Un retour dans le temps

Chapitre XXIII

- Je me suis senti un peu perdu après ton départ mais je me suis vite habituer. J'ai repris l'entreprise familiale et j'ai commencé le mannequinat un an plus tard. J'ai fait beaucoup d'effort pour pouvoir rendre notre père heureux et nous même du point de vue professionnel. Mais cela ne lui a pas suffi en plus de cela il a appris ma relation avec John; je ne te dis pas la galère que tu m'as mis en plus j'avais aucun souvenir du temps où tu as géré le corps alors je ne me suis pas défendus. Il l'a très mal pris contrairement à notre mère cela l'a ravie mais après 2 ans à travailler dans l'entreprise et 1 en tant que mannequin débutant sans le soutien de personne. John m'a proposé son aide puisqu'il avait débuté avant moi en d'autre termes plus d'expériences en m'aidant à m'intégrer mais je l'ai catégoriquement rejeté voulant montrer à mon père que je pouvais réussir avec ou sans lui que la volonté étais plus important mais au final j'ai échoué. John a pu arriver plus loin que moi dans un rêve que je voulais. Je me suis concentre sur l'entreprise en me disant que j'avais essayé dans mon rêve et que c'est le plus important c'est l'essentiel pour conserver ma motivation et soutenir du mieux que je peux John. Mais ça n'a pas suffi surtout avec les « je le savais. » et les « je t'avais prévenu » de notre père cela m'a fait perdre confiance en moi et me suis renferme sur moi-même me plongeant dans le travail.

- Pourquoi tu ne me parles pas de la relation avec John plutôt que le travail ! ce n'est pas ça que je savais moi !!!!!

- J'y viens. C'est dans cet époque que John m'a le plus supporte et m'a fait reprendre confiance en moi. Il a même pris une pause pour rester plus près de moi.

- Je le savais il était un bon choix

- Il m'a sorti de cette mauvaise passe et il m'a demande en mariage un an plus tard.

- Quoi ?? Alors le mari de John est moi !?!? désolé, je veux dire nous. Alors je me suis renferme et l'ai repousse alors qu'il est MON MARI le mien et non de quelqu'un d'autre ! désolé, continue...

- Comme je disais nous nous sommes marie et c'était la belle vie. Jusqu'à nos deux ans de mariage, c'est dans cette période que survienne les problèmes.

Flashback

Je rentre à la maison dans une fatigue extrême j'ai passé 4 jours entier au bureau à terminer des dossiers pour pouvoir passe un peu de temps avec John un peu de vacances ne nous feras pas de mal.

- Je suis rentre. John ? appelais-je quand je ne reçois pas de réponse.

Il est peut-être sorti. Je vais lui annoncer la nouvelle plus tard. Je suis sure qu'il sera content.

Je prends un bain et me couche direct dans notre lit. Quand je me lève, j'allume la lumière et regarde dans le réveil... Il était plus de 3 h du mat. Je passe mon bras mais il m'y avait personne dans le lit.

Je fais le tour de la maison pour voir s'il n'est pas là. Personne à l'horizon, je prends mon téléphone et lui envoie un message après lui avoir appelé plus de 10x je déteste écrire des messages et préfère parle. Je retourne dans notre chambre et dépose le téléphone sur l'oreiller d'à côté.

Je me réveille le matin et il n'était toujours pas là. J'ai appelé mes amis mais aucun n'avait de nouvelle de lui alors j'ai appelé Loran il m'a assuré que John séjournait dans un hôtel cinq étoile dans la ville a cote.

Alors je me suis rendu s'il avait quelque chose à faire je lui verrais annuler si ce n'était pas important bien sur je voulais vraiment le voir il me manquait.

Je me suis rendu sans tarde en m'habillant le plus chic que possible pour l'impressionner même si je sais bien ce qui vont leur arriver. Je conduis la Ferrari qu'il m'a offerte lors de notre première année de mariage.

J'arrive à l'hôtel et demande au réceptionniste de me donner le double des clés mais ils m'ont regardés bizarrement alors je lui ai affirmé que j'étais son mari et il ne voulait toujours pas alors j'ai appelé le gérant de l'hôtel et avec le pouvoir du nom de mon père il m'a fait monter pour m'amener dans la chambre. Arrivée, il passe la clé et je vois l'horreur.

Je vois la chambre en désordre des habits un peu partout je l'ai suffi et un gros mal de tête me prend les souvenirs d'Amélie en train de me tromper avec Julien me revient. Mon instinct me crie de ne pas faire un pas vers cette maudite chambre mais une force plus forte m'attire.

Il était là avec une femme dans ses bras. Je suis tellement surpris que je ne dis rien c'est le gérant qui intervient.

- ­monsieur, ça vas ? MONSIEUR !? en me secouant revoyant les deux au passage.

Je secours la tête, les yeux de John me rencontre et sursaute. Je recule pour quitter cette pièce puis me mettant à courir le plus vite que possible essuyant mes larmes montant dans ma voiture la conduisant à toute vitesse je ne savais pas ce qui se passait mais je voulais laisser je voulais abandonner.

« La seule personne en qui j'avais le plus confiance même avant ma propre mère m'avait trahi putain ?! TRAHI ?!!? »

Sur cette pensée, je me suis à appuyer plus sur l'accélérateur me provoquant la course poursuite de policier que je voyais à travers mon rétroviseur mais c'est pas pour autant que je m'arrêtais au contraire la rage la colère l'amertume de me sentir encore une fois dans cette situation et le mal de tête qui devenait de plus en plus intense m'arrangeait pas les choses j'étais devenu un fou un fou du volant et de l'accélérateur. Je reproche mon moi d'avoir choisi un fils de pute pour aimer je maudissais mon cœur dans mon délire.

« CLING ! CLING ! » Mon téléphone se mis soudainement à sonner me fessant revenir sur terre.

Je freine d'un coup sec me provocant un impact en plus de ca je n'avais pas mis ma ceinture de sécurité me propulsant sur la vitre de celle-ci. Apres un moment, je vois une délivrance une douleur qui soulageait celle de mon cœur et je m'évanouis.

Je reprends conscience sur un lit d'hôpital. Le même jour, un policier est venu et m'a remis un amende d'un somme exorbitant pour excès de vitesse et n'a pas mentionné la course poursuite et sécession du véhicule.

J'ai un pansement au niveau du front mais rien de trop grave. Je ne prends pas trop de temps et sort de la chambre. Je vois ma mère dehors en train devant la réception tout hystérique demandant dans quelle chambre je me trouvais.

Je n'ai pas le temps de tous résume que le simple fait de la voir ici m'a fait chaud au cœur je le prends dans mes bras et me mets à pleurer devant tout le monde.

- Hein ! hé, que ce passe-t-il ? demande-t-elle avec plein de compréhension après la surprise de m'avoir dans ses bras.

Me voyant pas répondre elle me laisse dans ses bras et dit à mon père de payer les frais d'hospitalisation.

- ­allons autre part. me détachant de ses bras et m'essuyant mes larmes