Kirishima : Vous partez en week-end avec Lin ?
Klaus : J'ai perdu un parie avec elle, donc oui, tu veux venir ?
Kirishima : Oh, non, c'est bon.
Mya : Bon, tu as à manger dans le frigo pour aujourd'hui et pour dimanche, tu te débrouilleras hein, tu sais faire du riz.
Kirishima : Je peux inviter Katsuki ?
Mya : Oui, tu peux.
Lin : Mh.
Kirishima : Bon week-end !Il envoya un message à Bakugo.
Bakugo : La vieille !
Mitsuki : Pourquoi tu gueules dès le matin ?!
Bakugo : Je peux aller cher Eijiro tout le week-end.
Mitsuki : Mh, je sais pas, qu'est-ce que tu en penses Masaru ?
Masaru : Comment ?
Mitsuki : Est-ce que ton fils peut passer le week-end chez son petit ami ?
Masaru : Oh, oui, tu peux aller chez Eijiro.Bakugo : Ok.
Mitsuki : Attends, tu le savais qu'il était avec lui ?!
Masaru : Oui, depuis longtemps.
Mitsuki : ...Je me sens vraiment aimé.Le blond eut sa réponse donc il partit dans sa chambre sans "réconforter" sa mère.
Mitsuki : Au fait.
Bakugo : Quoi ?
Mitsuki : N'oublie pas de lui en parler.
Bakugo : La ferme, la vieille !Il alla chez son copain, gêné.
...
Kirishima : ...
Bakugo : ...
Kirishima : ...
Bakugo : ...
Kirishima : Non, pars pas !!!
Bakugo : Sale con !
Kirishima : Je te jure que je ne t'ai pas fait venir juste pour que tu me fasses à manger !
Bakugo : Bien sûr !
Kirishima : Bon, ok, un peu, mais je voulais aussi passer du temps avec toi, promis !Bakugo était assis sur le canapé et Kirishima s'était allongé, tête sur les cuisses de Bakugo pour qu'il ne parte pas.
Bakugo : Mouais.
Il lui tira la joue.
Kirishima : Aïe...
Bakugo : Tu me fatigues, tu as 16 ans et tu ne sais pas cuisiner, c'est grave.
Kirishima : Pas grave, tu sais cuisiner toi.
Bakugo : Je ne suis pas ta mère.
Kirishima : Je sais, mais tu resteras avec moi donc je ne vois pas pourquoi j'apprendrai vu que je t'ai toi !
Bakugo : Idiot.Kirishima rit et se redressa pour l'embrasser.
Bakugo fronça les sourcils.
Kirishima : Qu'est-ce qu'il y a ?
Bakugo : Rien.
Kirishima : Tu es sûr ? Un truc t'embête ?
Bakugo : J'ai dit non.
Kirishima : Alors défronce tes sourcils Katsuki !
Bakugo : Pff.
Kirishima : Allez.Il le smacka.
Kirishima : Souris un peu !
Katsuki ébouriffa les cheveux du rouge.
...
Je lui en parlerai ce soir.
...
Kirishima : Quoi ?
Bakugo : Hein ?
Kirishima : Tu dois me parler d'un truc ?
Bakugo : ...
Kirishima : Je n'avais pas entendu tes pensées depuis longtemps !
Bakugo : Bah, tu verras ce soir.
Kirishima : Allez, dis moi !
Bakugo : Non.
Kirishima : Allez.
Bakugo : Non.
Kirishima se rapprocha.
Kirishima : Dis moi.
Bakugo : Non.
Il lui embrassa la joue.
Kirishima : Allez.
Bakugo : Tu penses vraiment m'avoir comme ça ?
Kirishima : Oui.
Bakugo : Ça ne va absolument pas marcher.
Kirishima : Autant essayé.
Il le smacka.
Kirishima : Tu ne vas vraiment pas me le dire ?
Bakugo : Ce soir.
Il l'embrassa.
Kirishima : Allez, Katsuki.
Bakugo : Toujours pas.
Kirishima : S'il te plaît.
Bakugo : Roh, la ferme.
Bakugo attrapa la joue du rouge et l'embrassa à son tour.
Eijiro répondit et bascula Bakugo sur le canapé qui a donc finit, allonger sur le dos.
Kirishima : Tu es sûr que ça ne marche pas un tout petit peu ?
Bakugo : Sûr.
Kirishima : C'est pas sympa.
Il posa sa tête dans le creux du cou du blond, qui se mit à rire, et qui posa sa main dans les cheveux du rouge.
Kirishima : Pourquoi tu ne veux pas me le dire ?
Bakugo : Tu ne peux pas attendre quelques heures ?
Kirishima : Tu as dit ce soir, il n'est que 11 h.
Bakugo : Et alors ?
Kirishima Ça change quoi que tu me le dises maintenant ou ce soir ?
Bakugo leva les yeux au ciel.
Bakugo : Qu'est-ce que tu peux être chiant parfois.
Kirishima : Pff...
Kirishima lui fit des rapides baisers dans le cou, ce qui déclencha un rire et un grand sourire à Katsuki.
Bakugo : J'ai déjà dit que ça ne fonctionnait pas Eiji'.
Kirishima : Tu viens de me donner un surnom ?
Bakugo : ...Non.
Kirishima : Si.
Bakugo : Non.
Kirishima : Si ! Tu m'as appelé Eiji' !
Katsuki tourna la tête, gêné.
Bakugo : Bref.
Ils passèrent la journée ensemble, sur le canapé à regarder des films, travailler, vers 18 h, ils se câlinaient juste.
Kirishima : Dis.
Bakugo : Quoi ?
Le rouge était allongé sur le dos, sa tête relevée grâce à l'appui coude du canapé.
Bakugo était aussi allongé, mais sur Kirishima, les jambes entre les siennes.
Kirishima avait ses mains posées au niveau du creux du dos de son copain, qui lui les avait posées sur le torse d'Eijiro et appuyer sa tête dessus.
Kirishima : Alors, qu'est-ce que tu devais me dire ?
Bakugo : Tu n'as pas oublié hein.
Kirishima : Non !
Bakugo : ...
Kirishima : Après, si tu ne veux pas le dire, je ne te force pas !
Bakugo : Je sais.
Kirishima : Tu veux un papier pour écrire ?
Bakugo : Non, c'est bon.
Kirishima : Du coup ?
Bakugo : On...Peut parler de jeudi soir ?
Kirishima : Jeudi soir ?
Bakugo : Chez moi, abruti.
Kirishima se rappela.
Kirishima : Ah, oui. Et ?
Bakugo : ...Tu as sorti une excuse débile pour te barrer.
Kirishima : Ok, j'avoue que le "attends, je me suis pas lavé depuis hier" n'était pas ouf.
Bakugo : Ouais, tes excuses sont jamais "ouf".
Kirishima : Oui, bon, je sais.
Bakugo : ...
Kirishima : Euh, je suis parti parce que j'ai paniqué...Tu sais, comme quand on allait s'embrasser la première fois, bah, j'ai eu la même panique.
Bakugo : Ouais, je vois.
Kirishima : Désolé.
Bakugo : Quelque chose t'a gêné ?
Kirishima : Quoi ?
Bakugo : Pour que tu partes ? Un truc t'a gêné ? Tu n'as pas aimé quelque chose ?
Kirishima : Hein ? Non, du tout ! Vraiment pas ! J'ai juste paniqué...Enfin, c'est compliqué !
Bakugo : Compliqué ?
Kirishima : C'est juste que j'aurai pu...Aller plus loin sauf que je ne savais pas ce que tu pensais toi alors j'ai préféré arrêter au cas où.
Bakugo : D'accord.
Kirishima : D'accord ?
Bakugo : Oui.
Il le smacka.
Bakugo : J'aurai pu aller plus loin aussi.
Kirishima : Oh, alors ?
Bakugo : Alors la prochaine fois, tu oublies l'excuse foireuse.
Kirishima : Ok, ok, plus d'excuses foireuses !
Les deux rirent et finirent par s'endormir sur le canapé ensemble.
À suivre...Voici la fameuse discussion ! Je la trouve mignonne personnellement (~ ̄▽ ̄)~ Je suis fière de moi !
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Can you hear me ? // Kiribaku
Hayran KurguUne légende existe, et celle-ci est bien réelle. Chaque personne, dans leur première année au lycée, entre en contact avec leur âme sœur de manière spécifique. Entendre les pensées de la femme ou l'homme de sa vie. N'est-ce pas fantastique pour trou...