cou et le smacka, Kirishima répondit en lui attrapant les hanches.
Le smack se transforma en baiser assez vite.
Klaus : Eh bien...
Les deux redescendirent vite sur terre.
Kirishima : Sa...Lut papa !
Bakugo : Bonjour.
Kirishima et Bakugo se dirent vite au revoir et le blond partit.
Klaus : Si ça, ce n'est pas un baiser, ce ne sait plus ce que c'est.
Kirishima : Papa...
Klaus : Roh, prude.
Kirishima : Bah, eh.
Klaus gloussa et ébouriffa les cheveux de son fils.
Mitsuki : Encore en retard.
Bakugo : La ferme, la vieille.
Il alla dans sa chambre et s'étala dans son lit.
Bakugo : Fait chier !
Il lança son sac sur son bureau.
Mitsuki : Je peux entrer ?
Bakugo : Oui, quoi ?
Mitsuki : Qu'est-ce que tu as ?
Bakugo : ...
Mitsuki : Tu veux que j'appelle Masaru ?
Bakugo : Non...Non.
Mitsuki : Bon, soit, tu en parles, soit, je laisse tomber.
Bakugo : Oui, bon, c'est bon, je vais le dire, laisse moi juste deux secondes ! Je sais qu'il te reste peu de temps, mais bon !
Mitsuki : J'ai 38 ans !
Bakugo : Pff...
Il se redressa et s'assit à côté de sa mère, qui était au bord de son lit.
Bakugo : ...Tu sais Eijiro.
Mitsuki : Oui ?
Bakugo : Je sors avec.
Il regarda sa mère, droit dans les yeux.
Mitsuki : D'accord, et ?
Bakugo : Hier, on n'est pas venu à table.
Mitsuki : Oui, je sais aussi.
Bakugo : J'ai cru qu'on allait coucher ensemble.
Mitsuki ne sut comment réagir, au vu du caractère de son fils, elle ne s'était pas dit qu'un jour, elle aurait "cette" discussion avec lui.
Mitsuki : Cru ? Donc vous ne l'avez pas fait ?
Bakugo : Non.
Mitsuki : Euh, pourquoi ?
Bakugo : Il s'est barré à la douche.
Mitsuki : Ah...Tu m'expliques clairement ?
Bakugo lui expliqua la scène d'hier soir.Bakugo : Et je n'ai pas réussi à me concentrer aujourd'hui à cause de ça...Et quand je lui ai dit au revoir, c'était plus long que d'habitude. Je crois que je ne l'aurais pas lâché si Klaus n'avait pas parlé.
Mitsuki : Je vois.
Bakugo : Pourquoi tu souris comme ça ?
Mitsuki : Je t'avoue que...Ton père aurait sûrement été de meilleurs conseils que moi.
Bakugo : Pourquoi ?
Mitsuki : Eh bien, désolée si tu ne veux pas attendre ça mais j'ai mis longtemps, très longtemps à coucher avec ton père, c'est lui qui a faire le premier pas, à chaque fois, je paniquais et je sortais des excuses débiles.
Bakugo : Hein ?
Mitsuki : Oui, je sais, on ne dirait pas.
Bakugo : Et comment tu as réussi ?
Mitsuki : Masaru est venu, chez moi, donc je n'ai pas pu fuir et il m'en a parlé...Bon, on en a parlé 10 minutes, parce qu'après, ton père à l'époqu-Enfin, toujours maintenant-
Bakugo : Maman.
Mitsuki : Oui, pardon...Écoute, je te dirais de prendre ton temps et si tu es prêt, parle avec lui pour savoir si lui aussi et si vous êtes sur la même longueur d'onde, faites !
Bakugo : ...
Mitsuki : Je sais que ça peut être très gênant d'en parler avec lui, vous êtes jeunes, il y a encore de la gêne, des tabous, mais il faut briser tout ça ! Même si tu bégailles, tu as du mal à dire ce que tu penses, il faut se lancer si c'est vraiment ce que tu veux, donc réfléchis bien avant ok ?
Bakugo : Ok.
Mitsuki : Et félicitations pour Eijiro.
Bakugo : Mh.
Mitsuki : C'est un sacré morceau !
Bakugo : ...
Masaru : Je suis rentré-Une explosion ? Suki', ça va ?!
Mitsuki : Mais ça ne va pas sale gosse ?!
Masaru : Ouf, elle va bien.
À suivre...Je me lasserai jamais autant des discussions avec les parents ! Et je trouve ça important, la première fois dans un couple, donc bon par contre, ⚠j'avertis : Je ne fais pas de lemon ! Et je n'en ferrai pas, du moins dans cette fic !⚠
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Can you hear me ? // Kiribaku
FanficUne légende existe, et celle-ci est bien réelle. Chaque personne, dans leur première année au lycée, entre en contact avec leur âme sœur de manière spécifique. Entendre les pensées de la femme ou l'homme de sa vie. N'est-ce pas fantastique pour trou...